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Valais : Val d’Hérens, Thyon, Val de Bagnes et Vallon d’Otemma
Après mes deux jours dans le Val d’Anniviers, je change de vallée et rejoins le Val d’Hérens.
Je dors à Arolla et décide de monter au Mont Dolin le lendemain matin, qui culmine juste au-dessous de 3’000 mètres.
1. Pause sous le Col de Riedmatten, après 700 m de D+.
2. Au Col de la Forclette, juste sous le Mont Dolin, avec les Dents de Bertol en toile de fond..
3. L’après-midi, je monte à Ferpècle que je n’ai pas visité depuis longtemps…
4. Une cascade au débit impressionnant s’échappe du Glacier du Mont Miné, attestant de la forte fonte de cet été…
5. Cette petit Gravel Bar formé par la rentenue de Ferpècle est vraiment photogénique !
6. En redescendant à La Sage où j’ai laissé VivaLaVida, le hameau de Seppec.
7. La Sage en fin d’après-midi.
8. Sa chapelle perchée…
9. Je dors au bord de la Borgne, au calme…
10. … et profite d’une place de pique-nique pour faire un feu de camp.
11. Le matin suivant, je monte à Thyon 2000 avec VLV, puis au Grepon Blanc à VTT. Les derniers mètres se font à pied.
12. Sommet du Grepon Blanc avec vue sur les 4’000 alentours.
13. En fin de journée, je lève le camp et remonte dans le Val de Bagnes. Le lendemain, départ à vélo depuis Bonatchiesse pour rejoindre la cabane Chanrion. Je longe le Lac de Mauvoisin.
14. Sous la cabane, une « gouille » sans nom…
15. La cabane Chanrion avec, au fond à droite, le Grand Combin.
16. Alors que je redescends, je remarque une petite route qui monte en direction du sud. Je décide d’aller la découvrir.
17. Elle mène à une prise d’eau sur la Dranse de Bagnes. J’y laisse mon vélo et poursuis à pied pour découvrir le splendide Vallon d’Otemma et le glacier du même nom.
18. Après 4 km à pied, il est temps de rebrousser chemin, à regret car j’aurais aimé poursuivre jusqu’à la langue glacière. Ce vallon est vraiment sauvage, je n’y ai vu personne…
19. Sur ma descente…
20. Peu avant de retrouver VivaLaVida, le pont de l’ancienne route de Mauvoisin.
Et voilà pour cette escapade valaisanne. J’y ai fait près de 300 km de VTT en 5 jours et totalisé presque 7’000 mètres de dénivelé positif, de quoi m’oxygéner ! 🙂
La suite vous présentera nos petites vacances d’automne.
Merci pour votre fidélité à ce petit blog ! 😉
Valais : Val d’Anniviers
Alors qu’Emile poursuit ses vacances avec sa maman, je m’en vais profiter de l’été en montagne et faire quelques jours de VTT en Valais.
1. Arrivé en fin de journée dans le Val d’Anniviers, je remonte à pied la vallée en direction de la cabane du Petit Mountet.
2. La Navizence aux couleurs du couchant, en aval du glacier de Zinal.
3. Grande boucle de 58 km et pas loin de 5h30 sur la selle le lendemain. Vue sur le Valais central depuis les hauts de Chandolin.
4. Le haut Val d’Anniviers depuis les hauts de St-Luc.
5. Lac au-dessus de Plan Torgnon.
6. …
7. Je fais le crochet pour découvrir le célèbre Hôtel Weisshorn.
8. En remontant vers Zinal, au-dessus d’Ayer.
9. Vue sur Zinal et la descente finale.
10. Je vais dormir au-dessus du barrage de Moiry.
11. Lac de Châteaupré au petit matin.
12. Deuxième sortie à VTT, au lac d’Autanne.
13. Vue alpine estivale…
14. Lac de Launa.
15. Pas de Launa, un haut lieu du Grand Raid VTT.
16. Depuis le Pas de Launa en regardant vers l’Est.
Voilà pour mes deux premières journées à VTT. La suite tout bientôt !
Val des Glaciers
Alors qu’Emile rejoindra bientôt sa maman pour la suite des vacances, nous nous arrêtons au pied du Val des Glaciers, près des Chapieux. Nous y passerons une journée sans bouger VivaLaVida, la route du Cormet de Roselend étant fermée pour « l’Etape du Tour ». C’est la plus grande cyclosportive avec pas moins de 19’000 participants qui s’élancent sur l’une des étapes que le Tour de France empruntera quelques jours plus tard : 135 km et 3’800 mètres de dénivelé positif !
1. Nous trouvons un joli spot de bivouac près de la rivière.
2. Le matin suivant, nous prenons les vélos pour aller découvrir le Val des Glaciers.
3. Panoramique du vallon avec l’Aiguille des Glaciers qui domine. Le trail du Tour du Mont-Blanc passe par cette vallée et le Col de la Seigne, à droite de l’aiguille.
4. En nous retournant, la petite route qui nous mène au Refuge des Mottets.
5. Malgré la longue montée, Emile assure une nouvelle fois sur son VTT !
6. Dernier coup d’oeil à la vallée en la quittant le lendemain.
7. Et dernière image de ces vacances, une petite chapelle aux Saisies, avec les Aravis en toile de fond.
La suite de l’année se poursuit avec une escapade VTT en Valais, quelques sorties sur des week-ends suivies des vacances d’automne. A découvrir bientôt ici ! 🙂
Fort Jafferau et Gorge de l’Ecot
1. Le Val Fredda en début de journée.
2. Les casernes du Col de Jafferau.
3. Depuis le sommet, le panorama vers le sud avec la piste qui nous a menés ici.
4. Ruines du Fort Jafferau.
5. Après avoir dormi au Mont-Cenis, nous allons découvrir les Gorges de l’Ecot, au-dessus de Bonneval-sur-Arc.
6. Une partie – à une petite heure de marche de Bonneval – est spectaculaire.
7. Quand l’eau se joue de la roche…
8. Il y a de belles marmites.
9. Plan large de l’entrée des gorges.
10. Nous allons dormir plus bas dans la vallée de l’Arc, après l’avoir traversé à gué pour rejoindre un coin tranquille.
11. Emile en profite pour entraîner sa pratique du vélo ! 😀
12. …
Il reste un dernier post à vous présenter bientôt qui clôturera le récit de ces petites vacances estivales. 😉
Mont Viso – Région de Bardonecchia
1. Nous revoici sur l’Alta Via del Sale mais sur sa partie Ouest cette fois.
2. …
3. Le fort de Marguerie où nous passons la nuit suivante.
4. Je vais en découvrir une partie mais ne m’éternise pas car certains endroits tombent vraiment en ruine.
5. Un visiteur matinal à notre campement…
6. En commençant notre remontée vers le Nord, nous allons découvrir le Mont Viso, le principal sommet italien des Alpes du sud. Vue depuis le Pian de Rey. La convection de l’après-midi masque partiellement le sommet.
7. Plus bas, une petite cascade pas loin de notre campement.
8. Vue sur la vallée.
9. Puis nous remontons direction Bardonecchia pour découvrir la région du Passo de la Mulatiera. Une piste peu large nous amène à 1’800 mètres d’altitude. Nous poursuivons à pied jusqu’au col.
10. Le grand pierrier qui s’étant sous le fort de la Mulatiera. On y observe une marmotte peu craintive à moins de 5 mètres.
11. Le jour suivant, nous nous parquons au Col de l’Echelle et partons en rando direction du Col des Thures. Après une montée bien raide, nous découvrons le Vallon des Thures et le petit alpage du même nom.
12. Arrivée au superbe Lac Chavillon, avec le Mont Thabor en toile de fond.
13. Je varie les compos…
14. …
15. Chemin du retour à travers les pierriers.
16. Dernier coup d’oeil sur le vallon.
17. Au-dessus du Col de l’Echelle.
18. Notre campement sous le Mont Jafferau, un spot ou nous avons déjà passé la nuit il y a trois ans.
La suite de notre remontée passera par le Mont-Cenis, l’Isère et les Savoies. On vous montre ça bientôt ! 😉
Turini et Vallon de la Minière
1. Peu au-dessus de notre bivouac, nous découvrons les anciennes casernes du Turini.
2. Les vues sur le Parc du Mercantour sont magnifiques.
3. Autre ruine, la caserne des Trois Communes.
4. En descendant sur Sospel, la Chapelle Notre Dame de la Menour.
5. Le jour suivant, nous faisons une longue randonnée pour aller découvrir le Vallon de la Minière et ses lacs.
6. Après 8 km de montée, nous approchons du premier lac, le Lac Long Supérieur.
7. C’est le plus grand depuis la construction d’un petit barrage.
8. Après avoir découvert le Lac Fourca, au-dessus du refuge des Merveilles, voici le Lac Soargine, au-début de notre descente.
9. Sous un autre angle…
10. Les marais situés sous le Lac Long Supérieur sont magnifiques.
11. …
12. La Minière, qui creuse la vallée.
13. Presque au bas de notre descente, après plus de 19 km de rando.
14. Fatigués, on prend une douche et on se rend directement sur un spot de bivouac repéré en 2017, au départ de la partie Ouest de la Haute Route du Sel.
15. Jolie surprise alors qu’on prépare l’apéro : un habitant des lieux vient manger tout près.
16. Nous l’observons un bon quart d’heure alors qu’il n’est qu’à une dizaine de mètres, jusqu’à ce qu’une voiture déboulant sur la piste le fasse remonter la pente…
17. …
18. … avant de disparaître dans les fourrés…
La suite tout bientôt… Merci de votre fidélité ! 😀
Alta Via del Sale
C’est mercredi. Nous nous présentons à l’entrée de la Haute route du Sel sans certitude d’y être autorisés. Officiellement, la route est limitée aux véhicules de moins de 6 m de long, 2.5 m de haut et 3.5 tonnes aux maximum.
Dans la guérite où l’on paie son passage, je ne cache pas que VivaLaVida déroge aux trois critères précédents et bien m’en prend. Le préposé me dit que mon hônneté m’honore et qu’il me laisse volontiers passer. Il me précise que dans une section en surplomb, il me faudra serrer vers le vide pour ne pas toucher le rocher mais que selon lui, ça devrait passer.
Nous sommes tout content de pouvoir découvrir cette piste mythique !
1. Dans le fameux virage, juste avant le Colle della Boaria, où nous avons rebroussé chemin à vélo la veille.
2. La piste serpente entre 2’000 et 2’400 mètres d’altitude sur une cinquantaine de kilomètres.
3. Les paysages sont superbes.
4. Après le refuge Don Barbera et le passage en surplomb passé sans souci.
5. Partie plus proche de la limite des arbres.
6. Mont Saccarel, à 2’200 mètres d’altitude.
7. Paysage d’altitude…
8. Ancienne batterie de canon du Mont Saccarel.
9. Depuis le Mont Saccarel, la piste que nous emprunterons pour redescendre. Elle s’avérera en mauvais état et il nous faudra plus de deux heures pour rejoindre La Brigue où nous passerons la nuit dans un petit camping.
10. Chapelle Notre Dame des Fontaines, peu avant la Brigue.
11. Après une bonne nuit précédée d’une petit resto, nous allons faire quelques emplettes à Breil-sur-Roya puis prenons une piste menant au parc du Mercantour. Ici, le joli village perché de Soargue.
12. Breil-sur Roya.
13. Depuis un peu plus haut, là où nous nous sommes arrêtés pour le lunch.
Nous croisons un garde du parc du Mercantour qui nous informe que le coeur du parc a été étendu et que la piste projetée le traverse désormais. Elle est donc interdite à toute circulation.
Il nous indique une alternative qui fait un sacré détour mais nous permet d’éviter le coeur du parc. Nous rebroussons donc chemin jusqu’à un embranchement et empruntons les pistes indiquées. La boucle est nettement plus longue mais nous permet de découvrir les collines de l’arrière pays avec la Méditerranée en arrière-plan.
14. Nous trouvons un superbe spot de bivouac quelques kilomètres avant les casernes du Turini que nous découvrirons le lendemain.
15. Promenade en fin de journée…
La suite à venir bientôt… 😉
Valle Argentera & Col de Tende
Comme indiqué, nous retardons notre descente vers Tende, la météo n’y étant pas favorable. Emile souhaitant y retourner, nous montons dans la Valle Argentera. L’accès y est désormais payant, un péage étant situé sur le pont à l’entrée de la vallée.
Nous sommes un peu déçus de découvrir que de gros travaux de protection ont été entrepris, sans doute à la suite des gros orages survenus dernièrement. Ainsi, plusieurs zones de terrassement visant à canaliser les ruisseaux ou torrents latéraux défigurent le bas de la vallée et réduisent beaucoup son charme. Heureusement, plus haut, rien n’a encore été entrepris.
1. Nous trouvons un joli spot pour nous poser au bord de la rivière.
2. Vue de notre campement.
3. Tonalités de fin de journée.
4. Le matin suivant, nous faisons une balade en amont pour découvrir un beau torrent.
5. Emile en profite pour se rafraîchir dans la rivière.
6. Brrrr… c’est froid !
7. …
8. Mais ça fait du bien !
9. Le haut de la vallée demeure sauvage…
La météo s’améliorant au sud, nous descendons vers Tende où nous espérons pouvoir découvrir l’Alta Via del Sale (Haute route du Sel), une piste d’env. 80 km qui suit la ligne de crète frontière entre l’Italie et la France. Nous en avions fait la partie ouest en 2017 mais pas la boucle est.
10. Les lacets du Col de Tende côté français (sud). Cette piste est fermée à la circulation depuis plusieurs années.
11. Rencontre en arrivant au Fort Central.
12. Première nuit dans les casernes, désertes ce soir là.
13. Comme nous sommes mardi et que la partie réglementée de la Ruta del Sale est réservée aux piétons et vélos les mardi et jeudi, nous partons en découvrir le début à vélo. Ici, dans la montée du Colle Campanino, avec le Fort Central au fond.
14. Emile est à l’aise sur son nouveau VTT, même dans les montées.
15. Au final, nous faisons 19 km et 480 m de dénivelé positif. Bravo à lui !
16. Deuxième nuit dans l’une des anciennes carrières exploitées pour construire les casernes, pour s’abriter car il souffle un fort vent du nord.
17. Les casernes au couchant.
La suite d’ici quelques jours…
Contrôle technique et départ en vacances d’été…
Cette année a commencé par l’expertise technique périodique de VivaLaVida qui a une nouvelle fois été refusée. Presque à chaque présentation, les experts trouvent « autre chose » : cette fois, ils demandaient la preuve que certains équipements non d’origine – il y en a beaucoup sur VLV – étaient déjà présents lors de l’importation en 2016. Autre point, l’éclairage arrière non conforme alors que je l’avais modifié suite aux directives du DTC lors de l’importation et que je n’ai rien touché depuis. VLV a aussi été recalé pour « efficience du frein de parking insuffisante », un classique.
Offroad Accessoires à Genève – où Andrew, avec lequel j’avais fait un bout de chemin en Baja California, travaille et qui avait fait passer la première expertise de VLV en Suisse – a aimablement délivré une attestation indiquant que les éléments concernés étaient bel et bien présents lors de l’importation. Pour ma part, j’ai décidé d’agrandir le diamètre du disque de frein de parking afin d’augmenter son efficacité. Les pièces ont été usinées sur mesure.
1. Dessin technique du disque.
2. Flasque d’étrier.
3. Système monté.
4. …
VivaLaVida représenté pour une contre-expertise, il a encore fallu diverses démarches administratives pour que le service technique accepte finalement de maintenir l’éclairage arrière tel quel et ce n’est donc qu’à fin juin que j’ai enfin pu réimmatriculer VLV. Juste à temps pour les vacances !
Ce printemps, avec 4 semaines où Emile serait avec moi, j’avais prévu de partir au Montenegro. Mais ayant perdu mon emploi à fin mai, les obligations liées à l’assurance chômage m’obligent à demeurer disponible sous 48h. J’ai ainsi dû changer les plans et décidé d’aller découvrir de nouveaux coins dans les Alpes italiennes et françaises, à une distance me permettant de rentrer en 2 jours si demandé.
5. Premier bivouac sous l’averse, au-dessus du barrage des Toules, sur la montée du Grand St-Bernard.
6. Le lendemain, nous allons découvrir le Val Cervinia que je ne connais qu’à ski. Le Cervin est dans les cumulus…
7. Bivouac sur le versant sud, au-dessous de l’Alpe Champlève.
Le lendemain, nous partons pour découvrir une piste menant au col de Pian Fum et un l’alpage de Sualera, repéré il y a plusieurs mois via mes recherches cartographiques. Une barrière a été récemment construite qui entrave désormais l’accès au col. Mais nous trouvons un bel endroit pour bivouaquer au-dessous, sur l’Alpe Folere.
8. Nous ne sommes pas loin de Turin, dans les contreforts alpins.
9. Piste…
10. Joli étang près de notre campement. En haut à droite, le col de Pian Fum.
11. C’est l’heure de l’apéro !
12. Après la douche, premier feu de camp des vacances…
13. Avec une grillage bien sûr !
14. Il est temps d’aller se coucher…
15. Le jour suivant, nous gravissons de Colle del Colombardo que nous avions découvert une première fois en 2017. Mais en altitude, la météo n’est guère propice…
16. Ce n’est qu’en redescendant l’autre versant que le brouillard se dissipe un peu.
Alors que les prévisions météo indiquent de la pluie au sud, nous passerons deux jours dans la Valle Argentera, près de Sestrières, où Emile avait envie de retourner. On vous raconte la suite très bientôt… 😉
Col de Valbelle
Toujours sur notre remontée, nous passons par hasard près des « Demoiselles coiffées », au sud du lac de Serre-Ponçon.
1. Une petite marche nous mène près de ces concrétions toujours impressionnantes.
2. Le site évolue rapidement. sa configuration a beaucoup changé durant les 50 dernières années.
3. Vue d’ensemble du site.
4. Toujours à privilégier les voies de traverse, nous empruntons une piste passant par les cols de Coche et de Valbelle pour rejoindre Guillestre.
5. Etable d’estive.
6. VivaLaVida sur la piste.
7. Vue vers l’ouest, peu avant le col de Valbelle.
8. Depuis le col, côté nord.
9. Quelques averses approchent.
10. Ca s’est bien refroidi, la neige n’est pas loin…
11. Nous trouvons un coin de bivouac au-dessus de la station de Risoul 1850.
12. Dernier feu de camp du voyage.
13. Halte dans une station service abandonnée en Maurienne.
Et voilà pour nos vacances d’automne. Peu de temps après, convoqué à l’expertise de VivaLaVida, j’ai dû déposer les plaques en attendant la fabrication de pièces pour augmenter la puissance du frein de parking car l’efficacité du montage actuel a été jugée insuffisante par l’expert. Nous n’avons ainsi pas pu profiter de VLV cette fin d’automne. Il a rejoint son abri pour l’hiver.
Alors que vous lisez ces lignes, les pièces commandées sont arrivées. Je les installerai dans les semaines à venir avant de reprendre les plaques pour la nouvelle saison.
Merci pour votre fidélité à suivre ce petit blog et à bientôt pour la suite du voyage à bord de VivaLaVida ! 😀
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