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Alta Via del Sale

 
C’est mercredi. Nous nous présentons à l’entrée de la Haute route du Sel sans certitude d’y être autorisés. Officiellement, la route est limitée aux véhicules de moins de 6 m de long, 2.5 m de haut et 3.5 tonnes aux maximum.
 
Dans la guérite où l’on paie son passage, je ne cache pas que VivaLaVida déroge aux trois critères précédents et bien m’en prend. Le préposé me dit que mon hônneté m’honore et qu’il me laisse volontiers passer. Il me précise que dans une section en surplomb, il me faudra serrer vers le vide pour ne pas toucher le rocher mais que selon lui, ça devrait passer.
 
Nous sommes tout content de pouvoir découvrir cette piste mythique !
 
1. Dans le fameux virage, juste avant le Colle della Boaria, où nous avons rebroussé chemin à vélo la veille.
 

 
 
2. La piste serpente entre 2’000 et 2’400 mètres d’altitude sur une cinquantaine de kilomètres.
 

 
 
3. Les paysages sont superbes.
 

 
 
4. Après le refuge Don Barbera et le passage en surplomb passé sans souci.
 

 
 
5. Partie plus proche de la limite des arbres.
 

 
 
6. Mont Saccarel, à 2’200 mètres d’altitude.
 

 
 
7. Paysage d’altitude…
 

 
 
8. Ancienne batterie de canon du Mont Saccarel.
 

 
 
9. Depuis le Mont Saccarel, la piste que nous emprunterons pour redescendre. Elle s’avérera en mauvais état et il nous faudra plus de deux heures pour rejoindre La Brigue où nous passerons la nuit dans un petit camping.
 

 
 
10. Chapelle Notre Dame des Fontaines, peu avant la Brigue.
 

 
 
11. Après une bonne nuit précédée d’une petit resto, nous allons faire quelques emplettes à Breil-sur-Roya puis prenons une piste menant au parc du Mercantour. Ici, le joli village perché de Soargue.
 

 
 
12. Breil-sur Roya.
 

 
 
13. Depuis un peu plus haut, là où nous nous sommes arrêtés pour le lunch.
 

 
 
Nous croisons un garde du parc du Mercantour qui nous informe que le coeur du parc a été étendu et que la piste projetée le traverse désormais. Elle est donc interdite à toute circulation.
 
Il nous indique une alternative qui fait un sacré détour mais nous permet d’éviter le coeur du parc. Nous rebroussons donc chemin jusqu’à un embranchement et empruntons les pistes indiquées. La boucle est nettement plus longue mais nous permet de découvrir les collines de l’arrière pays avec la Méditerranée en arrière-plan.
 
14. Nous trouvons un superbe spot de bivouac quelques kilomètres avant les casernes du Turini que nous découvrirons le lendemain.
 

 
 
15. Promenade en fin de journée…
 

 
 
La suite à venir bientôt… 😉
 

Valle Argentera & Col de Tende

 
Comme indiqué, nous retardons notre descente vers Tende, la météo n’y étant pas favorable. Emile souhaitant y retourner, nous montons dans la Valle Argentera. L’accès y est désormais payant, un péage étant situé sur le pont à l’entrée de la vallée.
 
Nous sommes un peu déçus de découvrir que de gros travaux de protection ont été entrepris, sans doute à la suite des gros orages survenus dernièrement. Ainsi, plusieurs zones de terrassement visant à canaliser les ruisseaux ou torrents latéraux défigurent le bas de la vallée et réduisent beaucoup son charme. Heureusement, plus haut, rien n’a encore été entrepris.
 
1. Nous trouvons un joli spot pour nous poser au bord de la rivière.
 

 
 
2. Vue de notre campement.
 

 
 
3. Tonalités de fin de journée.
 

 
 
4. Le matin suivant, nous faisons une balade en amont pour découvrir un beau torrent.
 

 
 
5. Emile en profite pour se rafraîchir dans la rivière.
 

 
 
6. Brrrr… c’est froid !
 

 
 
7. …
 

 
 
8. Mais ça fait du bien !
 

 
 
9. Le haut de la vallée demeure sauvage…
 

 
 
La météo s’améliorant au sud, nous descendons vers Tende où nous espérons pouvoir découvrir l’Alta Via del Sale (Haute route du Sel), une piste d’env. 80 km qui suit la ligne de crète frontière entre l’Italie et la France. Nous en avions fait la partie ouest en 2017 mais pas la boucle est.
 
10. Les lacets du Col de Tende côté français (sud). Cette piste est fermée à la circulation depuis plusieurs années.
 

 
 
11. Rencontre en arrivant au Fort Central.
 

 
 
12. Première nuit dans les casernes, désertes ce soir là.
 

 
 
13. Comme nous sommes mardi et que la partie réglementée de la Ruta del Sale est réservée aux piétons et vélos les mardi et jeudi, nous partons en découvrir le début à vélo. Ici, dans la montée du Colle Campanino, avec le Fort Central au fond.
 

 
 
14. Emile est à l’aise sur son nouveau VTT, même dans les montées.
 

 
 
15. Au final, nous faisons 19 km et 480 m de dénivelé positif. Bravo à lui !
 

 
 
16. Deuxième nuit dans l’une des anciennes carrières exploitées pour construire les casernes, pour s’abriter car il souffle un fort vent du nord.
 

 
 
17. Les casernes au couchant.
 

 
 
La suite d’ici quelques jours…
 
 

Contrôle technique et départ en vacances d’été…

 
Cette année a commencé par l’expertise technique périodique de VivaLaVida qui a une nouvelle fois été refusée. Presque à chaque présentation, les experts trouvent « autre chose » : cette fois, ils demandaient la preuve que certains équipements non d’origine – il y en a beaucoup sur VLV – étaient déjà présents lors de l’importation en 2016. Autre point, l’éclairage arrière non conforme alors que je l’avais modifié suite aux directives du DTC lors de l’importation et que je n’ai rien touché depuis. VLV a aussi été recalé pour « efficience du frein de parking insuffisante », un classique.
 
Offroad Accessoires à Genève – où Andrew, avec lequel j’avais fait un bout de chemin en Baja California, travaille et qui avait fait passer la première expertise de VLV en Suisse – a aimablement délivré une attestation indiquant que les éléments concernés étaient bel et bien présents lors de l’importation. Pour ma part, j’ai décidé d’agrandir le diamètre du disque de frein de parking afin d’augmenter son efficacité. Les pièces ont été usinées sur mesure.
 
 
1. Dessin technique du disque.
 

 
 
2. Flasque d’étrier.
 

 
 
3. Système monté.
 

 
 
4. …
 

 
 
VivaLaVida représenté pour une contre-expertise, il a encore fallu diverses démarches administratives pour que le service technique accepte finalement de maintenir l’éclairage arrière tel quel et ce n’est donc qu’à fin juin que j’ai enfin pu réimmatriculer VLV. Juste à temps pour les vacances !
 
Ce printemps, avec 4 semaines où Emile serait avec moi, j’avais prévu de partir au Montenegro. Mais ayant perdu mon emploi à fin mai, les obligations liées à l’assurance chômage m’obligent à demeurer disponible sous 48h. J’ai ainsi dû changer les plans et décidé d’aller découvrir de nouveaux coins dans les Alpes italiennes et françaises, à une distance me permettant de rentrer en 2 jours si demandé.
 
 
5. Premier bivouac sous l’averse, au-dessus du barrage des Toules, sur la montée du Grand St-Bernard.
 

 
 
6. Le lendemain, nous allons découvrir le Val Cervinia que je ne connais qu’à ski. Le Cervin est dans les cumulus…
 

 
 
7. Bivouac sur le versant sud, au-dessous de l’Alpe Champlève.
 

 
 
Le lendemain, nous partons pour découvrir une piste menant au col de Pian Fum et un l’alpage de Sualera, repéré il y a plusieurs mois via mes recherches cartographiques. Une barrière a été récemment construite qui entrave désormais l’accès au col. Mais nous trouvons un bel endroit pour bivouaquer au-dessous, sur l’Alpe Folere.
 
8. Nous ne sommes pas loin de Turin, dans les contreforts alpins.
 

 
 
9. Piste…
 

 
 
10. Joli étang près de notre campement. En haut à droite, le col de Pian Fum.
 

 
 
11. C’est l’heure de l’apéro !
 

 
 
12. Après la douche, premier feu de camp des vacances…
 

 
 
13. Avec une grillage bien sûr !
 

 
 
14. Il est temps d’aller se coucher…
 

 
 
15. Le jour suivant, nous gravissons de Colle del Colombardo que nous avions découvert une première fois en 2017. Mais en altitude, la météo n’est guère propice…
 

 
 
16. Ce n’est qu’en redescendant l’autre versant que le brouillard se dissipe un peu.
 

 
 
Alors que les prévisions météo indiquent de la pluie au sud, nous passerons deux jours dans la Valle Argentera, près de Sestrières, où Emile avait envie de retourner. On vous raconte la suite très bientôt… 😉
 
 

Lac de la Meja

 
Le lendemain matin, nous partons en randonnée pour aller découvrir le lac de la Meja malgré la météo mitigée.
 
1. Notre campement en montant vers le petit col qui nous surplombe.
 

 
 
2. Nous apercevons quelques bouquetins vers le col.
 

 
 
3. Les montagnes apparaissent et disparaissent dans les nuages.
 

 
 
4. Encore quelques marais le long du sentier.
 

 
 
5. Nous voici au lac de la Meja.
 

 
 
6. Petits champignons sur une bouse.
 

 
 
7. La pluie recommence alors que retournons vers VivaLaVida…
 

 
 
8. Il est déjà temps de prendre le chemin du retour. Petit arrêt en montant le col de la Maddalena.
 

 
 
Dans le prochaine article, on découvrira une belle vallée de Haute Ubaye.
 

Maira Stura

 
Comme annoncé, nous avons continué vers le sud en espérant pouvoir accéder à la Maira Stura qui était fermée lors de notre dernier passage en été.
 
1. Chapelle de San Salvatore, en remontant le Val Maira.
 

 
 
2. Village de Macra, dans cette même vallée.
 

 
 
3. Effectivement, la barrière après Pian Preit est ouverte à cette saison. Nous pouvons ainsi monter la petite route vers le col de la Meja.
 

 
 
4. Météo nuageuse alors que la route s’élève…
 

 
 
5. …
 

 
 
6. Le calcaire est abrupte su ce versant.
 

 
 
7. Sous le Col de la Meja.
 

 
 
8. Nous poursuivons sur la piste en direction du refuge Gardetta.
 

 
 
9. La Meja dans les nuages.
 

 
 
10. Marécages d’altitude.
 

 
 
11. L’ambiance est magique avec le brouillard qui arrive.
 

 
 
12. Les tons de l’automne…
 

 
 
13. Sous le refuge Gardetta, à 2’300 m d’altitude.
 

 
 
14. Nous faisons toute la traversée de la Maira Stura par le col Margherina sous la pluie. Ici, les anciennes casernes Della Bandia.
 

 
 
15. Nous trouvons une jolie place de bivouac au bord d’une petite gouille.
 

 
 
16. Crépuscule pluvieux et venteux.
 

 
 
La suite d’ici peu… 😉
 

Vacances d’automne : Lago Lauson

 
Pour la deuxième semaine des vacances d’Emile, nous partons à la découverte de nouveaux spots alpins…
 
1. Couchant sur notre premier bivouac, près de Sansicario.
 

 
 
2. Troupeau en montant vers Sestrière.
 

 
 
3. En descendant la vallée du Cluson.
 

 
 
4. Sur la piste qui mène au lac Lauson.
 

 
 
5. Presque à 2’000 mètres, les mélèzes sont magnifiques dans leur robe d’automne.
 

 
 
6. Le meilleur des copilotes !! 😀
 

 
 
7. Voici le lac Lauson.
 

 
 
8. Encore quelques trouées de soleil alors que les nuages s’amoncellent.
 

 
 
9. Arbre solitaire…
 

 
 
10. Bergerie sous le lac.
 

 
 
11. Maison d’alpage.
 

 
 
12. Avant le souper, non montons à pied l’ancienne route militaire au-dessus du lac, désormais fermée par une barrière. On surplombe VLV à son campement, près du lac.
 

 
 
13. Mélèzes dorés…
 

 
 
14. Trouée après la pluie.
 

 
 
15. La vue depuis notre campement, au couchant…
 

 
 
16. Dernières couleurs…
 

 
 
Après une nuit arrosée, nous continuerons vers le sud…
 

Jafferau puis Vallée étroite et Clarée…

 
En dressant le camp, je me fais une sale entorse en me foulant violemment la cheville. Malgré l’onguent appliqué rapidement et un bandage pour tenter de réussir à poser le pied par terre, il va me falloir réviser les plans. Zut! Me voilà contraint de renoncer à une marche planifiée pour le sur-lendemain. Ainsi, après avoir dormi juste sous le fort de Jafferau, nous profitons du matin pour aller faire le tour de ce fortin en ruine.
 
 
1. Portail sud ou ce qu’il en reste…
 

 
 
2. Ici, des bases de batteries de tir sans doute, avec les arcs indiquant les directions de tir.
 

 
 
3. Et l’une des nombreuses chambres voutées qui servaient sans doute de cantonnement.
 

 
 
4. Vue plongeante sur un alpage en contrebas.
 

 
 
5. Vue panoramique du côté des Ecrins à l’ouest.
 

 
 
6. Redescente sur Bardonecchia par le flanc nord-ouest.
 

 
 
7. Nous profitons de l’après-midi pour aller découvrir la Vallée Etroite, à cheval sur la frontière franco-italienne. L’enfilade vers le Mont Thabor est magnifique avec les couleurs de l’automne.
 

 
 
8. A l’opposé, par là où nous sommes arrivés.
 

 
 
9. La rivière qui a creusé cette vallée, dénommé Ruisseau de la Vallée étroite.
 

 
 
10. Je profite de varier les compos puisque je ne peux guère marcher. Variation 1.
 

 
 
11. Variante 2.
 

 
 
12. Et une dernière avant de repartir faire quelques courses à Bardonecchia et faire le plein à VivaLaVida pour pallier aux grèves en France.
 

 
 
La suite avec un retour en Clarée dans quelques jours. A bientôt ! 😀
 
 

Découverte et re-découverte…

 
Toujours dans le vallon qui mène au col du Sommeiller, nous nous arrêtons pour découvrir une vaste alcove créée par l’effondrement d’un rocher friable.
 
 
1. La cavité visible de l’autre côté du torrent, en haut d’une pente escarpée.
 

 
 
2. Nous y voilà. Emile donne l’échelle.
 

 
 
3. J’en profite pour « encadrer » le paysage…
 

 
 
4. Retour à VivaLaVida.
 

 
 
5. VLV dans les lacets de la piste au-dessus du refuge Scarfiotti.
 

 
 
6. Les montagnes alentours alors que le soleil s’oriente tranquillement à l’ouest.
 

 
 
7. La vallée au-dessous du refuge.
 

 
 
8. Réveil bien au chaud !
 

 
 
9. C’est la période où les mélèzes sont tout dorés !
 

 
 
10. Le village de Rochemolle.
 

 
 
11. Montée au Colle Basset que nous avions emprunté dans l’autre sens cet été.
 

 
 
12. Au fur et à mesure qu’on s’élève, la vue s’ouvre aux lointains…
 

 
 
13. VLV sur la piste au-dessus du Colle Basset.
 

 
 
14. Le Valfredda.
 

 
 
15. Fortin en ruine.
 

 
 
16. Nous dormons juste au-dessus, avec un superbe panorama !
 

 
 
Suite à venir bientôt… 😀
 
 

Vacances d’automne

 
Notre petite semaine de vacances avec Emile commence par un jour pluvieux. Nous en profitons pour faire la route vers la région de Bardonecchia où j’espère pouvoir emprunter la piste du Sommeiller que nous n’avions pu découvrir cet été.
 
 
1. Campement pluvieux au-dessus de Rochemolle.
 

 
 
2. Le lendemain matin, les nuages ont disparu et le ciel est bleu au réveil.
 

 
 
3. Montée vers le refuge Scarfiotti.
 

 
 
4. Plus haut sur la piste…
 

 
 
5. Les montagnes alentours sont superbes !
 

 
 
6. Au couleurs de l’automne.
 

 
 
7. VivaLaVida sur la piste, à déjà plus de 2’500 mètres d’altitude.
 

 
 
8. Arrivée au bout du chemin dont la descente sur l’autre versant n’a jamais été construite.
 

 
 
9. Altitude ronde, la plus haute atteinte par VLV en Europe. Pour rappel, il a dépassé 4’000 mètres en 2016, dans le Colorado…
 

 
 
10. Le petit lac qui se trouve juste après le col.
 

 
 
11. Et l’autre versant resté vierge de piste. Seul un sentier permet de rejoindre le Vallon d’Ambin.
 

 
 
12. Nous sommes tout près des premières neiges tombées quelques jours avant…
 

 
 
13. Vue sur les sommets du parc des Ecrins au loin…
 

 
 
14. Redescente. Nous n’avons croisé que deux motos locales de toute la journée.
 

 
 
La suite d’ici quelques jours… 😉
 
 

Lacs en Ubaye

 
On quitte ce bel endroit pour aller en découvrir d’autres…
 
 
1. Descente du Colle Fauniera.
 

 
 
2. Nous trouvons un bivouac au bord d’une jolie rivière, tout proche de la frontière d’où nous irons marcher demain.
 

 
 
3. …
 

 
 
4. Et on construit un barrage sur la rivière !
 

 
 
5. …
 

 
 
6. …
 

 
 
7. Départ tôt le lendemain pour une joli course de montagne afin de découvrir plusieurs lacs.
 

 
 
8. Le but de notre journée : le lac de Roburent que je voulais découvrir depuis longtemps.
 

 
 
9. C’est ici qu’on pique-nique…
 

 
 
10. .. et qu’Emile joue un moment.
 

 
 
11. On entame le retour par une remontée au col de Roburent.
 

 
 
12. Emile gambade comme un cabri !
 

 
 
13. La vallée que nous redescendons, avec le lac de l’Orrenaye.
 

 
 
14. Nous nous y arrêtons pour nous rafraîchir avant de retourner dormir au bord de notre rivière…
 

 
 
Suite et fin de ces trois semaines d’ici peu. 😉