août, 2021

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Alpes italiennes (suite)

 
 
1. Après le Sommeillier, nous avons rallié le col de la Finestre. Arrivée en fin d’après-midi dans un épais brouillard, nous décidons tout de même d’y dormir dans l’espoir d’une meilleure météo le lendemain.
 

 
 
2. Tôt le matin, le brouillard a un peu baissé
 

 
 
3. Il se dissipe petit à petit, laissant entrevoir la piste empruntée la veille.
 

 
 
4. Derniers lacets avant le col.
 

 
 
5. Versant nord.
 

 
 
6. Versant sud.
 

 
 
7. Contre-jour…
 

 
 
Je voulais continuer par la piste du Colle dell Assietta mais un arrêté communal en interdit l’accès aux véhicules de mi-juin à mi-septembre, sans doute le résultat d’une fréquentation intensive ces dernières années par des groupes de 10 à 20 4×4 venant principalement d’Allemagne (ces tours organisés sont devenus très populaires pour les Allemands qui n’ont guère de montagnes chez eux). Du coup, descente du versant sud du col et direction Sestrières où nous faisons quelques emplètes pour remplir le frigo. Emile nous y choisi une succulente tomme de brebis, non sans l’avoir dégustée au comptoir !
 
Nous allons ensuite découvrir la superbe vallée Argentera, encore sauvage sur sa partie haute puisqu’il faut un 4×4 pour y accéder.
 
 
8. Nous trouvons un super bivouac à côté de la rivière.
 

 
 
9. Notre bivouac depuis plus haut.
 

 
 
10. Haute vallée Argentera
 

 
 
Nous sommes déjà vendredi et et je décide de traverser sur les Pyrénées pour en profiter deux semaines, sachant que dans quinze jours, je poserai Emile en Corrèze pour la suite de ses vacances.
 
 
11. Après une demi-journée de route, arrêt pour la nuit dans la Drôme.
 

 
 
12. Ambiance calme du couchant
 

 
 
La suite dans un prochain article. 😉
 
 

Petite erreur de manipulation…

Désolé si vous avez reçu aujourd’hui un email annonçant la publication d’un nouvel article. Il s’agit d’une erreur de manipulation de ma part.

La suite du récit est à venir bientôt. 😉

Voyage d’été 2021, début par la France et l’Italie

Autant Emile que moi étions impatients de prendre la route après deux ans privés de voyage dans VivaLaVida. Pourtant, alors que nous devions partir un lundi, en essayant de démarrer VivaLaVida le jeudi précédent, pas moyen de le mettre en route ! Je fais les diagnostics et identifie que c’est le régulateur de pression d’injection qui est HS. Je commande la pièce aux Etats-Unis avec envoi express et la recevrai le lundi. Le temps de la monter et de vérifier que tout va bien et nous partirons finalement le mardi en début d’après-midi…
 
 
1. Première étape aux Lac des Fées, dans le Beaufortain.
 

 
 
2. Le lendemain, nous montons au Col de l’Iseran, à 2’764 mètres d’altitude.
 

 
 
3. Emile y fait un kern.
 

 
 
4. Vue sur les montagnes où l’Isère prend sa source.
 

 
 
5. Emile devant une table d’orientation.
 

 
 
6. Nous trouvons un endroit sous le col pour y dormir.
 

 
 
7. Il y a un torrent, du coup Emile y lance quelques cailloux !
 

 
 
8. Tout content !
 

 
 
9. Le soleil se cache derrière la montagne jusqu’au lendemain…
 

 
 
10. Le jour suivant, direction l’Italie dans la vallée de Rochemolles via le Mont Cenis.
 

 
 
11. Et le plaisir d’un premier feu de camp.
 

 
 
12. Repas du soir !
 

 
 
13. Le matin suivant, nous montons au refuge Scarfiotti et ses petits lacs. Je renonce à monter au Col du Sommeillier car il faut payer pour emprunter cette piste sans issue et il y a beaucoup de monde.
 

 
 
14. Cascade derrière le refuge.
 

 
 
Suite du récit dans quelques jours… 😉
 
 

Long arrêt mécanique finalement résolu…

 
Cela fait plus de deux ans que je n’ai rien publié ici, et pour cause : VivaLaVida était à l’arrêt dans l’attente de solutionner un souci mécanique entravant le démarrage à chaud. Ce n’est qu’en fin d’année dernière que j’ai pu m’organiser pour procéder à ce travail impliquant de sortir le moteur.
 
 
1. Installation dans le garage de bon ami Benji.
 

 
 
Le souci provient du circuit hydraulique haute pression qui commande l’injection. Un joint o-ring se détériore avec les vibrations. C’est une faiblesse de ce moteur puisque tous présentent le problème entre 200′ et 300’000.- km. Or pour le remplacer, il faut sortir le moteur, soit 40 heures selon la documentation technique.
 
 
2. Début du démontage : il faut démanteler tout l’avant.
 

 
 
3. C’est que le moteur est “enfouis” sous le tableau de bord.
 

 
 
4. Après 4 jours de travail, on peut enfin soulever le moteur avec la “chèvre”.
 

 
 
5. Et voici le coupable.
 

 
 
6. Je profite que le moteur soit dehors pour poser des goujons de culasse renforcés, supprimant une autre faiblesse potentiel du moteur.
 

 
 
7. Remontage des culasses et de la distribution.
 

 
 
8. Après 6 jours de travail, le moteur est prêt à réintégrer le châssis.
 

 
 
9. Il rentre au chausse-pied !
 

 
 
10. Après 3 jours supplémentaires de travail, c’est presque fini.
 

 
 
Ces deux semaines ont été suivies, quelques mois plus tard, d’un traitement châssis pour stopper la rouille qui commençait à rougir les dessous de VLV. Ainsi, c’est fringant que VLV a repris la route en juillet dernier pour découvrir quelques coins des Alpes et des Pyrénées.
 
Je vous présenterai tout ça très prochainement. 😉 A très bientôt.