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Cantabrie…
Voici la suite de notre découverte du nord de l’Espagne, en Cantabrie désormais.
1. Nous voici au bord de l’océan Atlantique, dans le Golfe de Gascogne où il souffle bien ce jour-là.
2. Promenade dans les eucalyptus.
3. Emile a envie d’aller voir un phare de près, on emprunte donc le sentier côtier.
4. Phare de Ajo.
5. Nous allons également découvrir une arche naturelle toute proche.
6. Emile donne l’échelle.
7. Fenêtre sur l’océan…
8. Après avoir dormi pratiquement sur cette arche, nous découvrons un spot hyperconnu le lendemain : Urros de Liencres.
9. La marée basse découvre les strates de roche…
10. Petite alcove…
11. Encore un saut de puce pour aller découvrir une autre arche naturelle : El Castro de las Gaviotas. On se parque vers une jolie chapelle.
12. Crique dans la falaise…
13. L’arche encore partiellement dissimulée.
14. Et la voici complète.
15. Après avoir cherché presque deux heures un lieu pour bivouaquer à cause du monde à cette période, nous trouvons finalement un bel endroit pour dormir, au bas des Picos de Europa, près de l’océan et accessible uniquement grâce aux 4 roues motrices de VivaLaVida.
16. L’océan est tout proche.
17. La vue derrière notre campement.
18. Crépuscule pastel…
A bientôt pour la suite !
Navarre et Pays Basque…
1. En poursuivant notre progression vers l’Ouest…
2. … nous faisons une brève pause dans un parc éolien.
3. Vers la mi-journée, nous arrivons au parc naturel d’Urbasa, un magnifique plateau karstique entre 800 et 1’000 mètres d’altitude.
4. Après le casse-croute, nous allons nous y promener.
5. Parois…
6. Silhouette déformée…
7. De beaux chardons bleus parsèment ces hauts pâturages.
8. Forêt dense à l’extrémité nord-ouest du plateau…
9. …
Nous nous dirigeons ensuite au sud-est de Bilbao à la recherche d’une arche naturelle, l’Oyo de Aizulo, dans le Pays Basque.
10. Après une marche sous une pluie fine, nous arrivons à l’entrée de cette magnifique double arche.
11. Ses dimensions sont assez impressionnantes ! Ici l’arche aval, sans doute haute d’une trentaine de mètres.
12. Et là l’arche amont par laquelle on accède au site.
13. La même depuis le haut.
14. Selfie ! 😉
15. Le lendemain, après une nuit durant laquelle la pluie s’est arrêtée, nous allons découvrir une impressionnante cascade, le Salto del Nervion qui, avec ses 222 mètres, est la plus haute chute d’eau de toute la péninsule ibérique.
Une barrière interdisant désormais l’accès à la piste, c’est après env. 2h de marche que nous arrivons sur le site pour découvrir une cascade complètement à sec ! Dommage, elle doit être impressionnante lorsque le Nervion y coule.
La suite sera plus océanique avec l’arrivée de VivaLaVida dans le Golfe de Gascogne… 😉
Château de Loarre
1. Nous nous arrêtons pour aller découvrir ce superbe château de Loarre.
2. Son enceinte fortifiée est encore quasi intacte.
3. Le porche principal…
4. …et l’escalier qui mène aux différentes cours et bâtiments intérieurs.
5. Galerie…
6. Vue sur la plaine en contrebas.
7. Vitrail de marbre…
8. Lueur…
9. Neffe…
10. Dans l’enceinte des remparts.
11. Dernier coup d’oeil en partant nous chercher un coin pour bivouaquer.
12. Jolie piste dans la pinède…
13. …et bivouac tranquille sous les pins. La douche fera du bien alors que la journée a encore été chaude.
Découverte des Mallos de Riglos et autres curiosités dans la prochaine mise à jour. 😉
Pied sud des Pyrénées
Pour nous protéger de la canicule qui sévit depuis quelques jours, nous décidons d’aller découvrir la vallée d’Ordesa, espérant y trouver un peu de fraîcheur. En cette période estivale, les diverses routes d’accès sont fermées aux véhicules individuels et après une nuit dans le petit camping du refuge de San Nicolás de Bujaruelo, nous prenons la navette qui nous mène dans la vallée.
1. Après une petite heure de marche, nous voici devant la “Cascada del Estrecho”.
2. En poursuivant la remontée de la rivière…
3. Emile jouant sur notre lieu de pique-nique. Je ne ramènerai pas d’autre image, une belle averse nous ayant contraint à écourter notre balade.
4. Campement sauvage au bord d’une petite rivière…
5. Le fiston tout content de jouer les pieds dans l’eau.
6. Le lendemain, la piste s’élève dans une massif calcaire.
7. Le paysage et la géologie changent rapidement.
8. Nous arrivons au “Mirador de Los Buitres” peu après midi et profitons d’une magnifique vue sur les “Mallos de Riglos”.
9. Alors que nous mangeons, de nombreux vautours nous survolent.
10. Escadrille…
11. Planeur…
12. Ruine le long de la piste…
13. En fin d’après-midi, nous arrivons en vue du “Castillo de Loarre”.
Les images de notre visite arrivent dans le prochain article… 😉
Pyrénées : chaleur et géologie…
1. Après une nuit tranquille à 2’600 mètres d’altitude, le beau temps est de la partie.
2. Nous reprenons la piste pour la descente.
3. Nous nous dirigeons vers l’ouest à travers les contreforts sud des Pyrénées, tantôt par de petites routes, tantôt par des pistes, découvrant de jolis villages…
4. C’est la journée la plus chaude avec 43.5°C à l’ombre. Nous campons sous les arbres, près d’une rivière et profitons de la nouvelle douche de VLV installée avant le départ pour nous rafraîchir un peu. Un troupeau de moutons vient s’abreuver juste à côté.
5. Le lendemain, on repart pas trop tard pour éviter les fortes chaleurs. Panorama depuis le Coll de Boixols.
6. Et toujours ces jolis villages…
7. Nous arrivons près du Congost de Mont Rebei, un profond canyon de la rivière Noguera Ribagorçana dans lequel a été creusé un chemin vertigineux. Le parking est interdit aux véhicules de plus de 2m et nous allons nous parquer au bord de la route d’accès, à 2km du début du sentier. Vue vers le sud depuis le “Mirador de les Lludrigues”.
8. Malgré les 40° bien tapés, nous partons tout de même pour les 6 kilomètres qui nous mènent au début du chemin creusé dans la falaise. Traversée d’un pont suspendu piétonnier.
9. Petit à petit, le sentier s’élève au fur et à mesure qu’on entre dans la gorge.
10. Au coeur du canyon, le sentier est aérien !
11. Congost de Mont-Rebei dans sa partie supérieure. Le chemin est à 140 m au-dessus de la rivière !
Une rafale s’appropriera la casquette d’Emile ; on lui improvisera donc un couvre-chef pour le retour, avec un petit linge et un lacet, car le soleil tape toujours copieusement !
12. De retour à VivaLaVida après 4 heures de marche sous 40°, on reprend la route puis la piste pour nous rendre au Murailles de Finestras. Nous y arrivons en fin d’après-midi alors que la lumière commence à descendre…
13. Le niveau du lac artificiel qui baigne parfois le pied de cette muraille est bien bas…
14. Depuis le village abandonné à la fin de la piste, nous montons au petit ermitage de San Marcos qui offre un joli point de vue.
15. Un dernier coup d’oeil sur cette curiosité géologique avant de nous trouver un joli spot pour dormir en pleine nature et de savourer une nouvelle douche…
La suite dans quelques jours…
Vacances 2023, c’est parti !
Après un printemps quelque peu bouleversé par le diagnostic d’Emile, ce n’est qu’en ce mois de juillet que VivaLaVida a quitté ses quartiers d’hiver pour reprendre du service.
Trois jours pour un gros service moteur – transmission – trains roulants – merci au Garage BN à St-Martin/FR pour le prêt de la place – deux jours supplémentaires pour recharger toutes les affaires et nous sommes prêts à partir en direction du sud le samedi 15 juillet. Emile est aux anges, lui qui me demande depuis deux mois “Quand est-ce qu’on part dans VivaLaVida ?!”. Après une première nuit dans le camping où nous avions attendus les goujons de roue il y a deux ans – Emile espérait y revoir Lilou, une petite fille rencontrée lors de notre dernier séjour – nous poursuivons vers les Pyrénées.
1. Premier spot que nous allons découvrir, la “Fontaine des Amours”, un joli bassin de baignade naturel.
2. Pas très loin, nous explorons les restes d’un pont romain…
3. Il a été reconstruit à l’identique après une grosse crue il y a une trentaine d’année.
4. Nous trouvons un endroit tranquille pas loin pour passer la nuit dans les collines de l’Ariège…
5. … et nous faisons le premier et dernier feu de camp de ces vacances pour notre grillade. Alors qu’ici, il a bien plu et que les risques d’incendie sont inexistants ce soir, ce ne sera pas le cas ensuite…
6. Après avoir rejoint Andorre-la-Vieille où nous faisons quelques emplètes pour remplir le frigo, nous décidons de monter un Pic Nègre. La piste est devenue si fréquentée qu’il y a un garde de la Guarda Civile qui encaisse 25€ au départ de la piste. Comme c’est déjà bientôt la fin de l’après-midi, VLV monte sans trop s’arrêter une piste par endroit très ravinée par les orages et atteint un premier replat vers 2’200 mètres d’altitude. Nous n’y croisons personne.
7. Après env. une heure de montée, il arrive en vue du sommet, à 2’700 mètres d’altitude.
8. Après le sommet, nous poursuivons jusqu’à la fameuse carcasse de fourgon VW près de laquelle nous passerons la nuit.
9. VLV au campement…
10. En montant sur le petit somment le surplombant…
11. … pour profiter du couchant.
12. Douceur du soir…
13. A demain soleil !
14. Crépuscule…
A bientôt pour la suite ! 😀
Bonne année 2023 !
Il est temps de vous souhaiter, à vous tous qui suivez fidèlement le voyage de VivaLaVida, une très heureuse année 2023 remplie de découvertes et d’aventures positives.
Merci de votre fidélité à ce petit blog !
A bientôt pour la suite du voyage..!
Dernière sortie de l’année dans le Doubs
Alors que j’espérais faire encore 2-3 week-ends dans VivaLaVida avant de l’entreposer pour l’hiver, une fête de famille et un épisode de gastro pour Emile ne nous ont permis de faire qu’un dernier bivouac le dernier week-end de novembre.
Nous sommes partis découvrir deux arches naturelles situées dans le département du Doubs, au sud de Montbélliard.
1. Nous voici arrêtés non loin de la première arche.
2. Après une courte montée, nous longeons la falaise en direction de l’arche…
3. … qui apparaît bientôt à travers le brouillard.
4. Dénommée Grotte du Bisontin, l’arche a été créée par l’effondrement du toit d’une grande balme suite aux infiltrations dans la roche calcaire, probablement il y a plusieurs milliers d’années.
5. L’arche est assez impressionnante, avec une portée d’une trentaine de mètres. C’est la plus grande que j’aie visitée jusqu’à présent en Europe.
6. Emile donne l’échelle alors que le brouillard crée une ambiance particulière.
7. Pour atteindre la seconde arche, le chemin est aérien car il suit une crête calcaire avec des a-pic de part et d’autres. Alors que le brouillard rend le tout glissant, je renonce à y aller avec Emile car une glissade mènerait assurément à un accident grave.
Nous allons donc dormir sur un promontoir au-dessus de Maîche où nous cuisinons une bonne choucroute sur le dernier feu de camps 2022 ! C’est aussi l’occasion de casser quelques jours en avance une “Marmite de l’Escalade”, tradition genevoise qui commémore la tentative d’invasion de 1602.
Merci à la personne qui nous l’a offerte, elle se reconnaîtra. 😉
8. Réveil frisquet…
9. … au-dessus des brumes…
10. …avec de jolies couleurs.
11. Sur le trajet retour, VivaLaVida franchit la barre symbolique des 300’000 km. Ce n’est pas énorme pour un véhicule qui roule en Amérique – ceux qui affichent entre 500′ et 750’000 km sont courants – mais compte tenu des kilomètres parcourus sur piste – sans doute env. 50’000 depuis que j’ai converti VLV en 4×4 – et des routes tortueuses de l’Europe, c’est déjà un kilométrage respectable. 🙂
Après cette sortie, VivaLaVida est allé retrouver son abri pour l’hiver. Je me réjouis déjà des prochaines aventures qu’il nous réservera l’année prochaine !
Merci encore à vous tous qui suivez nos modestes pérégrinations à son bord. Je vous souhaite déjà de belles fêtes de fin d’année et vous dit à bientôt. 😉