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Lave et chutes d’eau du Nord-Est

 
1. Dans la région de Mývatn, petit lac sur la piste menant à un tunnel de lave.
 

 
 
2. Isabelle dépasse sa crainte et descend dans l’entrée du tunnel.
 

 
 
3. Ici, les textures de la lave sont assez incroyables.
 

 
 
4. Flancs du cratère Hverfjall.
 

 
 
5. Le lac Mývatn et ses concrétions de lave sous la pluie.
 

 
 
6. …
 

 
 
7. Tenue de pluie, avec le sourire. 😉
 

 
 
8. Tenues de pluie bis.
 

 
 
9. Campement sauvage dans une prairie au sud du lac.
 

 
 
10. Rai de lumière…
 

 
 
11. Ciel de couchant.
 

 
 
12. …
 

 
 
13. Nous cherchons à rejoindre la chute d’eau Aldeyjarfoss par une piste peu utilisée et, après une 50aine de km et la traversée de quelques marécages, VivaLaVida arrive devant cette puissante rivière. Le gué abandonné ne m’inspire pas et je renonce à tenter son franchissement, d’autant que même avec les jumelles, je ne distingue pas la piste de l’autre côté…
 

 
 
14. Pause de midi.
 

 
 
15. Landes à l’infini…
 

 
 
16. Et voici la spectaculaire Aldeyjarfoss !
 

 
 
17. La rivière plonge dans un profond canyon aux parois de basalte.
 

 
 
18. Je descends dans le canyon pour une compo moins classique.
 

 
 
19. Pas très loin en amont, nous découvrons une autre chute : Hrafnabjargafoss. Bonjour la prononciation ! 😉
 

 
 
20. Chutes secondaires au couchant…
 

 
 
21. La rivière Skjálfandafljót en aval de Aldeyjarfoss.
 

 
 
22. Plus bas encore les célèbres Godafoss, les Chutes de Dieu, archi-touristiques car situées en bordure de la route n°1, la route goudronnée qui fait le tour de l’île.
 

 
 
23. Quelques dizaines de km à l’Est, nous visitons une autre chute d’eau : Detifoss. C’est paraît-il la plus puissante chute d’eau d’Europe.
 

 
 
24. Selfoss, quelques centaines de mètres en amont.
 

 
 
Nous finirons la journée au très soigné camping de Ásbyrgi où la douche sera bienvenue! Suite au prochain article dans une ambiance plus maritime… 🙂
 
 

Highlands I – F26 / F910

 
1. Après avoir fait le plein de VivaLaVida (avec le diesel à plus de 2.20 le litre, c’est plus de 370.- le plein !), nous entamons la traversée des Highlands vers le Nord-Est via la piste F26 puis F910 qui passe au nord du Vatnajökull.
 

 
 
2. Nous prendrons deux jours pour rallier le site d’Askja au travers de paysages magnifiques et immenses.
 

 
 
3. …
 

 
 
4. …
 

 
 
5. …
 

 
 
6. …
 

 
 
7. Giboulée…
 

 
 
8. Notre piste…
 

 
 
9. …
 

 
 
10. …
 

 
 
11. Après presque 200 km exclusivement minéraux, revoici un peu de couleurs végétales…
 

 
 
12. A 800 m, la neige est proche.
 

 
 
13. La mousse croît le long des sillons creusés par l’eau qui ruisselle en surface, formant des formes géométriques.
 

 
 
14. Le ciel finit par s’ouvrir un peu au nord.
 

 
 
15. L’occasion pour Emile de se dégourdir les jambes ! 😉
 

 
 
16. …
 

 
 
17. …
 

 
 
18. Alors que nous empruntons la variante sud de la F910 en prenant de l’altitude, le temps se dégrade et la neige recouvre rapidement la lave.
 

 
 
19. Alors qu’il neige, VLV est la seule note un peu colorée de ce paysage.
 

 
 
20. Paysage naturellement monochrome.
 

 
 
21. …
 

 
 
Nous passons une nuit froide pas loin du refuge de Kistufell, proche de l’extrémité nord du VatnaJökull.
 
Suite du périple de VivaLaVida tout bientôt ! Merci de votre fidélité.
 
 

Lakagigar – F206 / F207

 
Nous voici donc partis pour découvrir la région du Lakagigar, empruntant nos premières “F Roads”, des pistes réservées aux 4×4 à cause principalement de gués profonds et en principe interdites aux véhicules de location. En principe car nous avons croisé bon nombre de SUV de location “non autorisés” sur ces pistes.
 
 
1. F206
 

 
 
2. Comme aux Féroés, les moutons vivent en liberté partout.
 

 
 
3. VivaLaVida traverse des paysages complètement minéraux.
 

 
 
4. Voici la chaîne des Lakagigar, des volcans apparus il y a quelques décennies seulement.
 

 
 
5. Petit lac coincé entre montagne et coulée de lave.
 

 
 
6. La F206 a été créée à même la lave.
 

 
 
7. Seuls mousses et lichens parviennent à se développer sur les scories volcaniques.
 

 
 
8. Les sommets, plus exposés, sont souvent vierges de végétation.
 

 
 
9. En profitant du panorama de fin d’après-midi.
 

 
 
10. Et quel panorama !
 

 
 
11. F207
 

 
 
12. Nous campons au bord d’un petit lac.
 

 
 
13. Douceur de la lumière du soir.
 

 
 
14. Le lendemain, malgré la lumière d’un ciel gris, les contrastes sont étonnants. La mousse est presque fluorescente.
 

 
 
15. …
 

 
 
16. …
 

 
 
17. Le volcan Laki lui-même.
 

 
 
18. … et l’un des nouveaux cratères alentours.
 

 
 
19. La F207 serpente entre les collines.
 

 
 
20. Lave brute.
 

 
 
21. Le sol est très foncé.
 

 
 
22. La piste est parfois peu marquée.
 

 
 
23. Vers le Nord-Ouest, en direction de Landmannalaugar.
 

 
 
24. …
 

 
 
25. Au passage d’une rivière aux eaux tempérées par des sources chaudes, la végétation change.
 

 
 
J’ai posté une petite vidéo d’un passage de gué sur la F207 ici pour ceux que cela intéresse. 😉
 
 
26. La chute de Fragifoss, le long de la F206.
 

 
 
27. Dernière vue de ces si jolies collines volcaniques.
 

 
 
Suite à venir du côté du célèbre Landmannalaugar, sans doute le site intérieur le plus visité d’Islande.
 
 

Traversée et premiers tours de roues en Islande

 
1. Voici le ferry qui relie le Danemark à l’Islande en desservant les Féroés qui arrive.
 

 
 
2. A peine amarré que la port arrière s’ouvre pour laisser sortir les arrivant avant que VivaLaVida n’embarque…
 

 
 
3. Voyage de noces sur le parc d’embarquement ! 😉 Je rencontrerai les propriétaires de ce joli Land Cruiser, Kambiz et Filiz, à bord puis les croiserai plusieurs fois en Islande.
 

 
 
4. Au départ de Tornhavn vers l’Islande, le ferry passe entre les îles de l’archipel.
 

 
 
5. Je repasse ainsi devant Gjógv, au large cette fois.
 

 
 
6. Dernier coup d’oeil avant la haute mer.
 

 
 
7. Le lendemain matin, arrivée à Seydisfjordúr, un fjord tout à l’est de l’Islande. La météo est pluvieuse.
 

 
 
8. En route pour aller chercher ma petite famille à Reykjavik, à l’autre extrémité de l’île ou 800 km plus loin, VivaLaVida se retrouve rapidement dans les Highlands que les couleurs de l’automne ont déjà jaunis…
 

 
 
9. Ces hauts-plateaux sont parcourus par quelques rares routes ou pistes.
 

 
 
10. Ambiance…
 

 
 
11. Canyon…
 

 
 
12. Averses…
 

 
 
13. La géologie volcanique est omniprésente.
 

 
 
14. Ici, l’eau n’a d’autre choix que de ruisseler sur des sols le plus souvent dépourvus de tout humus.
 

 
 
15. Les perspectives sont immenses…
 

 
 
16. Je retrouve par hasard Kambiz et Filiz sur la piste, devant leur premier gué un peu sérieux, à attendre qu’un véhicule passe et leur montre la voie. VivalaVida passe et je leur fais quelques photos souvenir…
 

 
 
17. Grosse rivière taillant son chemin dans le basalte.
 

 
 
18. VLV traversant un champ de lave.
 

 
 
19. Piscine naturelle peu avant l’arrêt pour la nuit…
 

 
 
Enfin, c’est ce que je croyais. En enclenchant le chauffage fraîchement révisé de VLV, le tableau de bord affiche un code erreur : moteur de ventilation air chaud défectueux, moteur qui vient juste d’être remplacé préventivement en Suisse… On est jeudi soir, Isabelle et Emile arrivent samedi à 750 km et le seul endroit où je suis susceptible de réparer est Reykjavik, à 700 km. Du coup, je décide de rouler la nuit pour être à Reykjavik vendredi… 400 km jusque vers 3h du matin où je ferai un petit somme. Arrivé vendredi matin à Reykjavik, je démonte le chauffage pour le porter au revendeur Webasto, 2h30 de travail puisqu’il est bien caché sous l’armoire arrière de VLV. Le technicien découvrira que lors de la révision en Suisse, un faisceau électrique n’a pas été refixé et est entraver le mouvement du ventilateur. Après une facture de plus de 1’600.- CHF, je n’étais guère content. Mais au moins, le chauffage refonctionne pour l’arrivé de mes passagers demain !
 
A bientôt pour la suite.
 
 

Pétroglyphes d’Arizona et du Nevada.

VivaLaVida est allé découvrir un autre accès au Grand Canyon, toujours sur la Rim nord mais plus à l’ouest.
 
 
1. Cactus dans la neige…
 
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2. Après avoir descendu Whitmore Canyon, j’arrive au bout de la piste, env. 250 mètres au-dessus du Colorado.
 
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3. Le Grand Canyon est là aussi magnifique.
 
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4. Le site est intéressant car il présente une large coulée de lave, bien visible sur ce panoramique (assemblage de 3 images). Il y a eu plusieurs coulées de lave successives, la première il y a environ 170’000 ans qui a créé un lac temporaire de 80 mètres de profond, la lave obstruant le Grand Canyon. Ce lac s’est maintenu env. 20’000 ans avant que la lave cède, créant un raz de marée gigantesque en aval. Depuis, il y a eu sept coulées, la dernière il y a env. 20’000 ans. Vous trouvez VivaLaVida dans l’image qui donne l’échelle ? 😀
 
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5. A gauche du promontoire duquel j’ai pris l’image précédente, il y a un large effondrement qui laisse voir de belles parois de basalte en orgues. Il fait sans doute env. 500 mètres de diamètre et pas loin de 200 de profondeur.
 
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6. Détails de la falaise avec une cascade qui a creusé son chemin.
 
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7. Juste pour le témoignage, la photo n’est pas excellente, un “bip bip” surpris dans le micro-climat plus chaud du fond du canyon.
 
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8. En remontant la piste, je passe près d’une petite piste de campagne. Les habitués ne manquent pas d’humour avec ce panneau “Withmore International Airport” et les deux petits escaliers mobiles… 😉
 
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9. VLV près de l’ancienne école de Mount Trumbull. Construite en 1922, elle a été brûlée par des vandales en 2000 et reconstruite à l’identique en 2001. C’était la seule école de cette région où les premiers collons sont arrivé en 1916, cultivant des céréales et des haricots jusqu’en 1934 où le climat est devenu nettement plus sec. Dès lors, ils se sont reconvertis dans l’élevage de bovins et ovins, beaucoup quittant les lieux. L’école a été en fonction jusqu’en 1968 où elle a été fermée, faute d’un nombre suffisant d’élèves. Le dernier habitant à l’année de cette région s’est éteint en 1984. Depuis demeurent quelques ranch disséminés et habités qu’à la bonne saison.
 
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10. Petit détour par Little Black Mountain, un site de pétroglyphes intéressant.
 
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11. La ligne presque horizontale est orientée exactement dans l’axe du solstice d’hiver; le 21 décembre, le soleil se lève juste au-dessus de son extrémité est.
 
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12. L’un des gros blocs du site.
 
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13. Détails…
 
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Après cette incartade en Arizona, j’en ai fait une autre au Nevada pour passer la soirée avec mon ami Christian qui était quelques jours à Las Vegas pour le CES. Sur la remontée vers l’Utah où devait m’être envoyé un nouveau compresseur pour VLV (l’actuel en étant à sa 4ème panne…), je me suis arrêté à la Valley of Fire, un petit State Park pas loin du lac Mead.
 
 
14. Arch Rock.
 
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15. Il y a aussi passablement de pétroglyphes, ici ceux de Altalt Rock.
 
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16. Altalt Rock encore.
 
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17. Ceux-ci sont dans Mouse’s Tank Canyon.
 
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18. La route qui monte au White Domes.
 
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19. La sandstone est veinée de différentes couleurs minérales.
 
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20. Comme une vague pétrifiée…
 
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21. Veinages…
 
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22. Windstone Arch, plutôt inhabituelle dans l’alcove qui l’abrite.
 
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23. Fin d’après midi sur la Valley of Fire.
 
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Voilà pour aujourd’hui. Suite du voyage dans quelques jours… 😀
 
 

En Oregon toujours…

Voici donc la suite de mes découvertes de quelques sites d’Oregon.
 
Je vous le disais, on est en plein sur la “ceinture de feu” et il y a ainsi de nombreux sites à la géologie volcanique. L’un d’entre eux est le Newberry National Monument, un volcan de type hawaien dont la dernière éruption remonte à 6’000 ans.
 
 
1. Je découvre d’abord le bout de la coulée de basalte, à environ 10 km du cratère…
 
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2. … que voici. A peine plus de 200 mètres de haut, formé des scories retombant de ses explosions et expulsions de lave.
 
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3. Aux alentours, pratiquement rien n’est parvenu à pousser depuis 6’000 ans, conjonction de cette roche basaltique particulièrement austère et du climat sec qui minimise la création d’humus.
 
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4. Et j’ai eu la chance incroyable et inespérée de pouvoir enfin résoudre l’énigme du monstre du Loch Ness. En fait, Sherlock Holmes et tous les autres pouvaient chercher longtemps ; ils ne pouvaient se douter que Nessie avait déménagé et vivait désormais dans les champs de lave de Newberry ! 😀
 
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5. La coulée de basalte de Newberry a détourné la Deschutes River, la contraignant à creuser son canyon dans de la roche plus friable que le basalte.
 
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6. VivaLaVida a ensuite poursuivi son chemin vers le sud-ouest en traversant les haut-plateaux, horizons immenses traversés par quelques pistes peu fréquentées…
 
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7. On roule plus tard que d’habitude pour dormir près du prochain spot à découvrir…
 
nuit
 
 
Le site suivant est un tunnel de lave dénommé Derrick Cave.
 
 
8. Arrivée sur le site au matin.
 
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9. Ce tunnel est impressionnant, sans doute une dizaine de mètres de large pour 5 ou 6 de hauteur vers son entrée.
 
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10. Le toit s’est effondré par endroit, laissant entrer la lumière sur les premiers 150 mètres.
 
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11. Une photo avec le pingoin pour vous donner l’échelle. 😉
 
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12. Après 200 mètres, le tunnel s’enfonce sous terre, sans plus aucune lumière. Cette photo a été prise à la seule lumière de ma frontale. Le tunnel fait ici plus de quinze mètres de hauteur, impressionnant. Mais sans une seconde frontale, je ne suis pas allé beaucoup plus loin, pas envie de me retrouver sans lumière là au fond…
 
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On change encore de site pour découvrir un autre phénomène géologique ou plutôt sysmique : “Crack in the Ground”, une faille créée dans le rocher par un tremblement de terre il y a quelques milliers d’années.
 
 
13. Sa partie visible s’étend sur presque un kilomètre…
 
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14. … dont certaines portions sont accessibles à pied.
 
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15. Certains blocs sont vraiment en équilibre instable !
 
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16. Je n’ai pu vous le montrer mais on voit vraiment que cette couche s’est ouverte, les formes des roches étant semblables en positif/négatif sur les faces opposées.
 
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17. Après ces belles découvertes liées aux volcans de la région, je suis allé dormir dans des dunes de sables, près de “Lost Forest”.
 
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18. Avec en prime un beau couchant.
 
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A bientôt pour la suite … 😀
 
 

Cassiar & Stewart Highways

VivaLaVida va désormais essuyer 6 jours de pluie pratiquement permanente. C’est en effet la saison des pluies près de la côte pacifique, je ne l’avais pas réalisé jusqu’alors…
 
 
1. Un étang dans la brume…
 
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Malgré la météo, je suis allé faire un crochet par Stewart pour essayer d’apercevoir quelques-uns des très nombreux glaciers de la région.
 
 
2. Le “Bear Glacier”, le long de la Stewart HWY.
 
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3. La route minière que VivaLaVida a empruntée sous la pluie pour monter vers d’autres glaciers. Amusant, nous sommes ainsi repassés en Alaska pour quelques dizaines de kilomètres et sans douane car c’est un cul de sac ! 😀
 
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4. Oups, la route de VLV s’arrête là ! Je continue à VTT…
 
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5. J’ai de la chance, une brève acalmie me permet d’apercevoir le Bereton Glacier dans la brume, vers 16h30.
 
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6. Un peu plus tard, j’ai même un rayon de soleil qui fait briller la roche mouillée.
 
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7. Le terminus de la route est à cette mine abandonnée…
 
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Retourné à VLV, je rebrousse chemin pour espérer apercevoir le Salmon Glacier, un immense glacier en T, avant que la nuit tombe.
 
 
8. VLV paraît bien petit devant ce géant !
 
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9. Panoramique pour tenter de vous montrer la branche nord. La poussée est telle que la glace remonte de plusieurs centaines de mètres contre la montagne, à droite en bas.
 
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10. Un second panoramique pour vous montrer cette immensité de glace; plus de 60 km de long et 8 de large pour sa langue glacière principale !
 
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Je dormirai sur place, espérant une meilleure lumière pour le lendemain mais me réveillerai dans un brouillard dense. Je suis donc redescendu vers Stewart…
 
 
11. … que voici au deuxième plan, derrière son port de plaisance.
 
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12. Seb, si y’a trop de neige cet hiver à Arzier, j’ai trouvé ce qu’il te faut !! Avec ça, jamais tu resteras bloqué ! 😉 Il s’agit d’un véhicule russe dont je n’ai su déchiffrer la marque.
 
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Toujours sous la pluie, j’ai poursuivi vers le sud avec un nouveau détour vers les champs de lave de Nisga’a, théâtre de la dernière éruption volcanique au Canada, il y a 300 ans seulement. 2’000 indiens ont péri, plusieurs villages ayant été engloutis. La coulée fait plus de 30 kilomètres de long et a dévié une grosse rivière de plusieurs kilomètres.
 
 
13. Le seul rayon de soleil de la journée, sur la piste de VivaLaVida et toujours sous la pluie.
 
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14. Bras de mer pluvieux le lendemain…
 
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15. Marais où les lichen ont pris possession des arbres morts. Chouette ambiance, non ? On verrait bien apparaître un ou deux trolls, vous ne trouvez pas ? 😉
 
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16. Arrivée sur les champs de lave, tantôt lisses comme au second plan, tantôt chaotiques, et qui atteignent plus de 15 mètres d’épaisseur par endroit.
 
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17. Fissure…
 
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18. Peu d’arbres sont parvenus à pousser sur cette roche jeune et aride.
 
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19. Une petit cascade par laquelle se vide un lac, lui aussi créé par la coulée de lave.
 
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20. Petit arc en ciel alors que VLV poursuit vers le sud.
 
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Suite de la descente de la Colombie Britannique dans la prochaine update.