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Pied sud des Pyrénées

 
Pour nous protéger de la canicule qui sévit depuis quelques jours, nous décidons d’aller découvrir la vallée d’Ordesa, espérant y trouver un peu de fraîcheur. En cette période estivale, les diverses routes d’accès sont fermées aux véhicules individuels et après une nuit dans le petit camping du refuge de San Nicolás de Bujaruelo, nous prenons la navette qui nous mène dans la vallée.
 
 
1. Après une petite heure de marche, nous voici devant la “Cascada del Estrecho”.
 

 
 
2. En poursuivant la remontée de la rivière…
 

 
 
3. Emile jouant sur notre lieu de pique-nique. Je ne ramènerai pas d’autre image, une belle averse nous ayant contraint à écourter notre balade.
 

 
 
4. Campement sauvage au bord d’une petite rivière…
 

 
 
5. Le fiston tout content de jouer les pieds dans l’eau.
 

 
 
6. Le lendemain, la piste s’élève dans une massif calcaire.
 

 
 
7. Le paysage et la géologie changent rapidement.
 

 
 
8. Nous arrivons au “Mirador de Los Buitres” peu après midi et profitons d’une magnifique vue sur les “Mallos de Riglos”.
 

 
 
9. Alors que nous mangeons, de nombreux vautours nous survolent.
 

 
 
10. Escadrille…
 

 
 
11. Planeur…
 

 
 
12. Ruine le long de la piste…
 

 
 
13. En fin d’après-midi, nous arrivons en vue du “Castillo de Loarre”.
 

 
 
Les images de notre visite arrivent dans le prochain article… 😉
 
 

Vacances d’automne

 
Notre petite semaine de vacances avec Emile commence par un jour pluvieux. Nous en profitons pour faire la route vers la région de Bardonecchia où j’espère pouvoir emprunter la piste du Sommeiller que nous n’avions pu découvrir cet été.
 
 
1. Campement pluvieux au-dessus de Rochemolle.
 

 
 
2. Le lendemain matin, les nuages ont disparu et le ciel est bleu au réveil.
 

 
 
3. Montée vers le refuge Scarfiotti.
 

 
 
4. Plus haut sur la piste…
 

 
 
5. Les montagnes alentours sont superbes !
 

 
 
6. Au couleurs de l’automne.
 

 
 
7. VivaLaVida sur la piste, à déjà plus de 2’500 mètres d’altitude.
 

 
 
8. Arrivée au bout du chemin dont la descente sur l’autre versant n’a jamais été construite.
 

 
 
9. Altitude ronde, la plus haute atteinte par VLV en Europe. Pour rappel, il a dépassé 4’000 mètres en 2016, dans le Colorado…
 

 
 
10. Le petit lac qui se trouve juste après le col.
 

 
 
11. Et l’autre versant resté vierge de piste. Seul un sentier permet de rejoindre le Vallon d’Ambin.
 

 
 
12. Nous sommes tout près des premières neiges tombées quelques jours avant…
 

 
 
13. Vue sur les sommets du parc des Ecrins au loin…
 

 
 
14. Redescente. Nous n’avons croisé que deux motos locales de toute la journée.
 

 
 
La suite d’ici quelques jours… 😉
 
 

Strada del Canoni…

 
Après le Colle Agnello, nous continuons à découvrir des pistes d’altitude.
 
 
1. Montée sous la pluie…
 

 
 
2. Heureusement, après le lunch, le ciel s’ouvre.
 

 
 
3. On est à nouveau à plus de 2’000 m d’altitude.
 

 
 
4. Et le soleil revient en fin de journée.
 

 
 
5. Les nuages s’accroche encore au nord.
 

 
 
6. Emile en profite pour s’entraîner à vélo.
 

 
 
7. Vue plongeante…
 

 
 
8. Au loin, les montagnes de la Maira que nous découvrirons plus tard.
 

 
 
9. Au matin, le ciel bleu est de retour.
 

 
 
10. Sur la piste Strada del Canoni.
 

 
 
11. Vue lointaine…
 

 
 
12. Après avoir tenté de rejoindre la Maira par la vallée de la Meja que nous découvrons fermée par une barrière, on y monte par le Colle Fauniera.
 

 
 
13. C’est un haut lieu du Giro et une sculpture le rappelle.
 

 
 
14. Nous découvrons la piste de la Maira Stura par l’est, à la recharge d’un lieu de bivouac.
 

 
 
15. Le massif est spectaculaire, alternant parois calcaires et prairies d’altitude.
 

 
 
16. …
 

 
 
17. VivaLaVida sur la piste.
 

 
 
18. Val Meja vu d’en haut.
 

 
 
19. Fin de journée depuis notre camp.
 

 
 
La piste étant fermée aux véhicules motorisées le dimanche, nous passerons une journée complète à profiter de ce beau panorama. On vous raconte ça tout bientôt. 🙂
 
 

On descend doucement vers le sud…

 
Après ces deux jours autour du Colle del Nivolet, on se déplace de quelques encablures vers le sud, le long des premiers contreforts alpestres qui bordent la plaine piémontaise.
 
 
1. Petite halte à Pont-Canavese pour nous refourbire en victuailles diverses.
 

 
 
2. Ce village propose l’architecture typique de la région avec des ruelles étroites et des maisons qui surplombent les trottoirs et autres échoppes ainsi ombragés.
 

 
 
3. Ensuite, jolie grimpée sur la piste qui mène au Colle del Colombardo et son imposant sanctuaire qui surplombe Turin.
 

 
 
4. Quelques orages se préparent, qui épargneront toutefois notre campement.
 

 
 
5. On dort sur une butte, le long de la descente versant sud.
 

 
 
6. Bergerie…
 

 
 
7. Fin de journée tranquille…
 

 
 
8. Le lendemain, on remonte au Colle del Finestre que nous avions découvert l’année dernière afin d’accéder à la Strada del Assietta qui était fermée lors de notre précédent passage. Photo souvenir au Colle del Assietta.
 

 
 
9. Cette ancienne route militaire serpente sur une trentaine de kilomètres entre 2’000 et 2’500 mètres d’altitude, reliant le Colle del Finestre à Sestriere. Toutefois, les Tour operators allemands spécialisés dans les voyages 4×4 l’ont presque transformée en autoroute, s’y engouffrant chaque jour par dizaines de convois de 10 à 15 véhicules, à tel point qu’elle est désormais fermée certains jours de la semaine pour préserver un peu de tranquillité aux piétons et autres cyclistes.
 

 
 
10. Nous empruntons une piste secondaire pour nous dénicher un lieu de bivouac sympa…
 

 
 
11. … sur la crête, au-dessus de la Sauze d’Oulx.
 

 
 
12. Piste de l’Assietta depuis notre campement.
 

 
 
Le lendemain, après avoir rempli le frigo à Sestriere, nous remontons le superbe Val Argentera dont nous avions déjà profité l’année dernière. Nous y restons deux jours, seuls dans sa partie haute difficile d’accès sans un 4×4, pour profiter de sa tranquillité et de sa belle rivière.
 
13. VivaLaVida au bivouac.
 

 
 
14. Emile profite de quelques grasses matinées… 😉
 

 
 
15. Lichens sur un rocher dans le haut Val Argentera.
 

 
 
16. Emile est aux anges !
 

 
 
17. Haut Val Argentera.
 

 
 
La suite de nos découvertes d’ici quelques jours… 😀
 
 

Vacances d’automne (4)

 
 
1. Réveil à 2’600 m, sous le fort Jafferau et la pleine lune.
 

 
 
2. Univers minéral dans la lumière chaude du levant…
 

 
 
3. Un autre fort, celui de Föens, bien plus bas dans la montagne.
 

 
 
4. J’aime ces landes d’altitude.
 

 
 
5. Encore un fort abandonné, juste à côté de notre bivouac.
 

 
 
6. Il est temps de lever le camp.
 

 
 
7. En descendant, on retrouve les mélèzes dorés…
 

 
 
8. … et une piste bien plus roulante sur ce versant.
 

 
 
9. Le fort de Föens…
 

 
 
10. … dont nous découvrons une partie de l’intérieur.
 

 
 
11. Il est déjà temps de rentrer car c’est la fin des vacances. Dernier bivouac sous le col du Galibier. Malgré la température négative, Emile joue avec ses petites voitures. 🙂
 

 
 
12. Derniers rayons sur les sommets alentours et dernière image de VivaLaVida cette saison.
 

 
 
Merci d’avoir suivi nos quelques pérégrinations 2021.
 
Il est temps pour Emile et moi de vous souhaiter de belles Fêtes de Noël ! A bientôt pour de nouvelles aventures !! 🙂
 
 

Vacances d’automne (2)

 
 
Suite de ces quelques jours de détente et découvertes…
 
 
1. Pour descendre du Mont-Cenis sur l’Italie, VivaLaVida découvre une piste, ancienne route frontière, dont certains passages sont spectaculaires.
 

 
 
2. Passage près du joli petit lac de Roterel…
 

 
 
3. … alors que le ciel bleu revient.
 

 
 
4. Les mélèzes sont déjà magnifiques avec leur teinte jaune-orangé automnale…
 

 
 
5. Virages…
 

 
 
6. Autre petit lac, celui d’Arpon, juste après la frontière italienne.
 

 
 
7. On y fait une petite alte pour le casse-croute…
 

 
 
8. … près d’un joli alpage déjà fermé à cette saison.
 

 
 
9. En attendant que l’épicerie ouvre – elle est fermée à l’heure de la sieste – Emile paufine sa technique à vélo ! 😀
 

 
 
10. Nous prenons la direction de la haute vallée de la Clarée via le Col de l’Echelle.
 

 
 
11. Réveil au bout de la route par une belle journée automnale idéale pour aller marcher.
 

 
 
12. Emile est bon marcheur, 5 ou 10 km à la montée ne l’effraient pas !
 

 
 
13. Montée vers le Lac Long au milieu des couleurs de l’automne.
 

 
 
14. Arrivée au lac où la température ne dépasse guère 0°C.
 

 
 
15. Quiétude immaculée…
 

 
 
16. Pause à l’abris du vent du nord qui souffle fort.
 

 
 
17. Lac Long dans un écrin de mirtillers rougis par l’automne.
 

 
 
18. Rencontre avec un beau criquet un peu engourdi par le froid.
 

 
 
19. Redescente vers VivaLaVida
 

 
 
La suite bientôt… 🙂
 
 

Stop forcé et début des Pyrénées

 
Aujourd’hui, nous poursuivons la route vers les Pyrénées.
 
Après une soixantaine de kilomètres, j’engage VivaLaVida sur l’autoroute A6 au nord d’Orange. Je prends sa vitesse de croisière – 100 km/h – et je n’ai pas fait 5 km qu’un bruit sourd s’intensifie rapidement. Aucun doute, quelque chose ne va pas sur le châssis. Je ralentis immédiatement et me range sur la bande d’arrêt d’urgence. Nous sommes à 500 mètres d’une aire d’autoroute et je me laisse doucement couler jusque là à 40 km/h. Alors que je descends pour tenter d’identifier la source du problème, stupeur : 4 des 8 goujons de la roue arrière gauche sont cassés, les écrous ayant évidemment disparu dans la nature ! Je sors la clé de 21 et constate que les 4 écrous restant sont largement desserrés. Alors que je les resserre, un cinquième goujon se rompt. On a vraiment failli perdre une roue et je n’ose pas imaginer quelles auraient pu être les conséquences, autant pour VLV que pour les autres usagers de l’autoroute avec une roue folle de 90 cm de diamètre et env. 50 kg lancée à 100 km/h..!
 
Cette roue resserrée, nous nous trainons jusqu’à la prochaine sortie autoroutière 4 km plus loin. Nous nous rendons dans un garage poids-lourd et commandons un jeu de 32 goujons et 32 écrous aux Etats-Unis puisqu’ils sont spécifiques à la conversion 4×4 de VLV. Chris nous les enverra le lendemain matin en Express et ils arriveront finalement le vendredi à 16h. Entretemps, nous rejoignons le camping “Manon” à Orange, où nous passerons ces 5 jours d’attente. La piscine et la ville toute proche permettront de quelque peu divertir l’équipage stoppé dans son élan..!
 
 
1. Repas du soir au camping…
 

 
 
2. Petite compensation. 😉
 

 
 
3. Le célèbre théâtre d’Orange et ses gradins.
 

 
 
4. On profite de la piscine.
 

 
 
5. Distractions…
 

 
 
Une fois VivaLaVida réparé, nous reprenons le voyage vers les Pyrénées espagnoles. Nous y arrivons en fin de journée un samedi, en même temps qu’une perturbation et il pleut copieusement. Nous nous arrêtons à même la piste que nous emprunterons le lendemain alors qu’il fait déjà presque nuit.
 
6. Levant coloré alors qu’Emile dort encore.
 

 
 
7. La piste qui oscille à 2’000 mètres d’altitude est magnifique.
 

 
 
8. C’est l’occasion de tester l’adaptateur Isofix que j’ai fait pour installer le siège d’Emile à l’avant. Il est aux anges ! 😀
 

 
 
9. Vue sur la plaine, loin au sud.
 

 
 
10. VLV est content de retrouver la piste.
 

 
 
11. On découvre de jolis villages…
 

 
 
12. …et une géologie variée.
 

 
 
13. Un autre de ces village pyrénéens.
 

 
 
14. Nous rejoignons un plateau d’altitude, le Pedró dels Quatre Batlles, après une montée où la transmission 4×4 aura été bien utile !
 

 
 
15. Il souffle un vent à décorner des boeufs. Est-ce pour cela que la végétation prend la forme de barkanes ?
 

 
 
16. L’ambiance est magnifique alors que le soleil descend.
 

 
 
17. Derniers rayons avant le couchant. Le vent nous secouera une bonne partie de la nuit alors qu’il ne fera que 4° au matin.
 

 
 
A bientôt pour la suite.
 
 

Alpes italiennes (suite)

 
 
1. Après le Sommeillier, nous avons rallié le col de la Finestre. Arrivée en fin d’après-midi dans un épais brouillard, nous décidons tout de même d’y dormir dans l’espoir d’une meilleure météo le lendemain.
 

 
 
2. Tôt le matin, le brouillard a un peu baissé
 

 
 
3. Il se dissipe petit à petit, laissant entrevoir la piste empruntée la veille.
 

 
 
4. Derniers lacets avant le col.
 

 
 
5. Versant nord.
 

 
 
6. Versant sud.
 

 
 
7. Contre-jour…
 

 
 
Je voulais continuer par la piste du Colle dell Assietta mais un arrêté communal en interdit l’accès aux véhicules de mi-juin à mi-septembre, sans doute le résultat d’une fréquentation intensive ces dernières années par des groupes de 10 à 20 4×4 venant principalement d’Allemagne (ces tours organisés sont devenus très populaires pour les Allemands qui n’ont guère de montagnes chez eux). Du coup, descente du versant sud du col et direction Sestrières où nous faisons quelques emplètes pour remplir le frigo. Emile nous y choisi une succulente tomme de brebis, non sans l’avoir dégustée au comptoir !
 
Nous allons ensuite découvrir la superbe vallée Argentera, encore sauvage sur sa partie haute puisqu’il faut un 4×4 pour y accéder.
 
 
8. Nous trouvons un super bivouac à côté de la rivière.
 

 
 
9. Notre bivouac depuis plus haut.
 

 
 
10. Haute vallée Argentera
 

 
 
Nous sommes déjà vendredi et et je décide de traverser sur les Pyrénées pour en profiter deux semaines, sachant que dans quinze jours, je poserai Emile en Corrèze pour la suite de ses vacances.
 
 
11. Après une demi-journée de route, arrêt pour la nuit dans la Drôme.
 

 
 
12. Ambiance calme du couchant
 

 
 
La suite dans un prochain article. 😉
 
 

Fjords de l’est et derniers tours de roues…

 
Nous sommes mardi, le ferry part demain mercredi, il me faut donc finir la route vers l’est.
 
 
1. Une ferme et sa petit église dans la plaine.
 

 
 
2. Ces plaines sont en fait des deltas alluviaux (Gravel bars) au pied des montagnes qui forment les fjords de l’Est.
 

 
 
3. Petit arrêt à la puissante cascade de Nykurhylsfoss, aussi parfois appelée Sveinsstekksfoss.
 

 
 
4. VivaLaVida fait un petit crochet par la vallée de laquelle elle descend sur une piste qui ressemble plus à une rivière par endroit 🙂
 

 
 
5. Cette vallée n’est qu’un magnifique escalier de basalte dont chaque marche crée une chute d’eau. Splendide ! Dommage de ne plus avoir le temps de l’explorer plus loin…
 

 
 
6. Avec les couleurs automnales désormais bien présentes, c’est magnifique.
 

 
 
7. Un peu plus loin, le sur un petit col, la chute de Folaldafoss.
 

 
 
8. VLV empruntera une piste chaotique pour trouver un joli dernier campement islandais près d’un petit lac, à 700 m d’altitude.
 

 
 
9. La nuit sera particulièrement agitée, avec des vents à presque 100 km/h selon la météo et une forte pluie. Au matin, la pluie m’offre quelque répit alors que le vent se maintient.
 

 
 
10. Comme il me reste quelques heures avant l’embarquement, je décide de prendre la piste F936 et suis surpris de la découvrir parfaitement nivelée, sans tôle ondulée ou nids de poule. Après une dizaine de km, je comprends pourquoi..! Je ne prends pas le risque de passer et fais demi-tour.
 

 
 
11. Du coup, VLV monte faire une petite exploration vers le nord…
 

 
 
12. … découvrir la jolie église de Kirkjubaejarkirkja.
 

 
 
13. Détails des volets de porte.
 

 
 
14. En montant un petit col, une grande plage exposé à l’océan arctique se révèle.
 

 
 
15. Petit arrêt dans une vallée latérale colorée, obstruée par une paroi de basalte.
 

 
 
16. Couleurs minérales.
 

 
 
17. Dernière image d’une lande pluvieuse…
 

 
 
18. VivaLaVida retrouve le Nöronna pour la traversée du retour.
 

 
 
En conclusion de ces quelques semaines en Islande, j’éprouve un sentiment mitigé. L’île recèle une densité de trésors naturels incroyables pour qui, comme moi, aime les paysages nordiques désolés et sauvages. Alliés à l’omniprésence d’une activité volcanique soutenue et souvent extrêmement récente, le cocktail est souvent époustouflant. Par contre, à cause de tours operators avides de gagner de l’argent, cette destination est devenue si touristique que les conséquences de ce tourisme de masse deviennent visibles presque partout. Interdictions d’accès de plus en plus fréquentes, législation cherchant à limiter l’impact sur la nature fragile, sites souvent aménagés d’infrastructures disgracieuses et envahis par des dizaines de cars, mini-campers commerciaux loués par centaines et, corollaire sans doute, des islandais peu affables et souvent même antipathiques à l’attention des étrangers… Sans compter un coup de la vie exorbitant : un plein de VLV, c’était plus de 350.- CHF..!
 
A part les quelques pistes intérieures auxquelles VivaLaVida nous a permis d’accéder hors des sentiers battus, la pression de ce tourisme m’a vraiment dérangé. Et nous y étions pourtant en fin de saison, avec nettement moins de monde qu’en juillet ou début août. Bien sûr, je comprends l’envie de chacun de découvrir cette nature brute. Pourtant, il est d’autres lieux sur la planète, tout aussi spectaculaires mais moins exploités par les voyagistes qui savent encore préserver leurs contrées et sont à mes yeux nettement plus plaisants à visiter.
 
Pas de regrets pourtant d’avoir eu l’occasion de faire découvrir à Isabelle – Emile est sans doute encore trop petit pour s’en souvenir plus tard – cette grande île et ses magnifiques paysages si variés !
 
 
Alors que le ferry Nöronna faisait escale à Torshávn sur le retour, j’ai eu la chance d’une météo clémente pour vous proposer quelques nouvelles images de la capitale des Féroés.
 
19. Cette petite ville propose des dizaines de petites ruelles aux jolies maisons qui dénotent avec les pavillons style américain de l’Islande.
 

 
 
20. Vue sur la ville.
 

 
 
21. Port de plaisance.
 

 
 
22. La traversée vers le Danemark sera quelque peu mouvementée, avec un fort coup de vent, rafales à 110 km/h et creux de 6-7 mètres.
 

 
 
23. Couchant venteux…
 

 
 
Le retour vers la Suisse s’est passé normalement à part une durite de turbo qui s’est déboîtée, obligeant VLV à se traîner sur les 500 derniers km…
 
Merci à vous d’avoir suivi le récit de ce voyage islandais de VivaLaVida qui va maintenant se refaire une petite santé (simmering de nez de pont à changer, rotules à remplacer, et révision châssis complète après les plus de 6’500 km parcourus, dont sans doute plus d’un millier sur les diverses pistes empruntées. Vous pouvez d’ailleurs visualiser le trajet sur la carte “Europe” de ce blog… 😉
 
Et à bientôt pour la suite du voyage de VivaLaVida ! 😀
 
 

Highlands I – F26 / F910

 
1. Après avoir fait le plein de VivaLaVida (avec le diesel à plus de 2.20 le litre, c’est plus de 370.- le plein !), nous entamons la traversée des Highlands vers le Nord-Est via la piste F26 puis F910 qui passe au nord du Vatnajökull.
 

 
 
2. Nous prendrons deux jours pour rallier le site d’Askja au travers de paysages magnifiques et immenses.
 

 
 
3. …
 

 
 
4. …
 

 
 
5. …
 

 
 
6. …
 

 
 
7. Giboulée…
 

 
 
8. Notre piste…
 

 
 
9. …
 

 
 
10. …
 

 
 
11. Après presque 200 km exclusivement minéraux, revoici un peu de couleurs végétales…
 

 
 
12. A 800 m, la neige est proche.
 

 
 
13. La mousse croît le long des sillons creusés par l’eau qui ruisselle en surface, formant des formes géométriques.
 

 
 
14. Le ciel finit par s’ouvrir un peu au nord.
 

 
 
15. L’occasion pour Emile de se dégourdir les jambes ! 😉
 

 
 
16. …
 

 
 
17. …
 

 
 
18. Alors que nous empruntons la variante sud de la F910 en prenant de l’altitude, le temps se dégrade et la neige recouvre rapidement la lave.
 

 
 
19. Alors qu’il neige, VLV est la seule note un peu colorée de ce paysage.
 

 
 
20. Paysage naturellement monochrome.
 

 
 
21. …
 

 
 
Nous passons une nuit froide pas loin du refuge de Kistufell, proche de l’extrémité nord du VatnaJökull.
 
Suite du périple de VivaLaVida tout bientôt ! Merci de votre fidélité.