septembre, 2021

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Pyrénées (suite)

 
 
1. Réveil au Pedró dels Quatre Batlles. Il fait frais mais la vue est splendide.
 

 
 
2. …
 

 
 
3. Nous empruntons une piste spectaculaire pour descendre du plateau
 

 
 
4. Vue vers le sud.
 

 
 
5. Escarpement.
 

 
 
6. Fleur dans la rocaille.
 

 
 
7. Plus loin, un passage étroit qui m’obligera à rentrer les rétroviseurs. Nous l’avons franchi dans les deux sens, la piste ayant été détruite 2 km plus haut.
 

 
 
Nous avons trouvé plusieurs pistes fermées par des barrières récemment installées, sans doute la rançon des hordes de 4×4 qui les sillonnent de plus en plus.
 
 
8. Chouette spot de camping sauvage.
 

 
 
9. Emile est toujours partant pour jouer avec ses petites voitures…
 

 
 
10. Petit village dans la montagne.
 

 
 
Alors que nous sommes stoppés par une barrière à l’entrée d’une piste qui devait nous mener découvrir un joli lac d’altitude, Emile me dit “On a qu’à y aller à pied”. Je lui explique que le lac est à 9 km de marche avec 700 mètres de dénivelé positif mais il insiste. Je parque donc VivaLaVida et nous voici partis pour une journée de marche. Mon p’tit gars avalera vaillamment les plus de 18 km aller-retour ! Un vrai chamois !
 
 
11. Le lac en question.
 

 
 
12. Pique-nique à l’abris d’un rocher alors que le vent souffle en rafales.
 

 
 
13. Avant la redescente.
 

 
 
La suite de nos découvertes d’ici quelques jours…
 
 

Stop forcé et début des Pyrénées

 
Aujourd’hui, nous poursuivons la route vers les Pyrénées.
 
Après une soixantaine de kilomètres, j’engage VivaLaVida sur l’autoroute A6 au nord d’Orange. Je prends sa vitesse de croisière – 100 km/h – et je n’ai pas fait 5 km qu’un bruit sourd s’intensifie rapidement. Aucun doute, quelque chose ne va pas sur le châssis. Je ralentis immédiatement et me range sur la bande d’arrêt d’urgence. Nous sommes à 500 mètres d’une aire d’autoroute et je me laisse doucement couler jusque là à 40 km/h. Alors que je descends pour tenter d’identifier la source du problème, stupeur : 4 des 8 goujons de la roue arrière gauche sont cassés, les écrous ayant évidemment disparu dans la nature ! Je sors la clé de 21 et constate que les 4 écrous restant sont largement desserrés. Alors que je les resserre, un cinquième goujon se rompt. On a vraiment failli perdre une roue et je n’ose pas imaginer quelles auraient pu être les conséquences, autant pour VLV que pour les autres usagers de l’autoroute avec une roue folle de 90 cm de diamètre et env. 50 kg lancée à 100 km/h..!
 
Cette roue resserrée, nous nous trainons jusqu’à la prochaine sortie autoroutière 4 km plus loin. Nous nous rendons dans un garage poids-lourd et commandons un jeu de 32 goujons et 32 écrous aux Etats-Unis puisqu’ils sont spécifiques à la conversion 4×4 de VLV. Chris nous les enverra le lendemain matin en Express et ils arriveront finalement le vendredi à 16h. Entretemps, nous rejoignons le camping “Manon” à Orange, où nous passerons ces 5 jours d’attente. La piscine et la ville toute proche permettront de quelque peu divertir l’équipage stoppé dans son élan..!
 
 
1. Repas du soir au camping…
 

 
 
2. Petite compensation. 😉
 

 
 
3. Le célèbre théâtre d’Orange et ses gradins.
 

 
 
4. On profite de la piscine.
 

 
 
5. Distractions…
 

 
 
Une fois VivaLaVida réparé, nous reprenons le voyage vers les Pyrénées espagnoles. Nous y arrivons en fin de journée un samedi, en même temps qu’une perturbation et il pleut copieusement. Nous nous arrêtons à même la piste que nous emprunterons le lendemain alors qu’il fait déjà presque nuit.
 
6. Levant coloré alors qu’Emile dort encore.
 

 
 
7. La piste qui oscille à 2’000 mètres d’altitude est magnifique.
 

 
 
8. C’est l’occasion de tester l’adaptateur Isofix que j’ai fait pour installer le siège d’Emile à l’avant. Il est aux anges ! 😀
 

 
 
9. Vue sur la plaine, loin au sud.
 

 
 
10. VLV est content de retrouver la piste.
 

 
 
11. On découvre de jolis villages…
 

 
 
12. …et une géologie variée.
 

 
 
13. Un autre de ces village pyrénéens.
 

 
 
14. Nous rejoignons un plateau d’altitude, le Pedró dels Quatre Batlles, après une montée où la transmission 4×4 aura été bien utile !
 

 
 
15. Il souffle un vent à décorner des boeufs. Est-ce pour cela que la végétation prend la forme de barkanes ?
 

 
 
16. L’ambiance est magnifique alors que le soleil descend.
 

 
 
17. Derniers rayons avant le couchant. Le vent nous secouera une bonne partie de la nuit alors qu’il ne fera que 4° au matin.
 

 
 
A bientôt pour la suite.