août, 2025

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Valle Argentera & Col de Tende

 
Comme indiqué, nous retardons notre descente vers Tende, la météo n’y étant pas favorable. Emile souhaitant y retourner, nous montons dans la Valle Argentera. L’accès y est désormais payant, un péage étant situé sur le pont à l’entrée de la vallée.
 
Nous sommes un peu déçus de découvrir que de gros travaux de protection ont été entrepris, sans doute à la suite des gros orages survenus dernièrement. Ainsi, plusieurs zones de terrassement visant à canaliser les ruisseaux ou torrents latéraux défigurent le bas de la vallée et réduisent beaucoup son charme. Heureusement, plus haut, rien n’a encore été entrepris.
 
1. Nous trouvons un joli spot pour nous poser au bord de la rivière.
 

 
 
2. Vue de notre campement.
 

 
 
3. Tonalités de fin de journée.
 

 
 
4. Le matin suivant, nous faisons une balade en amont pour découvrir un beau torrent.
 

 
 
5. Emile en profite pour se rafraîchir dans la rivière.
 

 
 
6. Brrrr… c’est froid !
 

 
 
7. …
 

 
 
8. Mais ça fait du bien !
 

 
 
9. Le haut de la vallée demeure sauvage…
 

 
 
La météo s’améliorant au sud, nous descendons vers Tende où nous espérons pouvoir découvrir l’Alta Via del Sale (Haute route du Sel), une piste d’env. 80 km qui suit la ligne de crète frontière entre l’Italie et la France. Nous en avions fait la partie ouest en 2017 mais pas la boucle est.
 
10. Les lacets du Col de Tende côté français (sud). Cette piste est fermée à la circulation depuis plusieurs années.
 

 
 
11. Rencontre en arrivant au Fort Central.
 

 
 
12. Première nuit dans les casernes, désertes ce soir là.
 

 
 
13. Comme nous sommes mardi et que la partie réglementée de la Ruta del Sale est réservée aux piétons et vélos les mardi et jeudi, nous partons en découvrir le début à vélo. Ici, dans la montée du Colle Campanino, avec le Fort Central au fond.
 

 
 
14. Emile est à l’aise sur son nouveau VTT, même dans les montées.
 

 
 
15. Au final, nous faisons 19 km et 480 m de dénivelé positif. Bravo à lui !
 

 
 
16. Deuxième nuit dans l’une des anciennes carrières exploitées pour construire les casernes, pour s’abriter car il souffle un fort vent du nord.
 

 
 
17. Les casernes au couchant.
 

 
 
La suite d’ici quelques jours…
 
 

Contrôle technique et départ en vacances d’été…

 
Cette année a commencé par l’expertise technique périodique de VivaLaVida qui a une nouvelle fois été refusée. Presque à chaque présentation, les experts trouvent « autre chose » : cette fois, ils demandaient la preuve que certains équipements non d’origine – il y en a beaucoup sur VLV – étaient déjà présents lors de l’importation en 2016. Autre point, l’éclairage arrière non conforme alors que je l’avais modifié suite aux directives du DTC lors de l’importation et que je n’ai rien touché depuis. VLV a aussi été recalé pour « efficience du frein de parking insuffisante », un classique.
 
Offroad Accessoires à Genève – où Andrew, avec lequel j’avais fait un bout de chemin en Baja California, travaille et qui avait fait passer la première expertise de VLV en Suisse – a aimablement délivré une attestation indiquant que les éléments concernés étaient bel et bien présents lors de l’importation. Pour ma part, j’ai décidé d’agrandir le diamètre du disque de frein de parking afin d’augmenter son efficacité. Les pièces ont été usinées sur mesure.
 
 
1. Dessin technique du disque.
 

 
 
2. Flasque d’étrier.
 

 
 
3. Système monté.
 

 
 
4. …
 

 
 
VivaLaVida représenté pour une contre-expertise, il a encore fallu diverses démarches administratives pour que le service technique accepte finalement de maintenir l’éclairage arrière tel quel et ce n’est donc qu’à fin juin que j’ai enfin pu réimmatriculer VLV. Juste à temps pour les vacances !
 
Ce printemps, avec 4 semaines où Emile serait avec moi, j’avais prévu de partir au Montenegro. Mais ayant perdu mon emploi à fin mai, les obligations liées à l’assurance chômage m’obligent à demeurer disponible sous 48h. J’ai ainsi dû changer les plans et décidé d’aller découvrir de nouveaux coins dans les Alpes italiennes et françaises, à une distance me permettant de rentrer en 2 jours si demandé.
 
 
5. Premier bivouac sous l’averse, au-dessus du barrage des Toules, sur la montée du Grand St-Bernard.
 

 
 
6. Le lendemain, nous allons découvrir le Val Cervinia que je ne connais qu’à ski. Le Cervin est dans les cumulus…
 

 
 
7. Bivouac sur le versant sud, au-dessous de l’Alpe Champlève.
 

 
 
Le lendemain, nous partons pour découvrir une piste menant au col de Pian Fum et un l’alpage de Sualera, repéré il y a plusieurs mois via mes recherches cartographiques. Une barrière a été récemment construite qui entrave désormais l’accès au col. Mais nous trouvons un bel endroit pour bivouaquer au-dessous, sur l’Alpe Folere.
 
8. Nous ne sommes pas loin de Turin, dans les contreforts alpins.
 

 
 
9. Piste…
 

 
 
10. Joli étang près de notre campement. En haut à droite, le col de Pian Fum.
 

 
 
11. C’est l’heure de l’apéro !
 

 
 
12. Après la douche, premier feu de camp des vacances…
 

 
 
13. Avec une grillage bien sûr !
 

 
 
14. Il est temps d’aller se coucher…
 

 
 
15. Le jour suivant, nous gravissons de Colle del Colombardo que nous avions découvert une première fois en 2017. Mais en altitude, la météo n’est guère propice…
 

 
 
16. Ce n’est qu’en redescendant l’autre versant que le brouillard se dissipe un peu.
 

 
 
Alors que les prévisions météo indiquent de la pluie au sud, nous passerons deux jours dans la Valle Argentera, près de Sestrières, où Emile avait envie de retourner. On vous raconte la suite très bientôt… 😉