British Columbia
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Retour du Canada aux USA !
Le mauvais temps me poursuivant, j’ai choisi l’option de filer vers le sud à la recherche d’une météo plus clémente…
1. Il y a nettement plus gros que VLV !
Pour la petite histoire, le poids total en charge de l’engin atteint 844’600 livres, soit 383’149 kilos !!! Moteur deux temps de 12 cylindres, chacun de 645 cubic inches (10.57 litres), donc 127 litres de cylindrée totale et 2’500 chevaux pour déplacer le monstre, les chiffres sont juste inimaginables. Chaque pneu pèse 6 tonnes à lui seul – il y en a 10 ! – et fait 3.40 de diamètre, plus haut que VLV !
2. Ces monstres travaillent dans la gigantesque mine de cuivre à ciel ouvert de Logan Lake.
3. Le minerai traité est convoyé par train vers le port de Vancouver.
4. Sur la route vers le sud, une église abandonnée à Pokhaist.
5. Dans le petit village de Spences Bridge, il y a aussi ce garage à vendre… 😉
6. … ainsi que, de l’autre côté de la rivière, ce théâtre en plein air de la réserve indienne que j’ai trouvé assez esthétique.
7. Une autre église dont je ne sais si elle est abandonnée ou non.
Voilà pour le Canada qui m’a réservé beaucoup d’humidité à cette saison. Je suis alors repassé aux US avec une petite anecdote. A la frontière, j’ai eu droit à un contrôle de l’inspecteur “d’agriculture” et comme j’avais oublié trois buches de bois de feu dans la boîte arrière de VLV, il m’a envoyé repasser la douane canadienne à pied avec les trois buches que j’ai dû déposer sur le parking canadien (l’importation de bois non traité est interdite). Bref, ça m’a fait sourire… 🙂
La météo n’étant pas meilleure sur la côte de l’état de Washington, j’ai traversé Seattle sans m’arrêter et pris la direction de l’est pour retrouver un temps plus clément derrière les montagnes.
8. En fin de journée, éclaircie inespérée sur l’impressionnant Mont Rainier qui culmine presque à l’altitude du Mont-Blanc. C’est un volcan gris dont la dernière éruption remonte à 300 ans à peine.
9. Le lendemain, la pluie m’accompagne toujours alors que je descends le flanc est des Cascades, la chaîne de montagne qui prolonge les rocheuses au sud. En quelques dizaines de kilomètres, on passe d’un climat très humides à des contrées semi-désertiques, assez étonnant. Ici, à mi-chemin, c’est un climat typiquement méditerranéen, avec des petits chênes qui arborent toute une palette de couleurs d’automne.
10. Arrivé tard dans la nuit, je me réveille sur le site des Palouse Falls.
11. La lumière est difficile mais je descends quand même dans le canyon de basalte…
12 … avant de remonter pour une vue d’en haut.
13. Redescente de l’autre côté cette fois pour tenter de voir les chutes d’en bas, auxquelles je parviens après pas mal d’essais infructueux pour trouver une voie qui me permette d’atteindre le fond du canyon.
14. Ces chutes sont superbes, s’élançant sur 65 mètres de basalte en colonnes.
15. VLV reprends la route direction l’Oregon, au sud. Ici un vieux hangar…
16. Là, un peu de “dirt road” dans les collines…
17. Là encore, un de ces ponts métalliques qui enjambent les quelques rivières.
18. Passé en Oregon, il y a beaucoup d’éoliennes sur ces plaines où le vent souffle souvent.
19. Je dormirai sur une crête, avec une belle lumière du soir sur la plaine.
Je vous présenterai quelques sites de l’Oregon dans la prochaine mise à jour ! 😀
Totems et cascades
La pluie tombant toujours à verses, je me suis rabattu sur des sujets “photographiables” malgré le plafond bas et la brume omniprésente… J’ai donc fait un détour pour aller découvrir les totems indiens de Gilawox et de Kispiox. C’est en effet de cette région que les totems indiens sont connus dans le monde entier.
1. Ces totems sont taillés dans des troncs de cèdre.
2. Ils arborent divers symboles, personnages, animaux ou, comme ici, le soleil.
3. Ils n’avaient pas de signification religieuse mais permettaient aux différentes tribus de se distinguer…
4. … qui rivalisaient d’originalité.
5. L’un des plus imposant est à Kispiox.
6. Il y a parfois des ajouts au tronc principal, comme ce bec d’oiseau.
7. Un dernier, pour vous montrer à quel point ils peuvent être différents.
8. Toujours sous le déluge – j’en avais un peu marre, j’avoue – une belle cascade s’élançant d’un glacier que je n’ai même pas pu apercevoir dans les nuages…
9. VivaLaVida employant les chemins de traverse, on y découvre parfois des tombes anciennes, en pleine forêt.
10. Il n’y paraît peut-être pas mais il pleut toujours et encore !
11. Après six jours très humides, enfin une petite éclaircie pour mon campement au bord du Bobtail Lake…
12. … qui me gratifiera d’un beau couchant.
13. J’en profiterai pour cuisiner de l’élan qu’Hector m’a bien aimablement offert lorsque j’étais à Whitehorse. En effet, je voulais goûter et cette viande ne peut s’acheter, la règlementation étant très stricte : ils ne peuvent être chassés que pour propre usage. C’est excellent, je dirai un goût entre le cerf et le sanglier.
Merci encore Hector ! 😉
14. Ah, et j’ai oublié de vous dire. A Stewart, alors que je buvais un café dans le Armorlight Groverey Store, un homme est venu mangé son sandwich à ma table. “Goti”, un diminutif de Gotlieb, est un saint-gallois qui a émigré au Canda il y a 37 ans, accompagné de son épouse genevoise. C’est lui qui tient ce magasin d’alimentation et il importe devinez quoi ? du vacherin fribourgeois !!! Autant dire que je n’ai pas hésité quand il m’a dit ça ! 😀 Avec un morceau de gruyère aussi.
15. Après six jours de pluie, ça fait du bien d’avoir une petite éclaircie sur la piste… 😉
16. Des chemins de traverse je vous disais…
17. Nouveau détour, dans la Clearwater Valley cette fois, à la découverte des Helmcken Falls, bien connues mais ô combien impressionnantes : 140 mètre de haut – comme le jet d’eau à Genève si je ne me trompe – en creusant ce plateau de vieille lave pour former un profond canyon. Malheureusement, la pluie est de retour…
Anecdote du jour. En repartant des Helmcken Falls, je pensais poursuivre en remontant la vallée vers le Clearwater Lake mais en manoeuvrant, j’ai senti la pédale de frein bien molle! Je me couche sous VLV et découvre que l’une des durites de frein s’est dessertie du banjo qui la fixe à l’étrier, le liquide s’écoulant au sol. Gloups, plus de freins du tout dans ces conditions !
Je suis à 50 km du village de Clearwater, il est 17h, mon téléphone portable ne fonctionne pas au Canada… Je décide de tenter de ramener VivaLaVida à Clearwater sans freins..! Après tout de même avoir obstrué la durite par une vis et un collier de serrage autour (photo prise le lendemain au iPhone Ne me demandez pas comment c’est possible, les premiers et arrière plans sont net mais la durite floue..! Ils arrêtent pas le progrès chez Apple !!! :-D)
Il me faudra 3h pour parcourir les 50 km de petite route montagneuse, avec des descente à plus de 10%. Boîte de transfert sur “low”, VLV a descendu ces “recs” uniquement au frein moteur, parfois à 3 km/h en 2ème courte et sans toucher une seule fois au freins (que je n’avais de toute manière pas…). Arrivée à Clearwater vers 21h, j’ai couché devant le garage qui me fournira une durite le lendemain matin et après 3h de travail, VLV roulait de nouveau… Merci à ce garage de m’avoir laissé y entrer VLV pour que je travaille à l’abris de la pluie. 😉
Mais cela m’aura au moins permis de découvrir un autre soucis de freins. Alors que j’avais remplacé l’ensemble des freins arrières (disques, étriers, plaquettes) à Anchorage 2’000 CHF il n’y a guère plus de 10’000 km), je découvre que les plaquettes intérieures sont à nouveau complètement usées alors que les extérieures sont presque neuves. Le soucis vient des étriers simple pistons dont la coulisse se bloque avec la terre des “dirt roads”. Ainsi, la pression du piston n’agit plus que sur la plaquette intérieure, cette dernière usant prématurément le disque sur sa seule face intérieur. Il va donc me falloir une nouvelle fois remplacer tout ça sans tarder. Mais je vais rechercher un étrier à deux pistons pour remplacer les actuels et ainsi résoudre le problème. Je vous tiendrai au courant… 🙂
Suite des aventures de VivaLaVida d’ici peu.
Cassiar & Stewart Highways
VivaLaVida va désormais essuyer 6 jours de pluie pratiquement permanente. C’est en effet la saison des pluies près de la côte pacifique, je ne l’avais pas réalisé jusqu’alors…
1. Un étang dans la brume…
Malgré la météo, je suis allé faire un crochet par Stewart pour essayer d’apercevoir quelques-uns des très nombreux glaciers de la région.
2. Le “Bear Glacier”, le long de la Stewart HWY.
3. La route minière que VivaLaVida a empruntée sous la pluie pour monter vers d’autres glaciers. Amusant, nous sommes ainsi repassés en Alaska pour quelques dizaines de kilomètres et sans douane car c’est un cul de sac ! 😀
4. Oups, la route de VLV s’arrête là ! Je continue à VTT…
5. J’ai de la chance, une brève acalmie me permet d’apercevoir le Bereton Glacier dans la brume, vers 16h30.
6. Un peu plus tard, j’ai même un rayon de soleil qui fait briller la roche mouillée.
7. Le terminus de la route est à cette mine abandonnée…
Retourné à VLV, je rebrousse chemin pour espérer apercevoir le Salmon Glacier, un immense glacier en T, avant que la nuit tombe.
8. VLV paraît bien petit devant ce géant !
9. Panoramique pour tenter de vous montrer la branche nord. La poussée est telle que la glace remonte de plusieurs centaines de mètres contre la montagne, à droite en bas.
10. Un second panoramique pour vous montrer cette immensité de glace; plus de 60 km de long et 8 de large pour sa langue glacière principale !
Je dormirai sur place, espérant une meilleure lumière pour le lendemain mais me réveillerai dans un brouillard dense. Je suis donc redescendu vers Stewart…
11. … que voici au deuxième plan, derrière son port de plaisance.
12. Seb, si y’a trop de neige cet hiver à Arzier, j’ai trouvé ce qu’il te faut !! Avec ça, jamais tu resteras bloqué ! 😉 Il s’agit d’un véhicule russe dont je n’ai su déchiffrer la marque.
Toujours sous la pluie, j’ai poursuivi vers le sud avec un nouveau détour vers les champs de lave de Nisga’a, théâtre de la dernière éruption volcanique au Canada, il y a 300 ans seulement. 2’000 indiens ont péri, plusieurs villages ayant été engloutis. La coulée fait plus de 30 kilomètres de long et a dévié une grosse rivière de plusieurs kilomètres.
13. Le seul rayon de soleil de la journée, sur la piste de VivaLaVida et toujours sous la pluie.
14. Bras de mer pluvieux le lendemain…
15. Marais où les lichen ont pris possession des arbres morts. Chouette ambiance, non ? On verrait bien apparaître un ou deux trolls, vous ne trouvez pas ? 😉
16. Arrivée sur les champs de lave, tantôt lisses comme au second plan, tantôt chaotiques, et qui atteignent plus de 15 mètres d’épaisseur par endroit.
17. Fissure…
18. Peu d’arbres sont parvenus à pousser sur cette roche jeune et aride.
19. Une petit cascade par laquelle se vide un lac, lui aussi créé par la coulée de lave.
20. Petit arc en ciel alors que VLV poursuit vers le sud.
Suite de la descente de la Colombie Britannique dans la prochaine update.
Cassiar Highway
VivaLaVida a donc quitté le Yukon et commencé sa traversée de la Colombie Britannique vers le sud.
1. Première nuit en BC au bord du joli petit Boya Lake.
2. Quelques minutes auparavant, j’ai eu droit à cette belle giboulée de neige !
3. Cerise sur le gâteau, comme un au-revoir du Yukon sur laquelle elle s’étend, cette belle aurore boréale s’est offerte à mes yeux alors que la pleine lune éclairait les rives du lac.
4. La Cassiar Highway n’est guère en bon état et les giboulées se poursuivent le lendemain…
5. Graphisme de la neige sur ce petit lac.
Premier détour pour aller découvrir la vallée qui mène à Telegraph Creek, un petit village perdu. Cette vallée est la basse vallée de la Stikine River, une puissante rivière qui creuse son canyon à travers des couches de basalte avant de se jeter dans l’océan pacifique.
6. Confluence de la Tahltan River et de la Stikine River, avec le camp d’été des indiens Tahltan. Ils y passent à pêcher les trois mois où les saumons remontent ces rivières.
7. Cabanes Tahltan
8. Presque au bout de la route, après Telegraph Creek, il y a un joli petit lac…
9. … habillé par les couleurs de l’automne que je retrouve en ces latitudes plus clémentes.
10. La Stikine River, puissante et magnifique…
11. … qui s’écoule vers le Pacifique, juste derrière les montagnes au loin.
12. C’est la pleine saison des parades pour les gélinottes huppées !
13. Ce mâle n’a que faire de ma présence et court vers le femelles à même la route.
14. Voici l’une des femelles convoitées, peu craintive mais sur ses gardes tout de même.
15. La route s’arrête là. J’espérai pouvoir poursuivre à pied mais les mauvaises prévisions météo pour la semaine à venir m’ont fait renoncer à passer la nuit pour marcher le lendemain.
16. Il était assis au milieu de la route et s’en est allé tranquillement…
17. VivaLaVida dans le canyon de la Stikine River.
18. Et pour terminer cette mise à jour, un “snowshoe”, en fait un lièvre variable dont le bas des pattes et les oreilles demeurent blanches tout l’été. C’est la principale nourriture des lynx et des renards roux et comme sa population présente un cycle immuable de dix ans où elle disparaît presque complètement, ses prédateurs doivent se rabattre sur les écureuils et autres petits rongeurs, voyant leur population elle aussi diminuer drastiquement alors. Il semble que le cycle du snowshoe soit de cause génétique, en partie tout au moins…
Et voilà pour aujourd’hui ! Suite de la route vers le sud de VLV dans quelques jours… 😉
Haines HWY et retour en Alaska !
1. Au petit matin à mon campement…
2. Ambiance froide et brumeuse…
3. … mais les couleurs de la toundra d’automne demeurent.
4. Petit lac miroir…
5. Dernier col avant la descente sur Haines.
6. Panorama sur les montagnes et glaciers environnants.
Et surprise au pied de la descente : il y a une douane et je me retrouve en Alaska! Ma carte de cette région étant pour le moins imprécise, j’avais oublié que Haines et Skagway sont sur la fine bande de l’Alaska qui longe l’ouest de la Colombie Britannique. 😀
7. Je retrouve le Pacifique ou plus exactement l’un de ces fjords.
8. Le village de Haines, sur les bords d’un fjord également.
9. Son petit port qui abrite autant des bateaux de pêche et de plaisance.
10. Comme il n’y aucune route reliant Haines à Skagway, VivaLaVida prendra lui-aussi le bateau pour parcourir 26 kilomètres par voie de mer ! 😉
11. Ambiance croisière…
12. … alors que le ferry remonte vers le fond du fjord.
L’arrivée à Skagway est dépaysante. C’est un lieu très touristique qui entretien la mémoire de la ruée vers l’or. C’est en effet ici que les pionniers débarquaient pour franchir le White Pass à pied avant de construire les bateaux qui les emmenaient vers Dawson City en descendant la Yukon River.
13. Main Street avec, en enfilade, un gros paquebot de croisière hébergeant plusieurs milliers de touristes.
14. La plupart des bâtiments datent de la fin 19ème…
15. … et l’ambiance y est un peu d’un autre temps.
16. Je quitte Skagway en fin d’après-midi et me rend au White Passe, une vingtaine de kilomètres au nord.
17. Ces montagnes de granite érodé par les glaciers et parsemées de petits lacs me font vraiment penser à certains paysage de Norvège.
18. Je décide de camper entre les postes-frontière d’Alaska et du Canada.
19. Dernières couleurs sur les montagnes…
Deuxième retour au Canada en moins d’une semaine dans la prochaine mise à jour ! 😀
Jasper National Park & South Alaska Highway
Suite et fin de mon parcours dans les Rocheuses canadiennes.
1. Remontée de la Maligne Valley, dans le Jasper National Park.
2. Le long de la route, rencontre avec une petite troupe de mouflonnes et leurs petits.
3. Quelques semaines seulement sans doute…
4. La Maligne River.
5. Et voici quelques variations sur le Maligne Lake, de toute beauté. Sous la pluie d’abord…
6. Une trouée se dessine dans les nuages.
7. Eclaircie…
8. … puis nouvelle averse qui arrive.
Voilà qui met fin à cette série sur les Rocky Mountains, pour l’instant tout au moins.
VivaLaVida a poursuivi la route vers le nord et est entré sur la Alaska Highway à Dawson Creek, passant ainsi en Colombie Britannique. Cette “autoroute” n’a été construite que dans les années quarante et n’est complètement goudronnée que depuis cinq ans. Elle relie Dawson Creek à Anchorage, à plus de 2’500 km de là.
9. Un pont en bois et en courbe sur la Old Alaskan Highway.
10. Sacrée construction !
11. Joli Spring Flower Lake (panoramique par assemblage de 5 images verticales) dans le Stone Mountain Provincial Park.
12. J’y assisterai à une débacle, les plaques de glaces entraînées dans la rivière qui s’écoule du lac se brisant sur les cailloux dans un bruit ressemblant à mille clochettes… Quel joli carillon ! Dommage que je ne puisse vous le faire écouter… 🙂
13. Campement au bord du McDonald Creek. Il est 23h, les jours s’allongent au fur et à mesure que je remonte vers le nord…
14. Une “grande poule des prairies” sur ces gardes, sa progéniture n’étant pas loin. Difficile à approcher, il m’aura fallu bien quelques essais pour y parvenir…
15. Muncho Lake, le long de la Alaska Highway.
16. Le long du sentier menant à des sources chaudes, dans une clairière, j’ai d’abord aperçu ce bison des forêts mâle, une sous-espèces endémique au Canada qui s’est adaptée à la vie en forêt.
17. Sur mes gardes car ces mastodontes n’ont guère bonne réputation, j’ai découvert dans une prairie un peu plus loin un petit troupeau avec des jeunes de l’année.
18. Marais créés par les sources sulfureuses qui s’écoulent là. Cette eau crée un ecosystème particulier, avec par exemple de petits poissons qui ne peuvent vivre que dans cette eau chaude. C’est aussi un lieu très fréquentés par les mammifères qui apprécient cette eau très minéralisée. Je n’en verrai toutefois pas durant ma promenade.
Voilà qui clos mon parcours vers le nord à travers la Colombie Britannique. Je vous emmènerai bientôt découvrir un peu le Yukon… 😉