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Pyrénées (suite)
1. Réveil au Pedró dels Quatre Batlles. Il fait frais mais la vue est splendide.

2. …

3. Nous empruntons une piste spectaculaire pour descendre du plateau

4. Vue vers le sud.

5. Escarpement.

6. Fleur dans la rocaille.

7. Plus loin, un passage étroit qui m’obligera à rentrer les rétroviseurs. Nous l’avons franchi dans les deux sens, la piste ayant été détruite 2 km plus haut.

Nous avons trouvé plusieurs pistes fermées par des barrières récemment installées, sans doute la rançon des hordes de 4×4 qui les sillonnent de plus en plus.
8. Chouette spot de camping sauvage.

9. Emile est toujours partant pour jouer avec ses petites voitures…

10. Petit village dans la montagne.

Alors que nous sommes stoppés par une barrière à l’entrée d’une piste qui devait nous mener découvrir un joli lac d’altitude, Emile me dit « On a qu’à y aller à pied ». Je lui explique que le lac est à 9 km de marche avec 700 mètres de dénivelé positif mais il insiste. Je parque donc VivaLaVida et nous voici partis pour une journée de marche. Mon p’tit gars avalera vaillamment les plus de 18 km aller-retour ! Un vrai chamois !
11. Le lac en question.

12. Pique-nique à l’abris d’un rocher alors que le vent souffle en rafales.

13. Avant la redescente.

La suite de nos découvertes d’ici quelques jours…
Stop forcé et début des Pyrénées
Aujourd’hui, nous poursuivons la route vers les Pyrénées.
Après une soixantaine de kilomètres, j’engage VivaLaVida sur l’autoroute A6 au nord d’Orange. Je prends sa vitesse de croisière – 100 km/h – et je n’ai pas fait 5 km qu’un bruit sourd s’intensifie rapidement. Aucun doute, quelque chose ne va pas sur le châssis. Je ralentis immédiatement et me range sur la bande d’arrêt d’urgence. Nous sommes à 500 mètres d’une aire d’autoroute et je me laisse doucement couler jusque là à 40 km/h. Alors que je descends pour tenter d’identifier la source du problème, stupeur : 4 des 8 goujons de la roue arrière gauche sont cassés, les écrous ayant évidemment disparu dans la nature ! Je sors la clé de 21 et constate que les 4 écrous restant sont largement desserrés. Alors que je les resserre, un cinquième goujon se rompt. On a vraiment failli perdre une roue et je n’ose pas imaginer quelles auraient pu être les conséquences, autant pour VLV que pour les autres usagers de l’autoroute avec une roue folle de 90 cm de diamètre et env. 50 kg lancée à 100 km/h..!
Cette roue resserrée, nous nous trainons jusqu’à la prochaine sortie autoroutière 4 km plus loin. Nous nous rendons dans un garage poids-lourd et commandons un jeu de 32 goujons et 32 écrous aux Etats-Unis puisqu’ils sont spécifiques à la conversion 4×4 de VLV. Chris nous les enverra le lendemain matin en Express et ils arriveront finalement le vendredi à 16h. Entretemps, nous rejoignons le camping « Manon » à Orange, où nous passerons ces 5 jours d’attente. La piscine et la ville toute proche permettront de quelque peu divertir l’équipage stoppé dans son élan..!
1. Repas du soir au camping…

2. Petite compensation. 😉

3. Le célèbre théâtre d’Orange et ses gradins.

4. On profite de la piscine.

5. Distractions…

Une fois VivaLaVida réparé, nous reprenons le voyage vers les Pyrénées espagnoles. Nous y arrivons en fin de journée un samedi, en même temps qu’une perturbation et il pleut copieusement. Nous nous arrêtons à même la piste que nous emprunterons le lendemain alors qu’il fait déjà presque nuit.
6. Levant coloré alors qu’Emile dort encore.

7. La piste qui oscille à 2’000 mètres d’altitude est magnifique.

8. C’est l’occasion de tester l’adaptateur Isofix que j’ai fait pour installer le siège d’Emile à l’avant. Il est aux anges ! 😀

9. Vue sur la plaine, loin au sud.

10. VLV est content de retrouver la piste.

11. On découvre de jolis villages…

12. …et une géologie variée.

13. Un autre de ces village pyrénéens.

14. Nous rejoignons un plateau d’altitude, le Pedró dels Quatre Batlles, après une montée où la transmission 4×4 aura été bien utile !

15. Il souffle un vent à décorner des boeufs. Est-ce pour cela que la végétation prend la forme de barkanes ?

16. L’ambiance est magnifique alors que le soleil descend.

17. Derniers rayons avant le couchant. Le vent nous secouera une bonne partie de la nuit alors qu’il ne fera que 4° au matin.

A bientôt pour la suite.
Alpes italiennes (suite)
1. Après le Sommeillier, nous avons rallié le col de la Finestre. Arrivée en fin d’après-midi dans un épais brouillard, nous décidons tout de même d’y dormir dans l’espoir d’une meilleure météo le lendemain.

2. Tôt le matin, le brouillard a un peu baissé

3. Il se dissipe petit à petit, laissant entrevoir la piste empruntée la veille.

4. Derniers lacets avant le col.

5. Versant nord.

6. Versant sud.

7. Contre-jour…

Je voulais continuer par la piste du Colle dell Assietta mais un arrêté communal en interdit l’accès aux véhicules de mi-juin à mi-septembre, sans doute le résultat d’une fréquentation intensive ces dernières années par des groupes de 10 à 20 4×4 venant principalement d’Allemagne (ces tours organisés sont devenus très populaires pour les Allemands qui n’ont guère de montagnes chez eux). Du coup, descente du versant sud du col et direction Sestrières où nous faisons quelques emplètes pour remplir le frigo. Emile nous y choisi une succulente tomme de brebis, non sans l’avoir dégustée au comptoir !
Nous allons ensuite découvrir la superbe vallée Argentera, encore sauvage sur sa partie haute puisqu’il faut un 4×4 pour y accéder.
8. Nous trouvons un super bivouac à côté de la rivière.

9. Notre bivouac depuis plus haut.

10. Haute vallée Argentera

Nous sommes déjà vendredi et et je décide de traverser sur les Pyrénées pour en profiter deux semaines, sachant que dans quinze jours, je poserai Emile en Corrèze pour la suite de ses vacances.
11. Après une demi-journée de route, arrêt pour la nuit dans la Drôme.

12. Ambiance calme du couchant

La suite dans un prochain article. 😉
Petite erreur de manipulation…
Désolé si vous avez reçu aujourd’hui un email annonçant la publication d’un nouvel article. Il s’agit d’une erreur de manipulation de ma part.
La suite du récit est à venir bientôt. 😉
Voyage d’été 2021, début par la France et l’Italie
Autant Emile que moi étions impatients de prendre la route après deux ans privés de voyage dans VivaLaVida. Pourtant, alors que nous devions partir un lundi, en essayant de démarrer VivaLaVida le jeudi précédent, pas moyen de le mettre en route ! Je fais les diagnostics et identifie que c’est le régulateur de pression d’injection qui est HS. Je commande la pièce aux Etats-Unis avec envoi express et la recevrai le lundi. Le temps de la monter et de vérifier que tout va bien et nous partirons finalement le mardi en début d’après-midi…
1. Première étape aux Lac des Fées, dans le Beaufortain.

2. Le lendemain, nous montons au Col de l’Iseran, à 2’764 mètres d’altitude.

3. Emile y fait un kern.

4. Vue sur les montagnes où l’Isère prend sa source.

5. Emile devant une table d’orientation.

6. Nous trouvons un endroit sous le col pour y dormir.

7. Il y a un torrent, du coup Emile y lance quelques cailloux !

8. Tout content !

9. Le soleil se cache derrière la montagne jusqu’au lendemain…

10. Le jour suivant, direction l’Italie dans la vallée de Rochemolles via le Mont Cenis.

11. Et le plaisir d’un premier feu de camp.

12. Repas du soir !

13. Le matin suivant, nous montons au refuge Scarfiotti et ses petits lacs. Je renonce à monter au Col du Sommeillier car il faut payer pour emprunter cette piste sans issue et il y a beaucoup de monde.

14. Cascade derrière le refuge.

Suite du récit dans quelques jours… 😉
Long arrêt mécanique finalement résolu…
Cela fait plus de deux ans que je n’ai rien publié ici, et pour cause : VivaLaVida était à l’arrêt dans l’attente de solutionner un souci mécanique entravant le démarrage à chaud. Ce n’est qu’en fin d’année dernière que j’ai pu m’organiser pour procéder à ce travail impliquant de sortir le moteur.
1. Installation dans le garage de bon ami Benji.

Le souci provient du circuit hydraulique haute pression qui commande l’injection. Un joint o-ring se détériore avec les vibrations. C’est une faiblesse de ce moteur puisque tous présentent le problème entre 200′ et 300’000.- km. Or pour le remplacer, il faut sortir le moteur, soit 40 heures selon la documentation technique.
2. Début du démontage : il faut démanteler tout l’avant.

3. C’est que le moteur est « enfouis » sous le tableau de bord.

4. Après 4 jours de travail, on peut enfin soulever le moteur avec la « chèvre ».

5. Et voici le coupable.

6. Je profite que le moteur soit dehors pour poser des goujons de culasse renforcés, supprimant une autre faiblesse potentiel du moteur.

7. Remontage des culasses et de la distribution.

8. Après 6 jours de travail, le moteur est prêt à réintégrer le châssis.

9. Il rentre au chausse-pied !

10. Après 3 jours supplémentaires de travail, c’est presque fini.

Ces deux semaines ont été suivies, quelques mois plus tard, d’un traitement châssis pour stopper la rouille qui commençait à rougir les dessous de VLV. Ainsi, c’est fringant que VLV a repris la route en juillet dernier pour découvrir quelques coins des Alpes et des Pyrénées.
Je vous présenterai tout ça très prochainement. 😉 A très bientôt.
Fjords de l’est et derniers tours de roues…
Nous sommes mardi, le ferry part demain mercredi, il me faut donc finir la route vers l’est.
1. Une ferme et sa petit église dans la plaine.

2. Ces plaines sont en fait des deltas alluviaux (Gravel bars) au pied des montagnes qui forment les fjords de l’Est.

3. Petit arrêt à la puissante cascade de Nykurhylsfoss, aussi parfois appelée Sveinsstekksfoss.

4. VivaLaVida fait un petit crochet par la vallée de laquelle elle descend sur une piste qui ressemble plus à une rivière par endroit 🙂

5. Cette vallée n’est qu’un magnifique escalier de basalte dont chaque marche crée une chute d’eau. Splendide ! Dommage de ne plus avoir le temps de l’explorer plus loin…

6. Avec les couleurs automnales désormais bien présentes, c’est magnifique.

7. Un peu plus loin, le sur un petit col, la chute de Folaldafoss.

8. VLV empruntera une piste chaotique pour trouver un joli dernier campement islandais près d’un petit lac, à 700 m d’altitude.

9. La nuit sera particulièrement agitée, avec des vents à presque 100 km/h selon la météo et une forte pluie. Au matin, la pluie m’offre quelque répit alors que le vent se maintient.

10. Comme il me reste quelques heures avant l’embarquement, je décide de prendre la piste F936 et suis surpris de la découvrir parfaitement nivelée, sans tôle ondulée ou nids de poule. Après une dizaine de km, je comprends pourquoi..! Je ne prends pas le risque de passer et fais demi-tour.

11. Du coup, VLV monte faire une petite exploration vers le nord…

12. … découvrir la jolie église de Kirkjubaejarkirkja.

13. Détails des volets de porte.

14. En montant un petit col, une grande plage exposé à l’océan arctique se révèle.

15. Petit arrêt dans une vallée latérale colorée, obstruée par une paroi de basalte.

16. Couleurs minérales.

17. Dernière image d’une lande pluvieuse…

18. VivaLaVida retrouve le Nöronna pour la traversée du retour.

En conclusion de ces quelques semaines en Islande, j’éprouve un sentiment mitigé. L’île recèle une densité de trésors naturels incroyables pour qui, comme moi, aime les paysages nordiques désolés et sauvages. Alliés à l’omniprésence d’une activité volcanique soutenue et souvent extrêmement récente, le cocktail est souvent époustouflant. Par contre, à cause de tours operators avides de gagner de l’argent, cette destination est devenue si touristique que les conséquences de ce tourisme de masse deviennent visibles presque partout. Interdictions d’accès de plus en plus fréquentes, législation cherchant à limiter l’impact sur la nature fragile, sites souvent aménagés d’infrastructures disgracieuses et envahis par des dizaines de cars, mini-campers commerciaux loués par centaines et, corollaire sans doute, des islandais peu affables et souvent même antipathiques à l’attention des étrangers… Sans compter un coup de la vie exorbitant : un plein de VLV, c’était plus de 350.- CHF..!
A part les quelques pistes intérieures auxquelles VivaLaVida nous a permis d’accéder hors des sentiers battus, la pression de ce tourisme m’a vraiment dérangé. Et nous y étions pourtant en fin de saison, avec nettement moins de monde qu’en juillet ou début août. Bien sûr, je comprends l’envie de chacun de découvrir cette nature brute. Pourtant, il est d’autres lieux sur la planète, tout aussi spectaculaires mais moins exploités par les voyagistes qui savent encore préserver leurs contrées et sont à mes yeux nettement plus plaisants à visiter.
Pas de regrets pourtant d’avoir eu l’occasion de faire découvrir à Isabelle – Emile est sans doute encore trop petit pour s’en souvenir plus tard – cette grande île et ses magnifiques paysages si variés !
Alors que le ferry Nöronna faisait escale à Torshávn sur le retour, j’ai eu la chance d’une météo clémente pour vous proposer quelques nouvelles images de la capitale des Féroés.
19. Cette petite ville propose des dizaines de petites ruelles aux jolies maisons qui dénotent avec les pavillons style américain de l’Islande.

20. Vue sur la ville.

21. Port de plaisance.

22. La traversée vers le Danemark sera quelque peu mouvementée, avec un fort coup de vent, rafales à 110 km/h et creux de 6-7 mètres.

23. Couchant venteux…

Le retour vers la Suisse s’est passé normalement à part une durite de turbo qui s’est déboîtée, obligeant VLV à se traîner sur les 500 derniers km…
Merci à vous d’avoir suivi le récit de ce voyage islandais de VivaLaVida qui va maintenant se refaire une petite santé (simmering de nez de pont à changer, rotules à remplacer, et révision châssis complète après les plus de 6’500 km parcourus, dont sans doute plus d’un millier sur les diverses pistes empruntées. Vous pouvez d’ailleurs visualiser le trajet sur la carte « Europe » de ce blog… 😉
Et à bientôt pour la suite du voyage de VivaLaVida ! 😀
Côte sud-est.
Le ferry m’attend dans deux jours et il me reste plusieurs centaines de kilomètres pour rallier Seydisfjordur, il est donc temps que j’avance. Sans pour autant omettre de m’arrêter à quelques nouveaux spots.
1. Même lieu même heure trois semaines plus tard et même arc-en-ciel… 😉

2. Petit stop sur un autre spot du lac Jökulsárlón et ses icebergs.

3. Et nouveau petit tour à la Diamond Beach pour quelques photos spécialement pour Isabelle ! 😉

4. Plus loin, peu avant le Vestrahorn, une autre Gravel Bar sous la pluie revenue.

Le site du Vestrahorn, si photographié, se révèle une véritable arnaque à touristes. Outre le fait qu’il est à côté d’un relais satellite militaire des plus inesthétique, il s’est fait approprier par le gérant d’une buvette-camping qui fait payer pour y accéder ! Il a même installé une barrière automatique style péage d’autoroute pour en contrôler l’accès. Je suis assez scandalisé par le fait qu’on puisse s’approprier ainsi un bout de nature appartenant à l’état et refuse de me prêter à cette pratique, préférant repartir ailleurs. Voyageurs, passez votre chemin, il y a assez d’autres sites magnifiques en Islande.
5. Je dors sur un petit col, le long de l’ancienne route. Après une pluie soutenue durant presque toute la nuit, le matin m’offre une éclaircie.

6. Et voici tout de même le Vestrahorn depuis le nord-est, une vue moins « conventionnelle »… 🙂

7. Un exemple des grandes fermes à moutons qui jonchent la côte sud.

8. Après ma déception au Vestrahorn, j’avais repéré un autre site encore moins connu (mais pour combien de temps..?). La météo n’est guère plaisante et je décide ainsi d’explorer la côte à la recherche de compositions sympas en attendant que cela s’améliore. En voici une première avec cette anse dans les rochers.

9. Les averses se succèdent, créées par le fort vent qui condense les nuages sur la montagne.

10. Je profite d’observer quelques canards qui s’abritent derrière la pointe. Ici une femelle.

11. Et là un mâle qui vient d’attraper un crustacé.

12. Il le rince un peu…

13. Avant de l’avaler !

14. Dans l’écume…

15. Je vais aussi découvrir la grande plage qui s’étend de la pointe vers l’ouest.

16. Au loin le Vestrahorn.

17. Tentative de survie…

18. Finalement, après 5h et demie d’attente, une brève éclaircie de quelques minutes à peine me permet de vous proposer une autre compo.

Dernier article de ce voyage à venir prochainement. 😉
F210 – F232
Avant de continuer le voyage, il est grand temps de vous souhaiter à tous la Bonne Année 2019 ! Je vous la souhaite pleine de nouvelles aventures instructives et enrichissantes, de belles rencontres, de découvertes inattendues. Une pensée particulière à une amie proche qui lute contre un grave cancer depuis des mois sans être encore parvenue à le vaincre et à qui je souhaite d’apercevoir bientôt le bout du tunnel…
Mais continuons le récit. J’ai eu droit à un peu de lumière au levant… 😀
1. Premières lueurs…

2. La calotte glaciaire Mýrdalsjökull toute proche est dégagée.

3. La neige est tombée vers 800 m cette nuit.

4. L’oxyde de fer colore de rouge certaines collines.

5. L’un des nombreux gués traversés.

6. Contraste sable / mousse / glace.

7. A la fin de la F210, je décide de prendre un peu de hauteur sur le Maelifell, un ancien volcan au milieu de la plaine. VivaLaVida reste en bas. 😉

8. Alors que je monte, l’immensité se révèle petit à petit.

9. Un vol d’oies sauvages qui commencent leur migration traverse dans le ciel…

10. J’en profite pour vous montrer un petit échantillon des principaux végétaux de ces contrées arides, à commencer par cette mousse presque fluorescente selon la lumière.

11. Elle partage l’espace avec d’autres espèces, créant des parterres colorés à cette période automnale.

12. …

13. …

14. …

15. Arrivé en haut, le panorama est époustouflant ! (assemblage panoramique de 9 images bracketées, soit 27 images pour le softblending !)

16. Vue plongeante…

17. Le mont que je viens de gravir.

18. Contrastes encore…

19. VLV y suit la route F232 désormais, peu fréquentée.

20. Alors que nous redescendons petit à petit vers la côte sud, la verdure redevient plus présente.

21. Les couleurs de l’automne sont aussi de plus en plus présentes, pour mon plus grand plaisir.

22. Que c’est beau ! Je suis en contemplation permanente…

23. Passage d’un gué juste au-dessus d’une chute d’eau

Je vous ai mis une petite vidéo de ce passage ici pour ceux qui souhaitent la découvrir… 😉
24. Une des rivières glaciaires, eaux de fonte de la calotte, creuse son canyon.

25. Plus bas sur la piste, d’autres chutes qui ressemblent à de petites « Godafoss » en moins touristique.

26. Contre-jour à la fin de la F232.

Suite à suivre bientôt… 😉
Mýrdalsjökull – F261 / F210
Comme annoncé précédemment, pour retourner vers l’Est, VivaLaVida a quitté le goudron pour aller découvrir l’arrière de la calotte glaciaire Mýrdalsjökul.
1. « Gravel Bar ».

2. Le ciel se bouche alors que je m’éloigne de la côte.

3. Contre-jour…

4. Dernière trouée avant la pluie. En fait, ces calottes glaciaires créent chacune le propre micro-climat ; l’air passant au-dessus se refroidit et se condense en pluie ou en neige « sous le vent ».

5. Surprise au détour de la piste : le magnifique canyon de Markafljótsgljúfur (le premier qui prononce juste à droit à un bonbon ! 😀 )…

6. … et la belle chute du même nom par laquelle la rivière s’y engouffre.

7. Etable à mouton…

8. Par endroit, les rivières doient se frayer un passage dans le basalte.

9. Piste F210.

10. VivaLaVida entre dans un nouveau désert de sable noir.

11. Petit canyon.

12. Désert volcanique sous la pluie…

13. …

14. La piste passe à même la lave par endroit.

15. …

16. …

17. Campement au milieu de nulle part à la nuit tombante…

Suite de la F210 et F232 à venir dans quelques jours…

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