France
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Retour en France…
Comme annoncé dans le précédent post, nous voici de retour en France, sur le flanc nord des Pyrénées. Nous allons découvrir Navarrenx, jolie ville fortifiée à une quarantaine de kilomètres à l’ouest de Pau.
1. L’une des entrées de la ville.
2. Chemin de ronde…
3. Une belle cour.
Ca faisait longtemps qu’on s’était promis de partager un feu de camps avec des amis de la région de Pau, Fred et Martine. Il y a quelques années, ils ont acheté un petit camper qui permet à Fred, photographe émérite, de se promener pour sa passion.
De passage dans la région, je le contacte donc et les astres s’alignent pour que nous partagions un joli bivouac d’altitude. Fred m’indique les coordonnées GPS d’un spot facilement accessible par une piste roulante où nous pourrons nous retrouver.
4. En milieu d’après-midi, nous sommes les premiers sur place.
5. Quelques sommets pyrénéens nous entourent.
A l’arrivée de Fred et Martine, le dernier tronçon s’avère un peu trop cassant pour leur petit camper et nous redescendons un kilomètre à leur rencontre pour nous retrouver sur un spot plus facile d’accès.
6. Après l’apéro et l’allumage du feu de camp, c’est préparation du repas.
Photo FredW
7. Au menu : entrée melon-jambon puis côtelettes d’agneau avec ratatouille au feu de bois. Miam !
Photo FredW
8. Préparation…
Photo FredW
9. Quelle bonne soirée entre amis ! Martine et Fred, merci pour votre gentillesse et pour ce chouette moment.
Photo FredW
10. L’heure d’aller se reposer…
Photo FredW
11. Le lendemain, je me lève avant le lever du soleil pour profiter de l’ambiance matinale…
12. Premier rayons sur notre campement.
13. La plaine au nord des Pyrénées. Pau est cachée par la brume.
14. De l’autre côté, les premiers sommet des Pyrénées.
15. Je redescends vers notre campement.
16. Il est temps de ranger le camp et de prendre congé. On s’est promis de remettre ça à une prochaine occasion !
Photo FredW
La suite bientôt avec la découverte d’un rougier et un pont impressionnant…
Merci à tous pour votre fidélité à ce petit blog. 😉
Un début de vacances d’été quelque peu entravé…
Après avoir sorti VivaLaVida de ses quartiers d’hiver en réalisant un grand service, le remplacement des rotules de direction et quelques autres travaux de maintenance, nous sommes repartis à son bord, Emile et moi, pour trois semaines de vacances direction la Galice que nous n’avions pas découverte l’année dernière. Mais à peine quelques centaines de kilomètres parcourus, un grand BAM nous arrête net !
1. L’un des pneus arrière a décidé de nous lâcher d’un coup.
2. Il me faut une heure sous un soleil de plomb pour changer la roue avant de reprendre la route.
3. Nous trouvons un coin au frais pour dormir, à la lisière d’une belle forêt.
Pas question de poursuivre le voyage sans roue de secours. Je décide de changer les 4 pneus qui ont plus de 100’000 km et sont bientôt à usure. Direction Saint-Etienne, la ville la plus proche, pour trouver 4 chaussettes neuves à VivaLaVida. Mais ce n’est pas une mince affaire : nous nous rendons chez trois spécialistes pneus qui ne peuvent nous commander la dimension requise. Finalement, l’un nous donne les coordonnées d’un vendeur de véhicules américains, Presticar Automobiles à Grand-Croix qui importe notamment des pick-up Dodge, que nous trouvons lundi en fin de matinée.
Après deux heures de recherches et autres téléphones, il trouve finalement 4 pneus dans la bonne dimension et je confirme la commande. Mais la livraison n’aura lieu que jeudi au mieux. On décide donc de passer le temps en allant découvrir les alentours, à commencer par le Pilat, un sommet local qui surplombe la Loire au nord-ouest, l’Ardèche au sud et le lyonnais au nord-est.
4. Vue sur le lyonnais depuis le Pilat.
5. Nous trouvons un coin sympa à presque 1’300 m d’altitude où nous passons 3 nuits.
6. Il y a un ruisseau qui s’écoule juste à côté de notre campement et Emile y joue volontiers.
7. On construit un barrage…
8. On visite aussi les alentours, notamment ce « sapin géant » qui atteint tout de même 45 m de hauteur !
Ce n’est donc que jeudi en milieu d’après-midi que VivaLaVida, chaussé de neuf, reprend sa route vers l’ouest. Trois heures plus tard, nous trouvons un joli bivouac au bord du lac de Naussac alors que l’orage menace.
9. Après le premier orage. Trois autres lui succéderont durant la nuit qui sera tout de même reposante.
10. Le jour suivant, nous traversons le magnifique plateau de l’Aubrac. Notre spot pour le lunch !
Après une nuit en camping entre Montauban et Auch, nous rejoindrons le Pays basque espagnol le lendemain. A suivre prochainement…
Chemin du retour et dernière sortie de 2023
1. Nous trouvons un coin pour dormir dans une belle forêt.
2. Sous la pluie, cette forêt est magnifique.
3. Repas du soir…
4. Sur le retour, nous faisons un saut à la Cascade des Tuffes.
5. Puis nous allons découvrir les Cascades du Hérisson.
6. Cascade supérieure.
7. Belle rivière.
8. Quelques semaines plus tard, les premières neiges ont blanchi le Jura, l’occasion d’aller s’y promener.
9. Pique-nique.
10. Alpage de la Foirausaz.
11. Fin de journée…
12. Crépuscule.
Après cette nuit un peu froide, j’ai protégé VivaLaVida dans ses quartiers d’hiver où il a passé 6 mois tranquille. Je l’en ai ressorti il y a un mois pour lui faire un grand service et le préparer pour de nouvelles découvertes cet été.
A l’heure où vous lisez ces lignes, Emile et moi sommes quelque part à son bord à découvrir de nouvelles contrées. Je vous conterai tout cela bientôt.
Bel été à tous et à bientôt par ici ! 😀
Escapade en pays de Loire…
Ayant reçu un séjour dans une Lodge au zoo de la Flèche comme cadeau pour mes 60 ans, nous nous y sommes rendus durant les vacances d’automne. Sur le retour, j’en ai profité pour faire découvrir quelques châteaux de la Loire à Emile.
1. Bivouac au bord du Cher…
2. … à deux pas du château de Chenonceaux !
3. Toujours aussi beau !
4. En cette fin d’après-midi, il n’y a pas trop de monde…
5. Jardins…
6. Accostage.
7. Fontaine…
8. Dernier coup-d’oeil…
9. Réveil en bord de Loire.
10. Premiers rayons…
11. Majestueux Chambord !
12. Son célèbre double-escalier.
13. Cours intérieure.
14. Chapelle.
15. Il est temps d’aller nous chercher un coin pour dormir…
Suite à venir bientôt. 🙂
Sortie jurassienne
Après la reprise scolaire, nous sommes allés profiter d’une beau soleil couchant sur les crêtes du Jura…
1. En surplombant Chapelle-des-Bois.
2. Le ciel n’est pas exempt de nuages…
3. … mais il semble que le soleil passera dessous.
4. Ambiance…
5. Dernière brillance avant le coucher.
6. La nuit tombée, nous cuisinons sur le feu de camp avant de profiter d’une nuit calme en forêt.
Le prochain article relater d’une petite virée vers les châteaux de la Loire en octobre. 😉
Chemin du retour…
1. Dernier bivouac en vue de l’océan, non loin de Bilbao, alors qu’il pleut…
2. Apéro avec les produits locaux !
3. Ca plaît à Emile ! 😀
4. Quiétude…
5. La pluie s’arrête, laissant place à quelques couleurs au couchant.
6. …
7. …
8. …
9. … La côte basque s’endort..
10. Il y avait longtemps que je souhaitais découvrir la gare de Canfrang, cette curiosité nichée sur un col des Pyrénées, à 1’200 mètres d’altitude. J’en avais vu des images alors qu’elle était désaffectée et j’ai la surprise de découvrir qu’elle a été entièrement rénovée et réhabilitée en hôtel de luxe !
11. Etonnant de trouver un tel bâtiment en pleine montagne, non ?
12. Nous rejoignons Pont d’Espagne où nous ne pouvons dormir, le fond de la vallée ayant été fermé à la circulation après un immense parking payant sur lequel il est interdit de dormir. La cascade du Cerisey en redescendant vers Cauterets où nous passerons la nuit en camping.
13. Nous remontons vers la Suisse en longeant le pied nord des Pyrénées et découvrons une belle grotte sur notre route : la grotte du Mas d’Azil. La cavité a été creusée par la rivière qui la traverse et elle est si vaste que la route la traverse également.
14. Nous dormons au nord de Carcassone pour découvrir les ruines des Quatre châteaux de Lastours.
154. Ce sont les petites routes des Cévennes qui nous ramènent dans nos pénates…
16. En traversant Mourèze…
Et voilà pour ces trop courtes vacances d’été où VivaLaVida aura parcouru 4’200 km.
Les prochains articles vous présenteront quelques sorties automnales…
Merci de votre fidélité à ce petit blog ! 🙂
Vacances 2023, c’est parti !
Après un printemps quelque peu bouleversé par le diagnostic d’Emile, ce n’est qu’en ce mois de juillet que VivaLaVida a quitté ses quartiers d’hiver pour reprendre du service.
Trois jours pour un gros service moteur – transmission – trains roulants – merci au Garage BN à St-Martin/FR pour le prêt de la place – deux jours supplémentaires pour recharger toutes les affaires et nous sommes prêts à partir en direction du sud le samedi 15 juillet. Emile est aux anges, lui qui me demande depuis deux mois « Quand est-ce qu’on part dans VivaLaVida ?! ». Après une première nuit dans le camping où nous avions attendus les goujons de roue il y a deux ans – Emile espérait y revoir Lilou, une petite fille rencontrée lors de notre dernier séjour – nous poursuivons vers les Pyrénées.
1. Premier spot que nous allons découvrir, la « Fontaine des Amours », un joli bassin de baignade naturel.
2. Pas très loin, nous explorons les restes d’un pont romain…
3. Il a été reconstruit à l’identique après une grosse crue il y a une trentaine d’année.
4. Nous trouvons un endroit tranquille pas loin pour passer la nuit dans les collines de l’Ariège…
5. … et nous faisons le premier et dernier feu de camp de ces vacances pour notre grillade. Alors qu’ici, il a bien plu et que les risques d’incendie sont inexistants ce soir, ce ne sera pas le cas ensuite…
6. Après avoir rejoint Andorre-la-Vieille où nous faisons quelques emplètes pour remplir le frigo, nous décidons de monter un Pic Nègre. La piste est devenue si fréquentée qu’il y a un garde de la Guarda Civile qui encaisse 25€ au départ de la piste. Comme c’est déjà bientôt la fin de l’après-midi, VLV monte sans trop s’arrêter une piste par endroit très ravinée par les orages et atteint un premier replat vers 2’200 mètres d’altitude. Nous n’y croisons personne.
7. Après env. une heure de montée, il arrive en vue du sommet, à 2’700 mètres d’altitude.
8. Après le sommet, nous poursuivons jusqu’à la fameuse carcasse de fourgon VW près de laquelle nous passerons la nuit.
9. VLV au campement…
10. En montant sur le petit somment le surplombant…
11. … pour profiter du couchant.
12. Douceur du soir…
13. A demain soleil !
14. Crépuscule…
A bientôt pour la suite ! 😀
Dernière sortie de l’année dans le Doubs
Alors que j’espérais faire encore 2-3 week-ends dans VivaLaVida avant de l’entreposer pour l’hiver, une fête de famille et un épisode de gastro pour Emile ne nous ont permis de faire qu’un dernier bivouac le dernier week-end de novembre.
Nous sommes partis découvrir deux arches naturelles situées dans le département du Doubs, au sud de Montbélliard.
1. Nous voici arrêtés non loin de la première arche.
2. Après une courte montée, nous longeons la falaise en direction de l’arche…
3. … qui apparaît bientôt à travers le brouillard.
4. Dénommée Grotte du Bisontin, l’arche a été créée par l’effondrement du toit d’une grande balme suite aux infiltrations dans la roche calcaire, probablement il y a plusieurs milliers d’années.
5. L’arche est assez impressionnante, avec une portée d’une trentaine de mètres. C’est la plus grande que j’aie visitée jusqu’à présent en Europe.
6. Emile donne l’échelle alors que le brouillard crée une ambiance particulière.
7. Pour atteindre la seconde arche, le chemin est aérien car il suit une crête calcaire avec des a-pic de part et d’autres. Alors que le brouillard rend le tout glissant, je renonce à y aller avec Emile car une glissade mènerait assurément à un accident grave.
Nous allons donc dormir sur un promontoir au-dessus de Maîche où nous cuisinons une bonne choucroute sur le dernier feu de camps 2022 ! C’est aussi l’occasion de casser quelques jours en avance une « Marmite de l’Escalade », tradition genevoise qui commémore la tentative d’invasion de 1602.
Merci à la personne qui nous l’a offerte, elle se reconnaîtra. 😉
8. Réveil frisquet…
9. … au-dessus des brumes…
10. …avec de jolies couleurs.
11. Sur le trajet retour, VivaLaVida franchit la barre symbolique des 300’000 km. Ce n’est pas énorme pour un véhicule qui roule en Amérique – ceux qui affichent entre 500′ et 750’000 km sont courants – mais compte tenu des kilomètres parcourus sur piste – sans doute env. 50’000 depuis que j’ai converti VLV en 4×4 – et des routes tortueuses de l’Europe, c’est déjà un kilométrage respectable. 🙂
Après cette sortie, VivaLaVida est allé retrouver son abri pour l’hiver. Je me réjouis déjà des prochaines aventures qu’il nous réservera l’année prochaine !
Merci encore à vous tous qui suivez nos modestes pérégrinations à son bord. Je vous souhaite déjà de belles fêtes de fin d’année et vous dit à bientôt. 😉
Dernier jour avant le retour et la reprise…
Au petit matin, nous partons découvrir un marais d’altitude repéré lors de notre promenade de la veille.
1. Une source y crée un ruisseau qui méandre sur un replat.
2. A son terme, une petite mare s’est formée.
3. Nous ne nous éternisons pas car il fait frais ce matin.
4. Changement de coin pour aller découvrir un autre fond de vallée, celle de Vallouise Pelvoux, au lieu-dit Le Pré de Madame Carle. On y découvre une zone sub-glaciaire où les crues de la rivière ont créé une gravel bar, comme celles visitées en Alaska.
5. Nous sommes à l’altitude limite des arbres, ce qui vaut une certaine aridité alpestre à ce lieu.
6. Vue depuis notre lieu de lunch. Il y a pire, non ?
7. Sur la route du retour, entre Briançon et le Col du Lautaret.
8. Grâce aux capacités tout-terrain de VivaLaVida, nous trouvons un chouette promontoire pour camper sur le versant nord du Col du Galibier.
9. Hors de vue de la route, notre fin d’après-midi y est parfaitement tranquille.
10. Encore un feu de camp pour une dernière grillage de viande et légumes.
11. Et une dernière image de cette petite semaine avec de jolies couleurs au levant de ce dimanche matin…
De retour at home, nous planifions encore une ou deux sorties de week-end avant que VivaLaVida ne rejoigne son lieu d’hivernage. Je vous les raconte d’ici quelques temps.
Merci pour votre fidélité à suivre ce petit blog ! 😀
Retour en Clarée
Toujours sans pouvoir beaucoup marcher à cause de mon entorse à la cheville, nous décidons de remonter dans la belle vallée de la Clarée que nous avions déjà visitée l’année dernière à la même saison pour aller découvrir la cascade de Fontcouverte et profiter des mélèzes dorés pour faire quelques photos.
1. La Clarée en amont de la cascade.
2. Et la cascade de Fontcouverte.
3. Je profite de la belle lumière pour chercher quelques compos.
4. Variation.
5. Le matin, le lieu est quasi désert à cette saison alors qu’en été, il est véritablement bondé.
6. Un peu plus haut dans la vallée.
7. Nous mangeons sous un alpage.
8. Dernière vue de cette si belle vallée avant de changer de coin… Depuis l’année dernière, les panneaux interdisant le camping sauvage ont poussé partout et le seul camping s’y trouvant est fermé à cette saison.
9. Après quelques dizaines de kilomètres, nous voici tout en haut du Vallon de l’Orceyrette, au-dessus des Chalets de L’Alp. Nous y sommes complètement seuls pour un bivouac tranquille à 2’400 m environ.
10. Nous découvrons les alentours du camp. Ce fond de vallée est encore sauvage.
11. Vue en direction du nord.
12. Nous profitons d’un sympathique feu de camp pour y cuisiner notre repas.
Suite et fin de ces quelques jours sous peu! 😉
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