plage
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Changement de programme…
Après quelques jours dans les Alpes avec des températures largement au-dessous des normales de saison, Isabelle rêvait de températures plus clémentes. Nous avons donc décidé de traverser sur la Corse pour notre deuxième semaine de vacances, espérant y trouver un peu plus de soleil et de douceur…
1. Réveil à Menton, avant d’embarquer à Nice.
2. En attente de l’embarquement.
3. Emile découvre le pont supérieur.
4. Sur la grande bleue…
5. Arrivés dans la nuit, le lendemain nous permet de profiter du soleil sur le bord de mer.
6. Emile kife les piques-niques en plein air !
7. St-Florent, au pied du Cap Corse.
8. Départ par la piste au travers du maquis pour atteindre une plage déserte.
9. Goûter d’Emile. Nous y croiserons un allemand qui nous annonce que le portail situé à 3 km de la plage est fermé… Nous décidons de faire demi-tour et d’aller vers une autre plage dont nous savons l’accès ouvert.
10. Traversée du Désert des Agriates sur la piste vers Saleccia.
11. La plage de Saleccia, accessible que par bateau ou par une piste plutôt défoncée.
12. Etang saumâtre derrière la plage.
13. On ne peut pas dire que ce soit la foule… 😉
Suite tout bientôt…
Baja California (3)
Plus que les villes que je vous annonçais, je devrais dire bourgades car elles ne sont pas bien grandes.
La première où notre route passait était la bien connue San Ignacio. Il s’agit d’une belle palmeraie qui s’est développée autour d’une source maintenant un petit lac toute l’année.
1. Une place de village qui pourrait rappeler certaines places du sud de la France.
2. La célèbre église de San Ignacio, l’une des mieux préservée de Baja.
3. Splendides façades…
4. Intérieur typique des églises jésuites du milieu 19ème.
5. Les rues sont colorées.
6. Le lac et la palmeraie.
Nous avons continué vers le sud avec une halte à Santa Rosalia, une petite ville vraiment plaisante.
7. Rues animées…
8. Point d’intérêt, une église construite par Gustave Eifel pour une Exposition Internationale et réassemblée ici quelques décennies plus tard.
9. L’intérieur dévoile la structure métallique typique du concepteur.
10. Ruelle…
11. Nous avons fait halte pour la nuit et le jour suivant dans un véritable petit coin de paradis…
12. Panorama au lever du soleil…
13. Cette langue de sable est unique…
14. Une frégate, un voilier incroyable ( env. 2 mètres d’envergure) qui ne bat presque jamais des ailes tant il sait exploiter thermiques et dynamiques…
15. Continuant notre découverte, nous avons rejoins la mission de San Javier, dans les montagnes du centre.
16. Coupoles blanches…
17. Un arbre dans les jardins…
18. Les ouvertures sont petites…
19. … Mais l’édifice est puissant.
20. En suivant la piste vers le sud, une vierge dans un passage exposé de la piste.
A suivre… 😉
Delta du Mississippi
Après la jolie ville de la Nouvelle Orléans, j’ai passé quelques jours dans le delta du Mississippi, une immense zone humide et complètement plate. VivaLaVida a dormi parfois à même la plage et j’ai pu observer bon nombre d’oiseaux…
1. Un campement plutôt sympa, non ?
2. Demi soleil ! 😉
3. un goéland au couchant…
4. Lever de soleil avec une brume de mer…
5. Halo dans la brume…
6. Travail d’une nuit sans doute…
7. Campement…
8. Sternes royales au repos.
Le lendemain, je me suis déplacé de quelques dizaines de kilomètres et suis arrivé au Texas, dans une région où il y a des marais d’eau douce juste derrière les dunes, promesse d’une faune ornitho intéressante.
Alors que je me promenais, j’ai croisé une retraitée bénévole et, échangeant quelques mots avec, elle me dit : “A partir de 17h, les moustiques vont vous attaquer !”
Moi : “Vraiment ? Même par ce vent ?”
Elle : “Oui, priez pour qu’il y ait du vent…”.
J’ai trouvé un endroit pour dormir sur la plage et, après avoir photographié le couchant, je suis rentré dans VLV et ai entrepris de traiter quelques images. Vers 21h30, lorsque j’ai allumé la lumière, stupeur : il était pratiquement impossible de voir à travers les vitres tant il y avait de moustiques posés dessus ! Des milliers au bas mot. Puis j’ai réalisé qu’une bonne cinquantaine étaient parvenus à entrer dans VLV, par où, je n’en suis pas sûr encore. Peut-être par la ventilation avant, toutes les autres issues étant condamnées… Je me suis donc payé une jolie petite chasse au moustique avant de cuisiner mon souper, de même après car de toute évidence, ils continuaient à entrer. Le lendemain matin, il y en avait à nouveau une bonne cinquantaine mais comme heureusement ces petites bêtes ne m’ont jamais beaucoup aimé, je n’avais qu’un piqûre sur un orteil… 😀
Voilà pour l’anécdote.
9. Le campement en question sous une lune presque pleine.
10. Un gravelot à collier interrompu.
11. Deux autres…
12. Morillons à tête rousse.
13. Un beau héron dont je n’ai pas identifié l’espèce…
14-16. Une petite série sur le pélican brun, magnifique.
17. Un voisin de mon campement…
A bientôt…
Florida
Je vous avais laissés sur la côte atlantique de la Géorgie. Allant visiter des amis en Floride, sur le Golfe du Mexique, j’ai depuis là coupé à travers les terres et rejoint la Floride en m’arrêtant dans deux parcs préservant des marais. La météo n’était pas de la partie et n’ayant pas encore reçu le kayak que j’ai commandé, j’ai été un peu frustré de ne pouvoir m’enfoncer dans ces marais grouillant de vie…
1. Forêt de pins sous la pluie…
2. Au petit matin, pas loin de mon campement, un “deer”…
3. Les dindes sauvages étaient aussi de la partie, dans leur milieu typique.
4. Elles sont souvent en petit groupe de 6-10 individus…
5. Un chevalier à pattes jaune ou chevalier criard, difficile à reconnaître…
6. Petite gare sur ma route…
7. Encore des marais forestier dans la Apalachicola National Forest, avec une ambiance incroyable sous cette pluie, entre cris d’oiseaux, croassements des grenouilles et crécelles des gros criquets ; une vraie ambiance jungle ! 😀
8. Le “bear claw swamp”, le marais des griffures d’ours porte bien son nom ! L’ours noir de Floride est présent dans ces forêts et peu peser jusqu’à 160 kg.
9. Puis j’ai atteint le golfe du Mexique. Ici, mirages sur des îles au large.
10. La côte est belle au sud de la Apalchicola Forest, encore plutôt préservée.
11. De jolis inlets – embouchures de rivière où la marée remonte – la parsèment.
12. Les amis que je visitais habitent Panama City Beach, une station balnéaire connue pour sa côte émeraude, son sable blanc et le “Spring Breal” qui est le théâtre de bien des excès chaque printemps pendant deux semaines… Mais les buildings construits sur près de 30 km dénaturent complètement cette portion de côte.
13. Le jour où j’y suis arrivé, j’ai eu droit à un coucher de soleil plendide mais glacial, avec un fort vent de terre…
Les jours suivants, je suis allé visiter le St-Andrew State Park qui protège l’extrémité d’une langue de sable et ai pu y observer divers oiseaux.
14. Un bec scie ou harle huppé sous nos contrées, ici une femelle.
15. Un tourne-pierre à collier
16. Un chevalier semi-palmé (je vous en ai déjà montrés)
17. Un bécasseau sanderling avec un patte blessée. Il s’est laissé approcher à deux mètres, une super proximité.
19. Un grand héron, espèce différente du héron cendré européen.
20. Et alors que je m’apprêtais à rentrer, j’aperçois juste un cou qui sort de l’eau puis redisparaît… Je me suis approché autant que possible pour découvrir un anhinga ! Il marche sous l’eau pour chasser et ne sort la tête que quelques instants pour observer et respirer. C’est l’un des plus anciens oiseaux sur notre planète paraît-il…
Voilà pour aujourd’hui. La suite d’ici quelques jours… 😉
Atlantic Ocean !
Je vous l’avais dévoilé dans mes dernières lignes, VivaLaVida a découvert l’océan le jour de Noël. L’envie de voir un peu autre chose après plus de trois mois d’Appalaches, j’ai donc pris la route vers la Caroline du Sud après un crochet par Atlanta pour découvrir un super World Market (dans lequel il était malheureusement interdit de photographier…) qui m’a permis de m’achalander pour mon souper de Noël…
J’ai quitté Atlanta tard et cette immense ville étant perpétuellement congestionnée par des dizaines de miles de bouchons, je me suis arrêté dans une National Forest 100 km plus loin pour passer la nuit près d’une ancienne tour de guet contre les incendies…
1. Campement…
Ayant décidé de prendre les petites routes pour mieux découvrir les paysages de la Géorgie de l’est, j’ai notamment traversé des zones où l’on cultive les noix. Certains “champs de noyers” s’étendent à perte de vue, comme celui que j’ai squatté pour croquer quelque chose à la mi-journée.
2. Noyers…
En prenant mon temps, je n’ai découvert l’océan qu’à la tombée du jour le 24. Le temps de trouver un coin pour passer la nuit sur Hunting Island, je me suis fait un petit gueuleton de Noël : saumon fumé d’Ecosse à l’aneth et Moscato d’Asti Nivole..!
3. Souper de Noël
J’ai encore fait une petite sortie sur la plage et profité de photographier le ciel. La luminosité était curieuse, avec une lune juste avant son lever, sous l’horizon…
4. Ciel de réveillon…
5. Levé tôt pour aller découvrir l’océan au lever du soleil, j’ai eu droit à nouveau à de splendides couleurs…
6. Presque à l’étale…
Les derniers ouragans ont emporté plus de 100 mètres de rivage, rongeant la plage et laissant parfois un arbre debout qui paraît désormais avoir poussé en mer… Superbe pour les images !
7. Survivant, enfin presque…
Ca ne se voit guère sur les images mais il y avait un fort vent et il faisait 1°C. Je me suis payé une belle débattue en reveant à VLV après 2h30 de ballade !
Ayant repéré un étang derrière les dunes, je suis reparti un peu plus tard observer les oiseaux.
8, 9 et 10 : Chevalier semi-palmé
11 et 12 : Bécasseaux sanderling
13. Grande aigrette
14. Héron à ventre blanc
15. Un autre survivant…
Je me suis ensuite déplacé vers les marais salants, derrière l’île qui m’a abritée pour la nuit.
16. Douceur de ce plat pays…
Ayant repéré aux jumelles un balbuzard pêcheur sur l’un des ponts le pont qui permet d’accéder à l’île, j’ai utilisé VivaLaVida comme affût pour l’approcher, masquant ainsi ma silhouette de bipède qui l’aurait fait détaler à 150 mètres…
17. Chasseur aux aguets…
18. Juste avant de faire ce que nous faisons aux toilettes… 😉
19. Allez, une dernière..! Ce n’est pas tous les jours que je peux approcher un tel seigneur… 😀
Je suis retourné dans les marais salants et j’ai eu la chance de voir encore d’autres espèces…
20. Merle bleu à poitrine rouge
21. Grand mainate. C’est un oiseau très commun ici, peu craintif. Voici le mâle…
22. … et sa femelle…
23. Je finirais cette mise à jour par une vie prise du grand pont qui permet d’accéder à l’île, haut d’une trentaine de mètres. Elle vous permet de découvrir ces marais salants couverts de joncs et inondés à chaque marée…
A suivre…
Et comme les jours passent et que je ne suis jamais certain de pouvoir me connecter convenablement, je vous adresse à tous mes vœux les meilleurs pour l’an neuf qui approche. Puisse-t-il vous inviter à vivre pleinement vos envies et vos rêves tel que j’ai la chance de la faire avec VivaLaVida..!
Un grand merci pour votre fidélité à suivre ce blog… 😀