septembre, 2018

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Côte Sud…

 
1. Tout d’abord, comme Gaël réclamait la famille au complet, la voici. 😀
 

 
 
2. Petit exemple de la langue à la caisse d’un magasin, incompréhensible et imprononçable pour nous.
 

 
 
Et pour vous montrer un peu ce que peut être la pluie, voici une petite vidéo d’Isabelle faite le jour précédent où il a plu ainsi presque toute la journée..!
 
 
3. Poursuite de la côte sud vers l’est. VivaLaVida traverse de nombreuses “Gravel Bars”, de larges lits de rivière, zones alluviales que les crues régulières nettoient de toute végétation.
 

 
 
4. Retour des averses qui offrent de beaux ciels.
 

 
 
5. Cascade Foss á Síðu le long de la route n°1.
 

 
 
6. Nouvel arc-en-ciel devant, au loin, la calotte glacière du Vatnajökull.
 

 
 
7. Et un autre pour célébrer VivaLaVida.
 

 
 
8. Une autre Gravel Bar.
 

 
 
9. Grain sur la côte.
 

 
 
10. Bordure de la calotte glacière sur Vatnajökull, la plus vaste d’Islande.
 

 
 
11. Elle comporte de nombreux volcans plus ou moins actifs, certains la transperçant, d’autres dissimulés sous la glace..
 

 
 
12. Le soir venu, VivaLaVida trouve une chouette place pour camper en sauvage près d’un lac glaciaire.
 

 
 
13. Premières couleurs à l’aube.
 

 
 
14. VivaLaVida au campement, tout petit et tout proche des glaciers.
 

 
 
15. Jeux de lumière…
 

 
 
16. … sur les éléments bruts.
 

 
 
17. Je ne pouvais ne pas montrer à Isabelle, fan de bijoux, la “Diamond Beach”, célèbre pour les icebergs qui se détachent du Vatnajökull et se déversent dans l’océan par le lac Jökulsárlón avant de s’échouer sur la plage noire… On a d’ailleurs trouvé la chaussure de Gaston Lagaffe ! 😉
 

 
 
18. Photo souvenir…
 

 
 
19. Le lac Jökulsárlón.
 

 
 
20. Les plus gros icebergs attendent de fondre pour pouvoir traverser la passe par laquelle le lac s’écoule dans l’océan.
 

 
 
Dans la prochaine mise à jour, nous quitterons la côte pour aller découvrir la zone du Lakagigar, des volcans apparus très récemment.
 
 

Premières découvertes en famille

 
Mes passagers bien arrivés, nous avons découvert ensemble la péninsule du Reykjanes avant d’aller à Reykjavik le lendemain pour acheter des vestes chaudes à Isabelle et Emile.
 
 
1. L’activité volcanique est forte sur ce promontoire.
 

 
 
2. Emile est tout content de retrouve le “Camion Papa” !
 

 
 
3. La lave qui a coulé jusqu’à la mer crée de belles falaises.
 

 
 
4. Le beau lac de Kleifarvatn.
 

 
 
5. Malgré quelques averses, la météo est plutôt belle.
 

 
 
6. Champs de lave recouverts de mousses et lichen.
 

 
 
7. L’Islande est sans doute le pays des arc-en-ciel… 😉
 

 
 
8. Tunnel de lave.
 

 
 
9. Il y en a de nombreux ici.
 

 
 
10. Assemblage de 5 images verticales pour vous montrer un cratère apparu il y a quelques centaines d’années seulement.
 

 
 
11. Après quelques emplettes à Reykjavik, on profite d’une journée très pluvieuse pour faire un bout de route sur la côte sud. On croise les fameux véhicules transformés pour rouler sur la neige. Ici, un van similaire à VivaLaVida mais monté sur d’énormes roues !
 

 
 
12. La petite église de Vik.
 

 
 
13. Le promontoir de Dyrhólaey et ses deux arches.
 

 
 
14. Même si le site est hyper touristique, on fait un petit tour à la Reynisfjara Beach et ses aiguilles.
 

 
 
15. Souvenir sur les piliers de basalte.
 

 
 
16. La plage depuis Dyrhólaey.
 

 
 
17. et de l’autre côté, Reynisfjara.
 

 
 
Suite de la découverte de la côte sud dans la prochaine update…
 
 

Traversée et premiers tours de roues en Islande

 
1. Voici le ferry qui relie le Danemark à l’Islande en desservant les Féroés qui arrive.
 

 
 
2. A peine amarré que la port arrière s’ouvre pour laisser sortir les arrivant avant que VivaLaVida n’embarque…
 

 
 
3. Voyage de noces sur le parc d’embarquement ! 😉 Je rencontrerai les propriétaires de ce joli Land Cruiser, Kambiz et Filiz, à bord puis les croiserai plusieurs fois en Islande.
 

 
 
4. Au départ de Tornhavn vers l’Islande, le ferry passe entre les îles de l’archipel.
 

 
 
5. Je repasse ainsi devant Gjógv, au large cette fois.
 

 
 
6. Dernier coup d’oeil avant la haute mer.
 

 
 
7. Le lendemain matin, arrivée à Seydisfjordúr, un fjord tout à l’est de l’Islande. La météo est pluvieuse.
 

 
 
8. En route pour aller chercher ma petite famille à Reykjavik, à l’autre extrémité de l’île ou 800 km plus loin, VivaLaVida se retrouve rapidement dans les Highlands que les couleurs de l’automne ont déjà jaunis…
 

 
 
9. Ces hauts-plateaux sont parcourus par quelques rares routes ou pistes.
 

 
 
10. Ambiance…
 

 
 
11. Canyon…
 

 
 
12. Averses…
 

 
 
13. La géologie volcanique est omniprésente.
 

 
 
14. Ici, l’eau n’a d’autre choix que de ruisseler sur des sols le plus souvent dépourvus de tout humus.
 

 
 
15. Les perspectives sont immenses…
 

 
 
16. Je retrouve par hasard Kambiz et Filiz sur la piste, devant leur premier gué un peu sérieux, à attendre qu’un véhicule passe et leur montre la voie. VivalaVida passe et je leur fais quelques photos souvenir…
 

 
 
17. Grosse rivière taillant son chemin dans le basalte.
 

 
 
18. VLV traversant un champ de lave.
 

 
 
19. Piscine naturelle peu avant l’arrêt pour la nuit…
 

 
 
Enfin, c’est ce que je croyais. En enclenchant le chauffage fraîchement révisé de VLV, le tableau de bord affiche un code erreur : moteur de ventilation air chaud défectueux, moteur qui vient juste d’être remplacé préventivement en Suisse… On est jeudi soir, Isabelle et Emile arrivent samedi à 750 km et le seul endroit où je suis susceptible de réparer est Reykjavik, à 700 km. Du coup, je décide de rouler la nuit pour être à Reykjavik vendredi… 400 km jusque vers 3h du matin où je ferai un petit somme. Arrivé vendredi matin à Reykjavik, je démonte le chauffage pour le porter au revendeur Webasto, 2h30 de travail puisqu’il est bien caché sous l’armoire arrière de VLV. Le technicien découvrira que lors de la révision en Suisse, un faisceau électrique n’a pas été refixé et est entraver le mouvement du ventilateur. Après une facture de plus de 1’600.- CHF, je n’étais guère content. Mais au moins, le chauffage refonctionne pour l’arrivé de mes passagers demain !
 
A bientôt pour la suite.
 
 

Féroés (IV)

 
Comme annoncé, voici donc la dernière mise à jour sur les Féroés, avec quelques images de la vielle ville de Tórshavn, la “capitale” des Féroés, un archipel autonome du Danemark.

 
 
1. La vielle ville est située sur une avancée rocheuse, sorte de presqu’île dans le port.
 

 
 
2. On y trouve bon nombre de maisons traditionnelles avec leur toît couvert de mousse et d’herbes.
 

 
 
3. “Tiny house” 😉
 

 
 
4. Ruelle
 

 
 
5. L’église…
 

 
 
6. … sobre à l’intérieur.
 

 
 
7. …
 

 
 
8. La partie la plus ancienne.
 

 
 
9. Entrée…
 

 
 
10. Le port de plaisance et son fronton animé.
 

 
 
11. Crépuscule depuis le campement de VLV.
 

 
 
12. Les moutons sont partout et vivent en liberté.
 

 
 
13. Certains ont échappé à la tonte depuis un certain temps !
 

 
 
14. Il y en a beaucoup qui sont tout ou partiellement foncés.
 

 
 
15. L’île de Karsoy au petit matin.
 

 
 
La suite dans quelques jours, avec la traversée ver l’Islande en ferry. Merci de nous suivre de la sorte… 😉
 
 

Féroés (III)

 
Continuons le voyage…
 
 
1. En arrivant à Tjornuvik, un autre village isolé connu pour sa plage de sable noire, l’une des rares plages des Féroés. L’endroit est réputé pour le surf car la baie s’ouvre sur l’Atlantique nord, ce qui lui vaut de grosses vagues selon la météo.
 

 
 
2. Le village est lové au fond de la baie.
 

 
 
3. Vue d’ensemble alors que la pluie redouble.
 

 
 
4. Voici quelque chose que je n’avais pas encore vu: une méthode pour faire sécher le foin qui nourrira les moutons durant l’hiver. Comme il pleut tout le temps, il est disposé en murs. Le vent permanent évite que l’herbe ne pourrisse et lui permet de sécher.
 

 
 
5. Zone de repos !
 

 
 
6. Petit col pour aller à Gjógv.
 

 
 
7. En arrivant au village, toujours sous la pluie.
 

 
 
8. Il dispose d’un abri naturel privilégié.
 

 
 
9. Maisons traditionnelles…
 

 
 
10. …
 

 
 
11. Dernière vue avant de repartir…
 

 
 
Parce que trois jours passent vite, le prochain article vous présentera la vielle ville de Tórshavn, la capitale, et la traversée en ferry.
 
See you soon here 😀
 
 

Féroés (II)

 
Voici donc la suite de ma découverte des Féroés. Ces îles sont en plein Gulfstream, ce courant chaud qui vaut à la Scandinavie et plus largement à l’Europe son climat tempéré en regard de sa latitude. Du coup, les températures moyennes varient très peu entre l’été et l’hiver : 9-10°C l’été et 3-4°C l’hiver. Par contre, on y compte en moyenne entre 260 et 280 jours de pluie par année et 300 jours avec du vent ! VivaLaVida n’y s’est arrêté que trois jours mais a eu droit à son lot de pluie, tantôt crachin fin, tantôt grosse rabasse. Pas étonnant que les montagnes dégoulinent de partout ! I n’y a pas 100 mètres sans un ruisseau ou un torrent qui en descend.
 
J’ai profité de la météo clémente du premier jour pour aller découvrir deux spots parmi les plus connus de ces îles…
 
 
1. Sur ma route, le vent crée des nuages sur les falaises…
 

 
 
2. Premier spot, le lac de Leitisvaten, le plus grand lac des Féroés, perché à 35 mètres au-dessus de l’océan !
 

 
 
3. Il se jette dans l’Atlantique par une belle cascade.
 

 
 
4. La falaise que je gravis est impressionnante ! La silhouette en haut donne l’échelle, enfin… si vous arrivez à la voir ! 😉
 

 
 
5. Depuis le haut, le panorama est époustouflant et vertigineux ! Cette image est un assemblage de 4 images verticales.
 

 
 
6. Garages à bateaux traditionnels le long du lac, sur ma marche du retour.
 

 
 
7. En poursuivant la route vers le nord, je découvre ce petit village, juste adorable… Au loin, l’arche de Drangarnir.
 

 
 
8. Et voici le second spot incontournable : la cascade de Gasadalur. Le petit village du même nom était l’un des plus isolé des Féroés jusqu’à la construction d’un tunnel en 2006. Avant, le seul moyen de l’atteindre était la mer ou un sommaire abri permettait aux petits bateaux un accostage scabreux par beau temps. En 1962, le village est resté isolé plus de 5 mois consécutifs à cause d’une série de dépressions atlantiques…
La cascade fait 45 mètres.
 

 
 
9. Vue depuis le haut de la cascade, avec au pied de la falaise, le rocher qui permettait l’accostage…
 

 
 
10. Première rencontre avec le macareux moine dans les falaises…
 

 
 
11. Quel bel oiseau !
 

 
 
12. Ici, on attache les caravanes pour qu’elles ne s’envolent pas les jours de vent, ça veut tout dire !
 

 
 
13. En remontant un fjord en direction du village de Tjornuvik…
 

 
 
14. Cascade le long de la route de VivaLaVida.
 

 
 
15. Falaises sous la pluie. Les Féroés comptent parmi les plus hautes falaises d’Europe. Certaines font 750 m de haut.
 

 
 
Dans la prochaine mise à jour, je vous ferai découvrir la plage noire de Tjornuvik et d’autres coins de ces si belles îles. A bientôt !