Espagne
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Picos de Europa (suite) et remontée vers l’est.
Nous remontons donc la vallée direction Sotres et quittons la route à droite pour découvrir une piste qui monte à presque 2’000 mètres d’altitude.
1. Alpage en fond de vallée, avant la montée.
2. Alors que VivaLaVida gagne de l’altitude, le paysage se fait plus aride.
3. Pause goûter !
4. En cette fin d’après-midi, la convection de la journée nous amène un bel orage, nous contraignant à rebrousser chemin.
5. En descendant sous la pluie…
6. Après l’orage, nous montons découvrir un point de vue en face.
7. Petite église de montagne.
8. Puis nous reprenons la direction de l’Est. Emile souhaite retourner dormir sur le spot de surfeurs où nous avons déjà passé une nuit.
Sur la route du lendemain, petit arrêt pour découvrir Santillana del Mar qui s’avère aussi être un piège à touristes…
9. Maison de village.
10. Porche de l’église.
11. Entrée de cour intérieure.
12. Grande maison traditionnelle.
Nous poursuivons la route vers l’Est et rejoignons le pays basque espagnol.
13. Joli bivouac sur une crête…
14. Le ciel est lourd en cette fin de journée.
15. Un visiteur qui vient nous observer de près à notre campement.
16. Dernière image d’Espagne dans un joli village basque, le lendemain matin, juste avant de passer la frontière française.
A suivre d’ici peu avec la suite du voyage : un arrêt à Navarrenx et un joli bivouac avec des amis, sur les contreforts des Pyrénées. 😉
Parc National de Somiedo et Picos de Europa
Après avoir parcouru la côte des Asturies, nous obliquons vers le Sud pour aller découvrir le parc national de Somiedo, dans la « vallée des lacs ».
1. Maisons et greniers typiques de la région.
2. Après avoir passé une nuit dans un petit camping de montagne à Valle de Lago, nous partons pour une jolie randonnée et remontons la vallée en direction des lacs. Le long de notre marche, un bel iris sauvage.
3. Arrivée au lac.
4. Alpage près du lac. On n’est qu’à 1’600 m d’altitude mais déjà à la limite des arbres.
5. Pique-nique…
6. Plantes lacustres…
7. Sur la descente…
Le lendemain, nous reprenons la route pour nous rendre aux lacs de Covadonga. Nous dormons sur un parking, sous le sanctuaire du même nom. Au matin suivant, nous découvrons que la route qui mène aux lacs est fermée aux véhicules privés durant l’été. Nous nous parquons et allons acheter un ticket pour la navette ; arrivés à 8h15 à la guérite, l’employé me dit avec un grand sourire : « La prochaine disponibilité est à 16h »… C’est un peu la douche froide ! Dès lors, nous renonçons et allons découvrir le sanctuaire de Notre Dame de Covadonga.
8. Chapelle à même la falaise, à côté de la Vierge.
9. Pèlerins agenouillés priant devant la Sainte Vierge.
10. La basilique Santa Maria la Real de Covalonga.
11. Crypte sous la basilique.
Après cette visite, nous décidons d’aller découvrir les Picos de Europa, un magnifique massif calcaire en retrait de la côte, un peu plus à l’est, et plus particulièrement le défilé de Cáres.
12. Arrêt sur la route, au Mirador del Pozo qui offre une magnifique vue sur le massif.
Mais en arrivant à la croisée de Viesgo, la route est là aussi barrée tant il y a de monde. Décidément, voyager en plein été est parfois frustrant !
Emile repère un funiculaire qui monte à Bulnes, semble-t-il dans un petit village d’estive. Nous redescendons la route sur 2.5 km pour trouver une place, prenons le pique-nique, marchons les 3/4 d’heure qui nous séparent de la station de départ. Il y a une heure et demi d’attente mais comme il est midi, je prends les billets et nous allons pique-niquer au bord du Rio Cáres.
13. Arrivés en haut du funiculaire, le lieu s’avère être un bel attrape-touristes ! Après à peine 10 min de marche, on arrive bien dans un ancien village d’estive mais qui a été entièrement transformé en une série de restaurants touristiques bondés. Après 10 minutes à peine, on a fait le tour et constatons qu’il n’y a rien à y voir si ce n’est une petite chapelle de montagne. On ne peut même pas y pénétrer, elle est fermée à clé.
De retour à la gare supérieure du funiculaire, il nous faut attendre 1h30 pour pouvoir redescendre et nous ne retrouvons VivaLaVida qu’à passé 16h. Je décide alors de remonter la vallée vers l’est, direction Sotres où j’ai repéré une piste d’altitude. Je vous la présenterai dans le prochaine article ! 😉
Incursion en Galice et retour en Asturies
C’était l’un des spots que je souhaitais découvrir depuis longtemps : la Praia de Catedrais ou « Plage des Cathédrales », en Galice, à un dizaine de kilomètres de la frontière avec les Asturies. Spot devenu archi-touristique depuis qu’il a été publié des centaines de fois sur Instagram, à tel point qu’il faut désormais s’enregistrer sur Internet pour pouvoir y accéder via un QR code. Comme certaines arches ne sont accessibles qu’à marrée basse, cela concentre encore le monde à certaines heures de la journée.
Passé d’abord vers 15h, je renonce tant il y a de monde. On le découvre donc le lendemain vers 8h du matin et s’il y a encore bien du monde, c’est sans doute 5 ou 10 fois moins que la veille…
1. Le site est constitué d’une falaise dont le bas est au niveau de la mer et « ensablé » sur une plage.
2. Les arches les plus connues, en enfilade les unes avec les autres.
3. Quelle perspective !
4. Une autre arche sur le retour vers l’accès au pied de la falaise.
5. En repartant vers l’ouest, on longe la côte par de petites routes et on tombe sur une joli phare : le Faro de Ribadeo.
6. Un peu plus à l’est, une jolie crique sauvage. On découvre qu’elle est réservée aux nudistes.
7. Nouvel arrêt quelques kilomètres plus loin pour découvrir une autre arche naturelle, au Mirador de Atalaya.
8. On suit toujours la côte, par moment sur des pistes, en découvrant comme ici de jolies criques.
9. Nous voici dans un joli petit port, à Viavelèz.
10. Il est temps de nous chercher un coin de bivouac et après trois essais infructueux, nous voici au-dessus d’une belle falaise qui se colore d’orange au couchant…
11. Le lendemain matin, découverte d’une plage de galets après une petit session offroad sur un chemin abandonné…
Ensuite, nous quittons la côte pour rejoindre les montagnes du parc de Somedio. A découvrir dans le prochain article… 😉
Côte cantabrique et Asturies
Nous poursuivons donc la découverte de la côte désormais en Cantabrie. Nous nous étions déjà arrêtés près de Santander l’année dernière et nous allons découvrir un autre spot côtier spectaculaire tout proche.
1. L’arrivée sur le site.
2. Roche feuilletée caractéristique de la région.
3. Variante.
4. Quelques centaines de mètres plus loin.
5. Autre composition.
6. La marée monte et s’insinue au travers de la muraille.
7. Piscine naturelle.
8. Jolie fin d’après-midi près de San Vincente de Barquerra.
9. Rayons…
10. Sunset.
11. Le lendemain, un peu plus loin, nous découvrons un autre spot.
12. La Playa del Silencio.
13. Cette côte toute en falaises est vraiment belle.
14. Nous continuons jusqu’à la frontière Asturies-Galice pour aller découvrir un spot spectaculaire le lendemain et trouvons un endroit tranquille pour dormir au bord de l’océan.
15. Dernières lueurs d’un couchant coloré.
On vous présente la Praia de las Catedrais dans la prochaine mise à jour. 😉
Pays basque espagnol
Souhaitant aller découvrir le bâtiment du musée Guggenheim à Bilbao, nous longeons la côte basque.
1. Arrêt à Ondarroa pour découvrir cette jolie petite bourgade côtière.
2. Son port de plaisance, dans l’embouchure de la rivière.
3. Ruelle…
4. Attirés par le bruit, on découvre un groupe sur une concha (terrain) qui joue à la pelote basque.
5. Retour vers VLV par la criée, vide ce matin…
6. La même criée de l’extérieur. Elle est construite sur un quai, à même la ville.
Après un arrêt d’une heure pour réparer les feux de croisement de VLV qui ne fonctionnent plus – le contact d’une prise, corrodé, s’est cassé – nous arrivons à Bilbao peu après midi. Parqués non sans mal – pas facile de trouver un espace suffisamment grand – nous cassons la croûte puis partons découvrir le célèbre bâtiment du musée Guggenheim.
7. La ville de Bilbao allie volontiers l’ancien et le nouveau.
8. Nous découvrons le Guggenheim depuis la rive opposée.
9. Quelle architecture !
10. Spectaculaire !
11. Contraste de la sculpture toute en rondeurs…
12. Plan d’eau…
13. Rien n’est droit.
14. Courbes…
15. Entrée du musée où nous n’irons pas, l’exposition actuelle n’étant pas vraiment adaptée aux enfants.
16. Courbes encore…
17. La partie du bâtiment qui accueille l’administration.
18. Esplanade.
19. Après avoir cherché en vain un endroit pour dormir au bord de l’océan, nous le trouvons finalement dans les collines en retrait de la côte, juste à côté d’un véritable menhir.
20. C’est soir de finale de l’Euro et Emile ne veut pas rater ça ! De mon côté, je profite du coucher du soleil…
La suite très bientôt avec la poursuite de notre progression vers l’ouest…
Chemin du retour…
1. Dernier bivouac en vue de l’océan, non loin de Bilbao, alors qu’il pleut…
2. Apéro avec les produits locaux !
3. Ca plaît à Emile ! 😀
4. Quiétude…
5. La pluie s’arrête, laissant place à quelques couleurs au couchant.
6. …
7. …
8. …
9. … La côte basque s’endort..
10. Il y avait longtemps que je souhaitais découvrir la gare de Canfrang, cette curiosité nichée sur un col des Pyrénées, à 1’200 mètres d’altitude. J’en avais vu des images alors qu’elle était désaffectée et j’ai la surprise de découvrir qu’elle a été entièrement rénovée et réhabilitée en hôtel de luxe !
11. Etonnant de trouver un tel bâtiment en pleine montagne, non ?
12. Nous rejoignons Pont d’Espagne où nous ne pouvons dormir, le fond de la vallée ayant été fermé à la circulation après un immense parking payant sur lequel il est interdit de dormir. La cascade du Cerisey en redescendant vers Cauterets où nous passerons la nuit en camping.
13. Nous remontons vers la Suisse en longeant le pied nord des Pyrénées et découvrons une belle grotte sur notre route : la grotte du Mas d’Azil. La cavité a été creusée par la rivière qui la traverse et elle est si vaste que la route la traverse également.
14. Nous dormons au nord de Carcassone pour découvrir les ruines des Quatre châteaux de Lastours.
154. Ce sont les petites routes des Cévennes qui nous ramènent dans nos pénates…
16. En traversant Mourèze…
Et voilà pour ces trop courtes vacances d’été où VivaLaVida aura parcouru 4’200 km.
Les prochains articles vous présenteront quelques sorties automnales…
Merci de votre fidélité à ce petit blog ! 🙂
Cantabrie et Pays Basque (suite)
Le lendemain, nous poursuivons la découverte de cette côte rocheuse.
1. L’océan passe par les infructuosités du calcaire pour créer ce petit lac à une centaine de mètres de la côte. Le ressac y fait bouger l’eau, effet assez inhabituel..!
2. Une autre arche.
3. La côte vers l’ouest depuis une petite presqu’île.
4. Et encore une arche.
5. Il ne reste que quelques jours avant la fin des vacances, nous reprenons la route vers l’est. Hameau abandonné…
6. Eglise près du village de Niembru.
7. Nous dormons sur un spot de surf près de San Vincente de la Barquera, qui nous offre de belles couleurs au couchant.
8. …
9. …
10. VivaLaVida parmi les campers de surfeurs.
11. Premières lueurs à l’aube…
12. Nous poursuivons notre route dans le Pays Basque et faisons une petite halte à l’Ermitage de San Juan de Gaztelugatxe. Il y a tellement de monde qu’il ne nous est pas possible d’y descendre car tous les billets de la journées ont été vendus.
13. Eglise avec coursives couvertes…
14. Porte principale.
15. Un autre spot connu où l’on retrouve ces roches en couches qui ont basculé pour offrir leurs tranches à l’océan, à Zumaia. Vous ne le voyez pas mais à ma gauche, il y a une plage avec sans doute une moyenne de 10 humains au mètre carré ! 😀
16. Le fiston en mode découverte.
17. Falaise rayée…
Il me restera un dernier article à publier d’ici quelques jours pour clore le récit de ce petit voyage d’été… A très vite ! 😉
Cantabrie…
Voici la suite de notre découverte du nord de l’Espagne, en Cantabrie désormais.
1. Nous voici au bord de l’océan Atlantique, dans le Golfe de Gascogne où il souffle bien ce jour-là.
2. Promenade dans les eucalyptus.
3. Emile a envie d’aller voir un phare de près, on emprunte donc le sentier côtier.
4. Phare de Ajo.
5. Nous allons également découvrir une arche naturelle toute proche.
6. Emile donne l’échelle.
7. Fenêtre sur l’océan…
8. Après avoir dormi pratiquement sur cette arche, nous découvrons un spot hyperconnu le lendemain : Urros de Liencres.
9. La marée basse découvre les strates de roche…
10. Petite alcove…
11. Encore un saut de puce pour aller découvrir une autre arche naturelle : El Castro de las Gaviotas. On se parque vers une jolie chapelle.
12. Crique dans la falaise…
13. L’arche encore partiellement dissimulée.
14. Et la voici complète.
15. Après avoir cherché presque deux heures un lieu pour bivouaquer à cause du monde à cette période, nous trouvons finalement un bel endroit pour dormir, au bas des Picos de Europa, près de l’océan et accessible uniquement grâce aux 4 roues motrices de VivaLaVida.
16. L’océan est tout proche.
17. La vue derrière notre campement.
18. Crépuscule pastel…
A bientôt pour la suite !
Navarre et Pays Basque…
1. En poursuivant notre progression vers l’Ouest…
2. … nous faisons une brève pause dans un parc éolien.
3. Vers la mi-journée, nous arrivons au parc naturel d’Urbasa, un magnifique plateau karstique entre 800 et 1’000 mètres d’altitude.
4. Après le casse-croute, nous allons nous y promener.
5. Parois…
6. Silhouette déformée…
7. De beaux chardons bleus parsèment ces hauts pâturages.
8. Forêt dense à l’extrémité nord-ouest du plateau…
9. …
Nous nous dirigeons ensuite au sud-est de Bilbao à la recherche d’une arche naturelle, l’Oyo de Aizulo, dans le Pays Basque.
10. Après une marche sous une pluie fine, nous arrivons à l’entrée de cette magnifique double arche.
11. Ses dimensions sont assez impressionnantes ! Ici l’arche aval, sans doute haute d’une trentaine de mètres.
12. Et là l’arche amont par laquelle on accède au site.
13. La même depuis le haut.
14. Selfie ! 😉
15. Le lendemain, après une nuit durant laquelle la pluie s’est arrêtée, nous allons découvrir une impressionnante cascade, le Salto del Nervion qui, avec ses 222 mètres, est la plus haute chute d’eau de toute la péninsule ibérique.
Une barrière interdisant désormais l’accès à la piste, c’est après env. 2h de marche que nous arrivons sur le site pour découvrir une cascade complètement à sec ! Dommage, elle doit être impressionnante lorsque le Nervion y coule.
La suite sera plus océanique avec l’arrivée de VivaLaVida dans le Golfe de Gascogne… 😉