Espagne

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Château de Loarre

 
 
1. Nous nous arrêtons pour aller découvrir ce superbe château de Loarre.
 

 
 
2. Son enceinte fortifiée est encore quasi intacte.
 

 
 
3. Le porche principal…
 

 
 
4. …et l’escalier qui mène aux différentes cours et bâtiments intérieurs.
 

 
 
5. Galerie…
 

 
 
6. Vue sur la plaine en contrebas.
 

 
 
7. Vitrail de marbre…
 

 
 
8. Lueur…
 

 
 
9. Neffe…
 

 
 
10. Dans l’enceinte des remparts.
 

 
 
11. Dernier coup d’oeil en partant nous chercher un coin pour bivouaquer.
 

 
 
12. Jolie piste dans la pinède…
 

 
 
13. …et bivouac tranquille sous les pins. La douche fera du bien alors que la journée a encore été chaude.
 

 
 
Découverte des Mallos de Riglos et autres curiosités dans la prochaine mise à jour. 😉
 
 

Pied sud des Pyrénées

 
Pour nous protéger de la canicule qui sévit depuis quelques jours, nous décidons d’aller découvrir la vallée d’Ordesa, espérant y trouver un peu de fraîcheur. En cette période estivale, les diverses routes d’accès sont fermées aux véhicules individuels et après une nuit dans le petit camping du refuge de San Nicolás de Bujaruelo, nous prenons la navette qui nous mène dans la vallée.
 
 
1. Après une petite heure de marche, nous voici devant la « Cascada del Estrecho ».
 

 
 
2. En poursuivant la remontée de la rivière…
 

 
 
3. Emile jouant sur notre lieu de pique-nique. Je ne ramènerai pas d’autre image, une belle averse nous ayant contraint à écourter notre balade.
 

 
 
4. Campement sauvage au bord d’une petite rivière…
 

 
 
5. Le fiston tout content de jouer les pieds dans l’eau.
 

 
 
6. Le lendemain, la piste s’élève dans une massif calcaire.
 

 
 
7. Le paysage et la géologie changent rapidement.
 

 
 
8. Nous arrivons au « Mirador de Los Buitres » peu après midi et profitons d’une magnifique vue sur les « Mallos de Riglos ».
 

 
 
9. Alors que nous mangeons, de nombreux vautours nous survolent.
 

 
 
10. Escadrille…
 

 
 
11. Planeur…
 

 
 
12. Ruine le long de la piste…
 

 
 
13. En fin d’après-midi, nous arrivons en vue du « Castillo de Loarre ».
 

 
 
Les images de notre visite arrivent dans le prochain article… 😉
 
 

Pyrénées : chaleur et géologie…

 
1. Après une nuit tranquille à 2’600 mètres d’altitude, le beau temps est de la partie.
 

 
 
2. Nous reprenons la piste pour la descente.
 

 
 
3. Nous nous dirigeons vers l’ouest à travers les contreforts sud des Pyrénées, tantôt par de petites routes, tantôt par des pistes, découvrant de jolis villages…
 

 
 
4. C’est la journée la plus chaude avec 43.5°C à l’ombre. Nous campons sous les arbres, près d’une rivière et profitons de la nouvelle douche de VLV installée avant le départ pour nous rafraîchir un peu. Un troupeau de moutons vient s’abreuver juste à côté.
 

 
 
5. Le lendemain, on repart pas trop tard pour éviter les fortes chaleurs. Panorama depuis le Coll de Boixols.
 

 
 
6. Et toujours ces jolis villages…
 

 
 
7. Nous arrivons près du Congost de Mont Rebei, un profond canyon de la rivière Noguera Ribagorçana dans lequel a été creusé un chemin vertigineux. Le parking est interdit aux véhicules de plus de 2m et nous allons nous parquer au bord de la route d’accès, à 2km du début du sentier. Vue vers le sud depuis le « Mirador de les Lludrigues ».
 

 
 
8. Malgré les 40° bien tapés, nous partons tout de même pour les 6 kilomètres qui nous mènent au début du chemin creusé dans la falaise. Traversée d’un pont suspendu piétonnier.
 

 
 
9. Petit à petit, le sentier s’élève au fur et à mesure qu’on entre dans la gorge.
 

 
 
10. Au coeur du canyon, le sentier est aérien !
 

 
 
11. Congost de Mont-Rebei dans sa partie supérieure. Le chemin est à 140 m au-dessus de la rivière !
Une rafale s’appropriera la casquette d’Emile ; on lui improvisera donc un couvre-chef pour le retour, avec un petit linge et un lacet, car le soleil tape toujours copieusement !
 

 
 
12. De retour à VivaLaVida après 4 heures de marche sous 40°, on reprend la route puis la piste pour nous rendre au Murailles de Finestras. Nous y arrivons en fin d’après-midi alors que la lumière commence à descendre…
 

 
 
13. Le niveau du lac artificiel qui baigne parfois le pied de cette muraille est bien bas…
 

 
 
14. Depuis le village abandonné à la fin de la piste, nous montons au petit ermitage de San Marcos qui offre un joli point de vue.
 

 
 
15. Un dernier coup d’oeil sur cette curiosité géologique avant de nous trouver un joli spot pour dormir en pleine nature et de savourer une nouvelle douche…
 

 
 
La suite dans quelques jours…
 
 

Vacances 2023, c’est parti !

 
Après un printemps quelque peu bouleversé par le diagnostic d’Emile, ce n’est qu’en ce mois de juillet que VivaLaVida a quitté ses quartiers d’hiver pour reprendre du service.
 
Trois jours pour un gros service moteur – transmission – trains roulants – merci au Garage BN à St-Martin/FR pour le prêt de la place – deux jours supplémentaires pour recharger toutes les affaires et nous sommes prêts à partir en direction du sud le samedi 15 juillet. Emile est aux anges, lui qui me demande depuis deux mois « Quand est-ce qu’on part dans VivaLaVida ?! ». Après une première nuit dans le camping où nous avions attendus les goujons de roue il y a deux ans – Emile espérait y revoir Lilou, une petite fille rencontrée lors de notre dernier séjour – nous poursuivons vers les Pyrénées.
 
 
1. Premier spot que nous allons découvrir, la « Fontaine des Amours », un joli bassin de baignade naturel.
 

 
 
2. Pas très loin, nous explorons les restes d’un pont romain…
 

 
 
3. Il a été reconstruit à l’identique après une grosse crue il y a une trentaine d’année.
 

 
 
4. Nous trouvons un endroit tranquille pas loin pour passer la nuit dans les collines de l’Ariège…
 

 
 
5. … et nous faisons le premier et dernier feu de camp de ces vacances pour notre grillade. Alors qu’ici, il a bien plu et que les risques d’incendie sont inexistants ce soir, ce ne sera pas le cas ensuite…
 

 
 
6. Après avoir rejoint Andorre-la-Vieille où nous faisons quelques emplètes pour remplir le frigo, nous décidons de monter un Pic Nègre. La piste est devenue si fréquentée qu’il y a un garde de la Guarda Civile qui encaisse 25€ au départ de la piste. Comme c’est déjà bientôt la fin de l’après-midi, VLV monte sans trop s’arrêter une piste par endroit très ravinée par les orages et atteint un premier replat vers 2’200 mètres d’altitude. Nous n’y croisons personne.
 

 
 
7. Après env. une heure de montée, il arrive en vue du sommet, à 2’700 mètres d’altitude.
 

 
 
8. Après le sommet, nous poursuivons jusqu’à la fameuse carcasse de fourgon VW près de laquelle nous passerons la nuit.
 

 
 
9. VLV au campement…
 

 
 
10. En montant sur le petit somment le surplombant…
 

 
 
11. … pour profiter du couchant.
 

 
 
12. Douceur du soir…
 

 
 
13. A demain soleil !
 

 
 
14. Crépuscule…
 

 
 
A bientôt pour la suite ! 😀
 
 

Cahors et Massif Central

 
Il est donc temps de quitter les Pyrénées avec un petit goût d’inachevé alors que notre stop forcé à Valence a largement réduit notre séjour espagnol…
 
1. En quittant Montgarri par un matin ensoleillé.
 

 
 
2. Pla de Beret.
 

 
 
3. …
 

 
 
4. Après une nuit dans le bocage du Gers, nous nous arrêtons à Cahors pour y découvrir son fameux Pont Valentré.
 

 
 
5. L’édifice est magnifique.
 

 
 
6. Quartier en bordure du Lot, la rivière qui entoure la vieille ville par l’un de ses méandres.
 

 
 
Après avoir déposé Emile en Corrèze, sur la route du retour, je vais dormir dans les Monts du Sancy, dans le Massif Central.
 
7. Arrivée en fin de journée, alors que le vent du nord souffle en rafales.
 

 
 
8. L’ambiance est splendide.
 

 
 
9. Ciel de traîne au couchant.
 

 
 
10. …
 

 
 
11. Je trouve un coin entre deux puits pour y passer un nuit venteuse.
 

 
 
Le lendemain, j’irai découvrir quelques jolies contrées dans le massif. Je vous raconte ça dans une dernière mise à jour consacrée à ces vacances estivales.
Merci de votre fidélité à suivre ce petit blog. 😀
 
 

Pyrénées (suite)

 
 
1. Réveil au Pedró dels Quatre Batlles. Il fait frais mais la vue est splendide.
 

 
 
2. …
 

 
 
3. Nous empruntons une piste spectaculaire pour descendre du plateau
 

 
 
4. Vue vers le sud.
 

 
 
5. Escarpement.
 

 
 
6. Fleur dans la rocaille.
 

 
 
7. Plus loin, un passage étroit qui m’obligera à rentrer les rétroviseurs. Nous l’avons franchi dans les deux sens, la piste ayant été détruite 2 km plus haut.
 

 
 
Nous avons trouvé plusieurs pistes fermées par des barrières récemment installées, sans doute la rançon des hordes de 4×4 qui les sillonnent de plus en plus.
 
 
8. Chouette spot de camping sauvage.
 

 
 
9. Emile est toujours partant pour jouer avec ses petites voitures…
 

 
 
10. Petit village dans la montagne.
 

 
 
Alors que nous sommes stoppés par une barrière à l’entrée d’une piste qui devait nous mener découvrir un joli lac d’altitude, Emile me dit « On a qu’à y aller à pied ». Je lui explique que le lac est à 9 km de marche avec 700 mètres de dénivelé positif mais il insiste. Je parque donc VivaLaVida et nous voici partis pour une journée de marche. Mon p’tit gars avalera vaillamment les plus de 18 km aller-retour ! Un vrai chamois !
 
 
11. Le lac en question.
 

 
 
12. Pique-nique à l’abris d’un rocher alors que le vent souffle en rafales.
 

 
 
13. Avant la redescente.
 

 
 
La suite de nos découvertes d’ici quelques jours…
 
 

Stop forcé et début des Pyrénées

 
Aujourd’hui, nous poursuivons la route vers les Pyrénées.
 
Après une soixantaine de kilomètres, j’engage VivaLaVida sur l’autoroute A6 au nord d’Orange. Je prends sa vitesse de croisière – 100 km/h – et je n’ai pas fait 5 km qu’un bruit sourd s’intensifie rapidement. Aucun doute, quelque chose ne va pas sur le châssis. Je ralentis immédiatement et me range sur la bande d’arrêt d’urgence. Nous sommes à 500 mètres d’une aire d’autoroute et je me laisse doucement couler jusque là à 40 km/h. Alors que je descends pour tenter d’identifier la source du problème, stupeur : 4 des 8 goujons de la roue arrière gauche sont cassés, les écrous ayant évidemment disparu dans la nature ! Je sors la clé de 21 et constate que les 4 écrous restant sont largement desserrés. Alors que je les resserre, un cinquième goujon se rompt. On a vraiment failli perdre une roue et je n’ose pas imaginer quelles auraient pu être les conséquences, autant pour VLV que pour les autres usagers de l’autoroute avec une roue folle de 90 cm de diamètre et env. 50 kg lancée à 100 km/h..!
 
Cette roue resserrée, nous nous trainons jusqu’à la prochaine sortie autoroutière 4 km plus loin. Nous nous rendons dans un garage poids-lourd et commandons un jeu de 32 goujons et 32 écrous aux Etats-Unis puisqu’ils sont spécifiques à la conversion 4×4 de VLV. Chris nous les enverra le lendemain matin en Express et ils arriveront finalement le vendredi à 16h. Entretemps, nous rejoignons le camping « Manon » à Orange, où nous passerons ces 5 jours d’attente. La piscine et la ville toute proche permettront de quelque peu divertir l’équipage stoppé dans son élan..!
 
 
1. Repas du soir au camping…
 

 
 
2. Petite compensation. 😉
 

 
 
3. Le célèbre théâtre d’Orange et ses gradins.
 

 
 
4. On profite de la piscine.
 

 
 
5. Distractions…
 

 
 
Une fois VivaLaVida réparé, nous reprenons le voyage vers les Pyrénées espagnoles. Nous y arrivons en fin de journée un samedi, en même temps qu’une perturbation et il pleut copieusement. Nous nous arrêtons à même la piste que nous emprunterons le lendemain alors qu’il fait déjà presque nuit.
 
6. Levant coloré alors qu’Emile dort encore.
 

 
 
7. La piste qui oscille à 2’000 mètres d’altitude est magnifique.
 

 
 
8. C’est l’occasion de tester l’adaptateur Isofix que j’ai fait pour installer le siège d’Emile à l’avant. Il est aux anges ! 😀
 

 
 
9. Vue sur la plaine, loin au sud.
 

 
 
10. VLV est content de retrouver la piste.
 

 
 
11. On découvre de jolis villages…
 

 
 
12. …et une géologie variée.
 

 
 
13. Un autre de ces village pyrénéens.
 

 
 
14. Nous rejoignons un plateau d’altitude, le Pedró dels Quatre Batlles, après une montée où la transmission 4×4 aura été bien utile !
 

 
 
15. Il souffle un vent à décorner des boeufs. Est-ce pour cela que la végétation prend la forme de barkanes ?
 

 
 
16. L’ambiance est magnifique alors que le soleil descend.
 

 
 
17. Derniers rayons avant le couchant. Le vent nous secouera une bonne partie de la nuit alors qu’il ne fera que 4° au matin.
 

 
 
A bientôt pour la suite.