Colombardo

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Contrôle technique et départ en vacances d’été…

 
Cette année a commencé par l’expertise technique périodique de VivaLaVida qui a une nouvelle fois été refusée. Presque à chaque présentation, les experts trouvent « autre chose » : cette fois, ils demandaient la preuve que certains équipements non d’origine – il y en a beaucoup sur VLV – étaient déjà présents lors de l’importation en 2016. Autre point, l’éclairage arrière non conforme alors que je l’avais modifié suite aux directives du DTC lors de l’importation et que je n’ai rien touché depuis. VLV a aussi été recalé pour « efficience du frein de parking insuffisante », un classique.
 
Offroad Accessoires à Genève – où Andrew, avec lequel j’avais fait un bout de chemin en Baja California, travaille et qui avait fait passer la première expertise de VLV en Suisse – a aimablement délivré une attestation indiquant que les éléments concernés étaient bel et bien présents lors de l’importation. Pour ma part, j’ai décidé d’agrandir le diamètre du disque de frein de parking afin d’augmenter son efficacité. Les pièces ont été usinées sur mesure.
 
 
1. Dessin technique du disque.
 

 
 
2. Flasque d’étrier.
 

 
 
3. Système monté.
 

 
 
4. …
 

 
 
VivaLaVida représenté pour une contre-expertise, il a encore fallu diverses démarches administratives pour que le service technique accepte finalement de maintenir l’éclairage arrière tel quel et ce n’est donc qu’à fin juin que j’ai enfin pu réimmatriculer VLV. Juste à temps pour les vacances !
 
Ce printemps, avec 4 semaines où Emile serait avec moi, j’avais prévu de partir au Montenegro. Mais ayant perdu mon emploi à fin mai, les obligations liées à l’assurance chômage m’obligent à demeurer disponible sous 48h. J’ai ainsi dû changer les plans et décidé d’aller découvrir de nouveaux coins dans les Alpes italiennes et françaises, à une distance me permettant de rentrer en 2 jours si demandé.
 
 
5. Premier bivouac sous l’averse, au-dessus du barrage des Toules, sur la montée du Grand St-Bernard.
 

 
 
6. Le lendemain, nous allons découvrir le Val Cervinia que je ne connais qu’à ski. Le Cervin est dans les cumulus…
 

 
 
7. Bivouac sur le versant sud, au-dessous de l’Alpe Champlève.
 

 
 
Le lendemain, nous partons pour découvrir une piste menant au col de Pian Fum et un l’alpage de Sualera, repéré il y a plusieurs mois via mes recherches cartographiques. Une barrière a été récemment construite qui entrave désormais l’accès au col. Mais nous trouvons un bel endroit pour bivouaquer au-dessous, sur l’Alpe Folere.
 
8. Nous ne sommes pas loin de Turin, dans les contreforts alpins.
 

 
 
9. Piste…
 

 
 
10. Joli étang près de notre campement. En haut à droite, le col de Pian Fum.
 

 
 
11. C’est l’heure de l’apéro !
 

 
 
12. Après la douche, premier feu de camp des vacances…
 

 
 
13. Avec une grillage bien sûr !
 

 
 
14. Il est temps d’aller se coucher…
 

 
 
15. Le jour suivant, nous gravissons de Colle del Colombardo que nous avions découvert une première fois en 2017. Mais en altitude, la météo n’est guère propice…
 

 
 
16. Ce n’est qu’en redescendant l’autre versant que le brouillard se dissipe un peu.
 

 
 
Alors que les prévisions météo indiquent de la pluie au sud, nous passerons deux jours dans la Valle Argentera, près de Sestrières, où Emile avait envie de retourner. On vous raconte la suite très bientôt… 😉
 
 

On descend doucement vers le sud…

 
Après ces deux jours autour du Colle del Nivolet, on se déplace de quelques encablures vers le sud, le long des premiers contreforts alpestres qui bordent la plaine piémontaise.
 
 
1. Petite halte à Pont-Canavese pour nous refourbire en victuailles diverses.
 

 
 
2. Ce village propose l’architecture typique de la région avec des ruelles étroites et des maisons qui surplombent les trottoirs et autres échoppes ainsi ombragés.
 

 
 
3. Ensuite, jolie grimpée sur la piste qui mène au Colle del Colombardo et son imposant sanctuaire qui surplombe Turin.
 

 
 
4. Quelques orages se préparent, qui épargneront toutefois notre campement.
 

 
 
5. On dort sur une butte, le long de la descente versant sud.
 

 
 
6. Bergerie…
 

 
 
7. Fin de journée tranquille…
 

 
 
8. Le lendemain, on remonte au Colle del Finestre que nous avions découvert l’année dernière afin d’accéder à la Strada del Assietta qui était fermée lors de notre précédent passage. Photo souvenir au Colle del Assietta.
 

 
 
9. Cette ancienne route militaire serpente sur une trentaine de kilomètres entre 2’000 et 2’500 mètres d’altitude, reliant le Colle del Finestre à Sestriere. Toutefois, les Tour operators allemands spécialisés dans les voyages 4×4 l’ont presque transformée en autoroute, s’y engouffrant chaque jour par dizaines de convois de 10 à 15 véhicules, à tel point qu’elle est désormais fermée certains jours de la semaine pour préserver un peu de tranquillité aux piétons et autres cyclistes.
 

 
 
10. Nous empruntons une piste secondaire pour nous dénicher un lieu de bivouac sympa…
 

 
 
11. … sur la crête, au-dessus de la Sauze d’Oulx.
 

 
 
12. Piste de l’Assietta depuis notre campement.
 

 
 
Le lendemain, après avoir rempli le frigo à Sestriere, nous remontons le superbe Val Argentera dont nous avions déjà profité l’année dernière. Nous y restons deux jours, seuls dans sa partie haute difficile d’accès sans un 4×4, pour profiter de sa tranquillité et de sa belle rivière.
 
13. VivaLaVida au bivouac.
 

 
 
14. Emile profite de quelques grasses matinées… 😉
 

 
 
15. Lichens sur un rocher dans le haut Val Argentera.
 

 
 
16. Emile est aux anges !
 

 
 
17. Haut Val Argentera.
 

 
 
La suite de nos découvertes d’ici quelques jours… 😀