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Traversée et premiers tours de roues en Islande

 
1. Voici le ferry qui relie le Danemark à l’Islande en desservant les Féroés qui arrive.
 

 
 
2. A peine amarré que la port arrière s’ouvre pour laisser sortir les arrivant avant que VivaLaVida n’embarque…
 

 
 
3. Voyage de noces sur le parc d’embarquement ! 😉 Je rencontrerai les propriétaires de ce joli Land Cruiser, Kambiz et Filiz, à bord puis les croiserai plusieurs fois en Islande.
 

 
 
4. Au départ de Tornhavn vers l’Islande, le ferry passe entre les îles de l’archipel.
 

 
 
5. Je repasse ainsi devant Gjógv, au large cette fois.
 

 
 
6. Dernier coup d’oeil avant la haute mer.
 

 
 
7. Le lendemain matin, arrivée à Seydisfjordúr, un fjord tout à l’est de l’Islande. La météo est pluvieuse.
 

 
 
8. En route pour aller chercher ma petite famille à Reykjavik, à l’autre extrémité de l’île ou 800 km plus loin, VivaLaVida se retrouve rapidement dans les Highlands que les couleurs de l’automne ont déjà jaunis…
 

 
 
9. Ces hauts-plateaux sont parcourus par quelques rares routes ou pistes.
 

 
 
10. Ambiance…
 

 
 
11. Canyon…
 

 
 
12. Averses…
 

 
 
13. La géologie volcanique est omniprésente.
 

 
 
14. Ici, l’eau n’a d’autre choix que de ruisseler sur des sols le plus souvent dépourvus de tout humus.
 

 
 
15. Les perspectives sont immenses…
 

 
 
16. Je retrouve par hasard Kambiz et Filiz sur la piste, devant leur premier gué un peu sérieux, à attendre qu’un véhicule passe et leur montre la voie. VivalaVida passe et je leur fais quelques photos souvenir…
 

 
 
17. Grosse rivière taillant son chemin dans le basalte.
 

 
 
18. VLV traversant un champ de lave.
 

 
 
19. Piscine naturelle peu avant l’arrêt pour la nuit…
 

 
 
Enfin, c’est ce que je croyais. En enclenchant le chauffage fraîchement révisé de VLV, le tableau de bord affiche un code erreur : moteur de ventilation air chaud défectueux, moteur qui vient juste d’être remplacé préventivement en Suisse… On est jeudi soir, Isabelle et Emile arrivent samedi à 750 km et le seul endroit où je suis susceptible de réparer est Reykjavik, à 700 km. Du coup, je décide de rouler la nuit pour être à Reykjavik vendredi… 400 km jusque vers 3h du matin où je ferai un petit somme. Arrivé vendredi matin à Reykjavik, je démonte le chauffage pour le porter au revendeur Webasto, 2h30 de travail puisqu’il est bien caché sous l’armoire arrière de VLV. Le technicien découvrira que lors de la révision en Suisse, un faisceau électrique n’a pas été refixé et est entraver le mouvement du ventilateur. Après une facture de plus de 1’600.- CHF, je n’étais guère content. Mais au moins, le chauffage refonctionne pour l’arrivé de mes passagers demain !
 
A bientôt pour la suite.
 
 

Féroés (IV)

 
Comme annoncé, voici donc la dernière mise à jour sur les Féroés, avec quelques images de la vielle ville de Tórshavn, la « capitale » des Féroés, un archipel autonome du Danemark.

 
 
1. La vielle ville est située sur une avancée rocheuse, sorte de presqu’île dans le port.
 

 
 
2. On y trouve bon nombre de maisons traditionnelles avec leur toît couvert de mousse et d’herbes.
 

 
 
3. « Tiny house » 😉
 

 
 
4. Ruelle
 

 
 
5. L’église…
 

 
 
6. … sobre à l’intérieur.
 

 
 
7. …
 

 
 
8. La partie la plus ancienne.
 

 
 
9. Entrée…
 

 
 
10. Le port de plaisance et son fronton animé.
 

 
 
11. Crépuscule depuis le campement de VLV.
 

 
 
12. Les moutons sont partout et vivent en liberté.
 

 
 
13. Certains ont échappé à la tonte depuis un certain temps !
 

 
 
14. Il y en a beaucoup qui sont tout ou partiellement foncés.
 

 
 
15. L’île de Karsoy au petit matin.
 

 
 
La suite dans quelques jours, avec la traversée ver l’Islande en ferry. Merci de nous suivre de la sorte… 😉
 
 

Féroés (III)

 
Continuons le voyage…
 
 
1. En arrivant à Tjornuvik, un autre village isolé connu pour sa plage de sable noire, l’une des rares plages des Féroés. L’endroit est réputé pour le surf car la baie s’ouvre sur l’Atlantique nord, ce qui lui vaut de grosses vagues selon la météo.
 

 
 
2. Le village est lové au fond de la baie.
 

 
 
3. Vue d’ensemble alors que la pluie redouble.
 

 
 
4. Voici quelque chose que je n’avais pas encore vu: une méthode pour faire sécher le foin qui nourrira les moutons durant l’hiver. Comme il pleut tout le temps, il est disposé en murs. Le vent permanent évite que l’herbe ne pourrisse et lui permet de sécher.
 

 
 
5. Zone de repos !
 

 
 
6. Petit col pour aller à Gjógv.
 

 
 
7. En arrivant au village, toujours sous la pluie.
 

 
 
8. Il dispose d’un abri naturel privilégié.
 

 
 
9. Maisons traditionnelles…
 

 
 
10. …
 

 
 
11. Dernière vue avant de repartir…
 

 
 
Parce que trois jours passent vite, le prochain article vous présentera la vielle ville de Tórshavn, la capitale, et la traversée en ferry.
 
See you soon here 😀
 
 

Féroés (II)

 
Voici donc la suite de ma découverte des Féroés. Ces îles sont en plein Gulfstream, ce courant chaud qui vaut à la Scandinavie et plus largement à l’Europe son climat tempéré en regard de sa latitude. Du coup, les températures moyennes varient très peu entre l’été et l’hiver : 9-10°C l’été et 3-4°C l’hiver. Par contre, on y compte en moyenne entre 260 et 280 jours de pluie par année et 300 jours avec du vent ! VivaLaVida n’y s’est arrêté que trois jours mais a eu droit à son lot de pluie, tantôt crachin fin, tantôt grosse rabasse. Pas étonnant que les montagnes dégoulinent de partout ! I n’y a pas 100 mètres sans un ruisseau ou un torrent qui en descend.
 
J’ai profité de la météo clémente du premier jour pour aller découvrir deux spots parmi les plus connus de ces îles…
 
 
1. Sur ma route, le vent crée des nuages sur les falaises…
 

 
 
2. Premier spot, le lac de Leitisvaten, le plus grand lac des Féroés, perché à 35 mètres au-dessus de l’océan !
 

 
 
3. Il se jette dans l’Atlantique par une belle cascade.
 

 
 
4. La falaise que je gravis est impressionnante ! La silhouette en haut donne l’échelle, enfin… si vous arrivez à la voir ! 😉
 

 
 
5. Depuis le haut, le panorama est époustouflant et vertigineux ! Cette image est un assemblage de 4 images verticales.
 

 
 
6. Garages à bateaux traditionnels le long du lac, sur ma marche du retour.
 

 
 
7. En poursuivant la route vers le nord, je découvre ce petit village, juste adorable… Au loin, l’arche de Drangarnir.
 

 
 
8. Et voici le second spot incontournable : la cascade de Gasadalur. Le petit village du même nom était l’un des plus isolé des Féroés jusqu’à la construction d’un tunnel en 2006. Avant, le seul moyen de l’atteindre était la mer ou un sommaire abri permettait aux petits bateaux un accostage scabreux par beau temps. En 1962, le village est resté isolé plus de 5 mois consécutifs à cause d’une série de dépressions atlantiques…
La cascade fait 45 mètres.
 

 
 
9. Vue depuis le haut de la cascade, avec au pied de la falaise, le rocher qui permettait l’accostage…
 

 
 
10. Première rencontre avec le macareux moine dans les falaises…
 

 
 
11. Quel bel oiseau !
 

 
 
12. Ici, on attache les caravanes pour qu’elles ne s’envolent pas les jours de vent, ça veut tout dire !
 

 
 
13. En remontant un fjord en direction du village de Tjornuvik…
 

 
 
14. Cascade le long de la route de VivaLaVida.
 

 
 
15. Falaises sous la pluie. Les Féroés comptent parmi les plus hautes falaises d’Europe. Certaines font 750 m de haut.
 

 
 
Dans la prochaine mise à jour, je vous ferai découvrir la plage noire de Tjornuvik et d’autres coins de ces si belles îles. A bientôt !
 
 

Féroés (I)

 
Ayant pris le bateau depuis Hirtshals vers l’Islande, j’avais décidé de faire un stop de trois jours pour découvrir les îles Féroés qui m’attiraient depuis longtemps. Alors que je vous écris cette update depuis un petit village perdu et sous une pluie battante, je ne regrette en rien ce choix. Ces îles sont réellement magnifiques, landes à moutons à perte de vue. En fait, il n’y a que quelques dizaines de centimètres d’humus sur le substrat, tantôt de basalte, tantôt de grès noir. L’habitat est fait de petits villages de maisons en bois multicolores, éparpillés le long des côtes et créés au gré des possibilité d’accoster puisque ce sont les vikings qui sont les plus anciens colonisateurs de ces îles. Voici quelques premières images des découvertes de VLV.
 
 
1. Avant d’arriver aux Féroés, le ferry pare l’extrême pointe nord des îles Shetland.
 

 
 
2. Alors que VivaLaVida a débarqué de nuit, une petite marche depuis mon spot de camping me fait découvrir un impressionnant panorama !
 

 
 
3. La journée est annoncé sèche et avec des éclairicies. Est-ce elles qui arrivent vers le sud ?
 

 
 
4. Etable à moutons…
 

 
 
5. Chaque île est séparée de la voisine par un ou plusieurs fjords.
 

 
 
6. Mélange de roche et de mousse…
 

 
 
7. Et voici un rayon de soleil !
 

 
 
8. En allant vers Saksund, VivaLaVida long un fjord.
 

 
 
9. Saksund est un minuscule hameau, l’un des premiers bâtis sur l’île principale, et qui présente encore plusieurs maisons traditionnelles d’époque.
 

 
 
10. Son église ancienne.
 

 
 
11. Spécialité de ces contrées nordiques, les toitures recouvertes de mousse et d’herbes.
 

 
 
12. Fenêtre…
 

 
 
13. Le village dans son ensemble.
 

 
 
14. Garages à bateau plus loin, au bord d’un fjord.
 

 
 
Je continuerai dans une prochaine mise à jour, histoire de vous éviter une indigestion… 😉
 
 

Départ…

 
Après quelques derniers jours avant les vacances bien chargés, j’ai laissé Emile et Isabelle qui me rejoindront dans quelques jours pour prendre la route vers le nord. Ce sont 1’700 km qui m’attendent pour rejoindre Hirtshals, à la pointe nord du Danemark, d’où part le seul ferry qui rejoint les îles Féroés et l’Islande. Evidemment pas la partie la plus fun du voyage mais il faut pourtant la faire…
 
 
1. Campement au nord de l’Allemagne
 

 
 
2. Arrivé à destination en milieu d’après-midi la veille du ferry, j’en profite pour aller découvrir un phare abandonné au milieu des dunes…
 

 
 
3. Je profite d’un couchant spectaculaire sur la Mer du Nord.
 

 
 
4. …
 

 
 
5. …
 

 
 
6. Je vais ensuite dormir sur la plage, à l’est d’Hirtshals, où le levant est coloré.
 

 
 
7. …
 

 
 
8. Après un petit tour chez un coiffeur du coin, petite visite au phare d’Hirtshals.
 

 
 
9. Il est alors temps d’aller encolonner VivaLaVida pour embarquer.
 

 
 
10. Pile à l’heure, le ferry lève l’ancre direction les îles Féroés, avec un bon coup de vent annoncé pour la traversée…
 

 
 
Voilà pour cette petite mise à jour écrite sur le ferry alors que ça tabassait pas mal… 🙂
 
Je m’arrêterai demain pour trois jours aux Féroés, histoire de découvrir ces îles qui m’attirent depuis longtemps…
 
A bientôt pour la suite !
 

Préparatifs…

 
Je vous avais annoncé une prochaine destination de VivaLaVida lors du dernier article, il est temps de vous la dévoiler : VLV prendra bientôt le ferry pour les îles Féroés et l’Islande !
 
Cela faisait longtemps que je voulais y retourner mais ce n’était initialement pas prévu pour cette année. L’explosion du tourisme de masse en Islande a mené les islandais à légiférer pour préserver la nature fragile de leur île. Le camping sauvage est ainsi déjà interdit sur la côte sud depuis 2016 et il semble que cette interdiction sera bientôt étendue à l’entier du pays. Nous avons ainsi décidé d’y aller avant que la réglementation n’entrave trop le mode de voyage préféré de VLV.
 
Certains d’entre-vous le savent, l’Islande est truffée de gués plus ou moins profonds, l’eau de fonte des glaciers n’ayant d’autre choix que de ruisseler sur le sol volcanique dépourvu d’humus sur l’essentiel de l’île. Il y avait longtemps que je souhaitais équiper VLV d’un pré-filtre cyclonique et c’était l’occasion de créer un snorkel pour augmenter la capacité de gué, rien n’existant pour la base Ford E350.
 
Le chantier a été important car le véhicule n’a pas été conçu pour recevoir un tel équipement. Il a d’abord fallu modifier la boîte à air porte-filtre en bouchant l’entrée d’air située derrière le phare et en la remplaçant par une ouverture latérale dans la contre-aile côté conducteur. Ensuite, il a fallu concevoir une pièce située entre l’aile et la contre-aile, allant de l’avant au pied du pare-brise. Là, une ouverture dans l’aile permet à un tuyaux de diamètre 110 mm de suivre le montant de pare-brise jusqu’au pré-filtre situé au-dessus. Le tout a été réalisé en polyéthylène, une matière solide et qui se soude plutôt bien.
 
Après près de quatre semaines de travail à finir chaque soir entre 23h et 24h, le snorkel de VivaLaVida est maintenant monté et opérationnel ! Voici quelques images pour vous montrer les principales étapes du chantier.
 
 
1. La boîte à air porte-filtre modifiée
 

 
 
2. La flasque rejoignant la contre-aile.
 

 
 
3. Ouverture de la contre-aile.
 

 
 
4. Pièce intermédiaire en préparation.
 

 
 
5. Prête à poser avec l’ouverture d’aile et les agrafes de carrosserie.
 

 
 
6. Le tuyaux sortant de l’aile et montant au-dessus du pare-brise.
 

 
 
7. Montage final sur l’aile.
 

 
 
8-10. Le snorkel terminé.
 

 

 

 
 
J’ai aussi fait d’autres travaux sur VLV : remplacement des batteries de démarrages et d’habitacles. Pour ces dernières, regroupant précédemment 3 batteries AGM de 105 Ah chacune, j’ai opté pour deux batteries Lithium de 90 Ah, équivalent à env. 400 Ah en AGM. C’est un gros investissement mais la fiabilité et la réserve d’énergie supplémentaire, associées à une durée de vie largement supérieure à celle de batteries au plomb, permet de rentabiliser la dépense sur quelques années. J’ai également fait réviser le chauffage pour minimiser le risque de panne et il était temps ; le brûleur était bien corrodé. Enfin, il m’a fallu étancher toutes les mises à l’air des ponts, de la transmission, etc. en les remontant au-dessus du niveau des portières en prévision des gués, évitant ainsi les entrées d’eau. Et tout n’est pas fini même si je commence à en voir le bout.
 
Le départ vers le Danemark est fixé au 15 août et VivaLaVida devrait débarquer aux Féroés le 19 pour trois jours. Je vous donnerai des nouvelles autour du 25 août sans doute, date à laquelle j’irai accueillir ma petite famille à Reykjavík pour trois semaines à découvrir ensemble cette merveilleuse île qu’est l’Islande…
 
A très bientôt donc ! 😉
 
 

Petit soucis corrigé

Désolé, un petit bug a bouleversé la mise en page du dernier article. Il est désormais corrigé. Merci de votre compréhension.

Première sortie 2018 !

 
Après un hiver bien enneigé qui a duré plus longtemps que les années précédentes, c’est finalement durant le week-end de Pentecôte que VivaLaVida a repris du service pour une petite sortie en Ardèche en famille. Voici quelques images de ce retour au camping sauvage…
 
 
1. Premier campement dans une forêt du nord-est de l’Ardèche.
 

 
 
2. Le traditionnel feu de camp.
 

 
 
3. Le frère d’Isabelle et sa famille ont loué un T6 California. C’est quand même un peu chaud avec deux petits de presque trois ans et sept mois !
 

 
 
4. Quelques couleurs au couchant…
 

 
 
5. Le matin, on fête les deux ans d’Emile ! 😀
 

 
 
6. Petit-déjeuner…
 

 
 
7. Emile dort toujours aussi bien dans VivaLaVida.
 

 
 
8. Notre deuxième campement sauvage dans une clairière.
 

 
 
9. Emile s’en donne à coeur joie !
 

 
 
10. Petit déjeuner ensoleillé.
 

 
 
11. Emile et son papa.
 

 
 
12. Dernier pique-nique avant de nous retourner chez nous chacun de son côté. C’était trop court !!
 

 
 
Voilà pour ces quelques images.
 
La prochaine sortie agendée sera pour le weekend du 14 juillet. Avant, j’ai passablement de travail sur VivaLaVida en préparation de notre prochain voyage vers une destination que je vous révélerai bientôt. Je vous tiendrai informés des travaux en cours…
 
A bientôt !
 
 

Escapade valaisanne (fin)

 
Suite et fin de notre chouette week-end valaisan…
 
 
1. Douce lumière du levant sur les sommets.
 

 
 
2. Chapelle au-dessus de Vercorin.
 

 
 
3. Notre super camp dans les mélèzes dorés…
 

 
 
4. Vue sur le Haut Valais.
 

 
 
VivaLaVida nous a ensuite ramené à bon port et j’ai l’ai préparé pour l’hivernage. Il ressortira bientôt… 😉
 
En attendant, je vous proposerai bientôt ici quelques images d’une autre escapade. Stay tunned ! 😀