Islande

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Fjords de l’est et derniers tours de roues…

 
Nous sommes mardi, le ferry part demain mercredi, il me faut donc finir la route vers l’est.
 
 
1. Une ferme et sa petit église dans la plaine.
 

 
 
2. Ces plaines sont en fait des deltas alluviaux (Gravel bars) au pied des montagnes qui forment les fjords de l’Est.
 

 
 
3. Petit arrêt à la puissante cascade de Nykurhylsfoss, aussi parfois appelée Sveinsstekksfoss.
 

 
 
4. VivaLaVida fait un petit crochet par la vallée de laquelle elle descend sur une piste qui ressemble plus à une rivière par endroit 🙂
 

 
 
5. Cette vallée n’est qu’un magnifique escalier de basalte dont chaque marche crée une chute d’eau. Splendide ! Dommage de ne plus avoir le temps de l’explorer plus loin…
 

 
 
6. Avec les couleurs automnales désormais bien présentes, c’est magnifique.
 

 
 
7. Un peu plus loin, le sur un petit col, la chute de Folaldafoss.
 

 
 
8. VLV empruntera une piste chaotique pour trouver un joli dernier campement islandais près d’un petit lac, à 700 m d’altitude.
 

 
 
9. La nuit sera particulièrement agitée, avec des vents à presque 100 km/h selon la météo et une forte pluie. Au matin, la pluie m’offre quelque répit alors que le vent se maintient.
 

 
 
10. Comme il me reste quelques heures avant l’embarquement, je décide de prendre la piste F936 et suis surpris de la découvrir parfaitement nivelée, sans tôle ondulée ou nids de poule. Après une dizaine de km, je comprends pourquoi..! Je ne prends pas le risque de passer et fais demi-tour.
 

 
 
11. Du coup, VLV monte faire une petite exploration vers le nord…
 

 
 
12. … découvrir la jolie église de Kirkjubaejarkirkja.
 

 
 
13. Détails des volets de porte.
 

 
 
14. En montant un petit col, une grande plage exposé à l’océan arctique se révèle.
 

 
 
15. Petit arrêt dans une vallée latérale colorée, obstruée par une paroi de basalte.
 

 
 
16. Couleurs minérales.
 

 
 
17. Dernière image d’une lande pluvieuse…
 

 
 
18. VivaLaVida retrouve le Nöronna pour la traversée du retour.
 

 
 
En conclusion de ces quelques semaines en Islande, j’éprouve un sentiment mitigé. L’île recèle une densité de trésors naturels incroyables pour qui, comme moi, aime les paysages nordiques désolés et sauvages. Alliés à l’omniprésence d’une activité volcanique soutenue et souvent extrêmement récente, le cocktail est souvent époustouflant. Par contre, à cause de tours operators avides de gagner de l’argent, cette destination est devenue si touristique que les conséquences de ce tourisme de masse deviennent visibles presque partout. Interdictions d’accès de plus en plus fréquentes, législation cherchant à limiter l’impact sur la nature fragile, sites souvent aménagés d’infrastructures disgracieuses et envahis par des dizaines de cars, mini-campers commerciaux loués par centaines et, corollaire sans doute, des islandais peu affables et souvent même antipathiques à l’attention des étrangers… Sans compter un coup de la vie exorbitant : un plein de VLV, c’était plus de 350.- CHF..!
 
A part les quelques pistes intérieures auxquelles VivaLaVida nous a permis d’accéder hors des sentiers battus, la pression de ce tourisme m’a vraiment dérangé. Et nous y étions pourtant en fin de saison, avec nettement moins de monde qu’en juillet ou début août. Bien sûr, je comprends l’envie de chacun de découvrir cette nature brute. Pourtant, il est d’autres lieux sur la planète, tout aussi spectaculaires mais moins exploités par les voyagistes qui savent encore préserver leurs contrées et sont à mes yeux nettement plus plaisants à visiter.
 
Pas de regrets pourtant d’avoir eu l’occasion de faire découvrir à Isabelle – Emile est sans doute encore trop petit pour s’en souvenir plus tard – cette grande île et ses magnifiques paysages si variés !
 
 
Alors que le ferry Nöronna faisait escale à Torshávn sur le retour, j’ai eu la chance d’une météo clémente pour vous proposer quelques nouvelles images de la capitale des Féroés.
 
19. Cette petite ville propose des dizaines de petites ruelles aux jolies maisons qui dénotent avec les pavillons style américain de l’Islande.
 

 
 
20. Vue sur la ville.
 

 
 
21. Port de plaisance.
 

 
 
22. La traversée vers le Danemark sera quelque peu mouvementée, avec un fort coup de vent, rafales à 110 km/h et creux de 6-7 mètres.
 

 
 
23. Couchant venteux…
 

 
 
Le retour vers la Suisse s’est passé normalement à part une durite de turbo qui s’est déboîtée, obligeant VLV à se traîner sur les 500 derniers km…
 
Merci à vous d’avoir suivi le récit de ce voyage islandais de VivaLaVida qui va maintenant se refaire une petite santé (simmering de nez de pont à changer, rotules à remplacer, et révision châssis complète après les plus de 6’500 km parcourus, dont sans doute plus d’un millier sur les diverses pistes empruntées. Vous pouvez d’ailleurs visualiser le trajet sur la carte “Europe” de ce blog… 😉
 
Et à bientôt pour la suite du voyage de VivaLaVida ! 😀
 
 

Côte sud-est.

 
Le ferry m’attend dans deux jours et il me reste plusieurs centaines de kilomètres pour rallier Seydisfjordur, il est donc temps que j’avance. Sans pour autant omettre de m’arrêter à quelques nouveaux spots.
 
 
1. Même lieu même heure trois semaines plus tard et même arc-en-ciel… 😉
 

 
 
2. Petit stop sur un autre spot du lac Jökulsárlón et ses icebergs.
 

 
 
3. Et nouveau petit tour à la Diamond Beach pour quelques photos spécialement pour Isabelle ! 😉
 

 
 
4. Plus loin, peu avant le Vestrahorn, une autre Gravel Bar sous la pluie revenue.
 

 
 
Le site du Vestrahorn, si photographié, se révèle une véritable arnaque à touristes. Outre le fait qu’il est à côté d’un relais satellite militaire des plus inesthétique, il s’est fait approprier par le gérant d’une buvette-camping qui fait payer pour y accéder ! Il a même installé une barrière automatique style péage d’autoroute pour en contrôler l’accès. Je suis assez scandalisé par le fait qu’on puisse s’approprier ainsi un bout de nature appartenant à l’état et refuse de me prêter à cette pratique, préférant repartir ailleurs. Voyageurs, passez votre chemin, il y a assez d’autres sites magnifiques en Islande.
 
5. Je dors sur un petit col, le long de l’ancienne route. Après une pluie soutenue durant presque toute la nuit, le matin m’offre une éclaircie.
 

 
 
6. Et voici tout de même le Vestrahorn depuis le nord-est, une vue moins “conventionnelle”… 🙂
 

 
 
7. Un exemple des grandes fermes à moutons qui jonchent la côte sud.
 

 
 
8. Après ma déception au Vestrahorn, j’avais repéré un autre site encore moins connu (mais pour combien de temps..?). La météo n’est guère plaisante et je décide ainsi d’explorer la côte à la recherche de compositions sympas en attendant que cela s’améliore. En voici une première avec cette anse dans les rochers.
 

 
 
9. Les averses se succèdent, créées par le fort vent qui condense les nuages sur la montagne.
 

 
 
10. Je profite d’observer quelques canards qui s’abritent derrière la pointe. Ici une femelle.
 

 
 
11. Et là un mâle qui vient d’attraper un crustacé.
 

 
 
12. Il le rince un peu…
 

 
 
13. Avant de l’avaler !
 

 
 
14. Dans l’écume…
 

 
 
15. Je vais aussi découvrir la grande plage qui s’étend de la pointe vers l’ouest.
 

 
 
16. Au loin le Vestrahorn.
 

 
 
17. Tentative de survie…
 

 
 
18. Finalement, après 5h et demie d’attente, une brève éclaircie de quelques minutes à peine me permet de vous proposer une autre compo.
 

 
 
Dernier article de ce voyage à venir prochainement. 😉
 
 

F210 – F232

 
Avant de continuer le voyage, il est grand temps de vous souhaiter à tous la Bonne Année 2019 ! Je vous la souhaite pleine de nouvelles aventures instructives et enrichissantes, de belles rencontres, de découvertes inattendues. Une pensée particulière à une amie proche qui lute contre un grave cancer depuis des mois sans être encore parvenue à le vaincre et à qui je souhaite d’apercevoir bientôt le bout du tunnel…
 
 
Mais continuons le récit. J’ai eu droit à un peu de lumière au levant… 😀
 
 
1. Premières lueurs…
 

 
 
2. La calotte glaciaire Mýrdalsjökull toute proche est dégagée.
 

 
 
3. La neige est tombée vers 800 m cette nuit.
 

 
 
4. L’oxyde de fer colore de rouge certaines collines.
 

 
 
5. L’un des nombreux gués traversés.
 

 
 
6. Contraste sable / mousse / glace.
 

 
 
7. A la fin de la F210, je décide de prendre un peu de hauteur sur le Maelifell, un ancien volcan au milieu de la plaine. VivaLaVida reste en bas. 😉
 

 
 
8. Alors que je monte, l’immensité se révèle petit à petit.
 

 
 
9. Un vol d’oies sauvages qui commencent leur migration traverse dans le ciel…
 

 
 
10. J’en profite pour vous montrer un petit échantillon des principaux végétaux de ces contrées arides, à commencer par cette mousse presque fluorescente selon la lumière.
 

 
 
11. Elle partage l’espace avec d’autres espèces, créant des parterres colorés à cette période automnale.
 

 
 
12. …
 

 
 
13. …
 

 
 
14. …
 

 
 
15. Arrivé en haut, le panorama est époustouflant ! (assemblage panoramique de 9 images bracketées, soit 27 images pour le softblending !)
 

 
 
16. Vue plongeante…
 

 
 
17. Le mont que je viens de gravir.
 

 
 
18. Contrastes encore…
 

 
 
19. VLV y suit la route F232 désormais, peu fréquentée.
 

 
 
20. Alors que nous redescendons petit à petit vers la côte sud, la verdure redevient plus présente.
 

 
 
21. Les couleurs de l’automne sont aussi de plus en plus présentes, pour mon plus grand plaisir.
 

 
 
22. Que c’est beau ! Je suis en contemplation permanente…
 

 
 
23. Passage d’un gué juste au-dessus d’une chute d’eau
 

 
 
Je vous ai mis une petite vidéo de ce passage ici pour ceux qui souhaitent la découvrir… 😉
 
24. Une des rivières glaciaires, eaux de fonte de la calotte, creuse son canyon.
 

 
 
25. Plus bas sur la piste, d’autres chutes qui ressemblent à de petites “Godafoss” en moins touristique.
 

 
 
26. Contre-jour à la fin de la F232.
 

 
 
Suite à suivre bientôt… 😉
 
 

Mýrdalsjökull – F261 / F210

 
Comme annoncé précédemment, pour retourner vers l’Est, VivaLaVida a quitté le goudron pour aller découvrir l’arrière de la calotte glaciaire Mýrdalsjökul.
 
 
1. “Gravel Bar”.
 

 
 
2. Le ciel se bouche alors que je m’éloigne de la côte.
 

 
 
3. Contre-jour…
 

 
 
4. Dernière trouée avant la pluie. En fait, ces calottes glaciaires créent chacune le propre micro-climat ; l’air passant au-dessus se refroidit et se condense en pluie ou en neige “sous le vent”.
 

 
 
5. Surprise au détour de la piste : le magnifique canyon de Markafljótsgljúfur (le premier qui prononce juste à droit à un bonbon ! 😀 )…
 

 
 
6. … et la belle chute du même nom par laquelle la rivière s’y engouffre.
 

 
 
7. Etable à mouton…
 

 
 
8. Par endroit, les rivières doient se frayer un passage dans le basalte.
 

 
 
9. Piste F210.
 

 
 
10. VivaLaVida entre dans un nouveau désert de sable noir.
 

 
 
11. Petit canyon.
 

 
 
12. Désert volcanique sous la pluie…
 

 
 
13. …
 

 
 
14. La piste passe à même la lave par endroit.
 

 
 
15. …
 

 
 
16. …
 

 
 
17. Campement au milieu de nulle part à la nuit tombante…
 

 
 
Suite de la F210 et F232 à venir dans quelques jours…
 
 

Joyeux Noël !

 
Avant la suite du précédent article proprement dite, voici encore quelques photos d’Isabelle, souvenirs du voyage avec ma petite famille…
 
1. Emile et sa maman bien emmitouflés.
 

 
 
2. Une bien jolie source chaude…
 

 
 
3. … dans laquelle nous avons passé un bon moment de délassement.
 

 
 
4. Pique-nique…
 

 
 
5. … au bord d’une petite rivière…
 

 
 
6. … ou d’une plage.
 

 
 
7. Emile seul sur la lune 😉
 

 
 
8. Et comme il est temps : Joyeux Noël à vous tous de nous trois ! 😀
 

 
 
Suite avec le retour de VivaLaVida d’ici quelques jours…
 
 

“Cercle d’or” et Reykjaness sud

 
Jeudi 13 septembre, avant dernier jour de voyage pour ma petite famille qui rentrera en avion, me laissant seul rapatrier quelque temps plus tard VivaLaVida vers la Suisse.
 
Nous partons visiter quelques spots du Cercle d’Or, dans les environ de Reykjavik.
 
 
1. Arrêt sur le site de Þingvellir, lieu historique du premier parlement d’Islande, fondé en l’an 930. Il présente la particularité de se trouver exactement à la jointure des plaques tectoniques européenne et nord-américaine, fracture visible par des falaises de basalte. Une rivière y coule même sur quelques centaines de mètres.
 

 
 
2. Souvenir : Emile est en Europe et Isabelle en Amérique ! 😉
 

 
 
3. Sur la route d’un autre spot incontournable pour qui n’a jamais vu un geyser…
 

 
 
4. Anecdote du jour : nous sommes arrêtés par deux touristes texanes qui, s’étant arrêtées sur le bas-côté pour faire une photo, se sont embourbées avec leur Renault de location et demandent à VLV de les tirer, au sens propre, de ce mauvais pas. Merci Isa pour la photo ! 😉
 

 
 
5. Nous arrivons sur le site de Geysir en fin de journée.
 

 
 
6. Voici ma version de Stokkur Gesyr tant photographié.
 

 
 
7. …
 

 
 
8. Nous allons dormir le long de la piste F333, à l’écart des masses pour être tranquilles dans la nature…
 

 
 
9. Petit passage matinal à Gullfoss déjà envahie par le tourisme de masse.
 

 
 
10. En retournant vers Reykjavik pour le vol retour d’Isa et Emile, petite montée du début de la F337 pour admirer la vue sur les plaines.
 

 
 
11. En pleine action !
 

 
 
Le lendemain matin, réveil tôt pour l’aéroport où le vol retour décolle à 7h20. Pas de photo dans la précipitation d’un aéroport déjà bondé aux aurores. Le temps étant à la pluie, j’ai profité de mon samedi pour écrire plusieurs articles du blog et traiter le reste de mes images. Le lendemain, j’ai tranquillement pris la route de l’Est où le ferry attendra VivaLaVida quelques jours plus tard pour le ramener sur le continent. Passage par le sud du Reykjaness, la presque-île sur laquelle se trouve l’aéroport international de Keflavik.
 
 
12. Petit arrêt à la jolie église de Strandakirkja.
 

 
 
13. Presque toutes ces églises ont un petite hall d’entrée séparé de la nef principale.
 

 
 
14. Nef colorée
 

 
 
15. Sur la côte, je profite des contrastes entre la lave et les algues qui s’y développent.
 

 
 
VivaLaVida a ensuite emprunté une série de F roads pour aller découvrir l’arrière de la calotte glacière Myrdálsjökull. A venir dans le prochain article.
 
 

Snæfellsness

 
Alors qu’il ne reste que quatre jours avant la rentrée d’Isabelle et Emile, VivaLaVida reprend la route vers la touristique péninsule de Snæfellsness et ses diverses attractions naturelles.
 
 
1. Coulées de lave dans l’océan.
 

 
 
2. Nous retrouvons une géologie volcanique récente…
 

 
 
3. … entrecoupée de quelques petits fjords.
 

 
 
4. La fameuse montagne Kirkjufell, tant photographiée mais envahie par le tourisme de masse. Je vous la présente sous un perspective différente, histoire de ne pas faire comme tout le monde… 😉
 

 
 
5. Pour y échapper, VivaLaVida monte vers la calotte glaciaire Snæfellsjökull pour la nuit.
 

 
 
6. Campement à la croisée de deux pistes désertes en fin de journée. Voyez-vous VLV tout au fond ? 😀
 

 
 
7. Nuages de vent alors que de nombreux névés persistent même si nous ne sommes qu’à 650 m d’altitude.
 

 
 
8. Le matin suivant, la calotte est cachée dans les nuages, au grand dam d’Isabelle.
 

 
 
9. Mais les alentours valent le détour…
 

 
 
10. … et la vue sur la plage, 750 m plus bas sous les nuages, est magnifique.
 

 
 
11. Côte sud de la péninsule.
 

 
 
12. Autre spot très visité, les falaises de lave de Londrangar.
 

 
 
13. L’adorable petite église de Búdir.
 

 
 
14. Depuis la route de la côte sud.
 

 
 
15. Arrêt goûter au pied d’une spectaculaire muraille de colonnes de basalte.
 

 
 
16. Ces piliers, qui présentent une forme penta- et hexagonale d’env. 1-1.5 m de diamètre, font entre 6 et 20 m de haut pour leur partie visible.
 

 
 
17. Nous marchons vers une jolie petite église nichée au fond d’un cratère.
 

 
 
18. Campement sauvage au bord d’une petite rivière…
 

 
 
19. A 23h, alors que je sors faire quelques derniers besoins naturels avant de me coucher, surprise, je découvre un ciel paré d’une aurore boréale…
 

 
 
20. … autant au Nord-Est qu’au Sud-Est.
 

 
 
21. Je file chercher boîtier et trépied. D’abord d’intensité limitée, l’aurore s’intensifie alors que je cadre VLV dans le champ.
 

 
 
22. Puis sans prévenir, en quelques instants, elle devient d’une incroyable intensité !
 

 
 
23. Des franges colorées de pourpre apparaissent.
 

 
 
24. Et les traînées virevoltent à toute vitesse dans tout le ciel.
 

 
 
25. Même avec l’extra grande angle monté sur mon appareil, je ne peux qu’en englober une partie…
 

 
 
26. Malgré des réglages non optimaux pour une telle luminosité, je déclenche sans cesse pour immortaliser ce moment de vive émotion contemplative…
 

 
 
27. On se sent tout petit sous tant d’énergie cosmique.
 

 
 
28. Puis après quelques minutes, le spectacle se calme…
 

 
 
29. …
 

 
 
30. Il ne m’avait jamais été donné de voir une aurore aussi lumineuse et dynamique jusqu’alors.
 

 
 
Après plus de deux heures à profiter de cette belle surprise dans le froid, congelé, je rentre me coucher et me réjouis du chauffage ronronnant dans VivaLaVida…
 
 

Fjords du Nord-Ouest

 
1. Au réveil, il fait un temps superbe !
 

 
 
2. Les icebergs sont toujours là.
 

 
 
3. Arrêt sur notre route pour observer des phoques.
 

 
 
4. Quand certains se reposent, d’autres semblent jouer dans l’eau.
 

 
 
5. Sous l’oeil des omniprésents et placides ovins.
 

 
 
6. Petit phare sur la côte.
 

 
 
7. Je tire le portrait à l’un de ces fameux petits chevaux islandais aux longues crinières.
 

 
 
8. Petite église le long d’un fjord. Il y en a beaucoup, toujours petites et souvent avec une seule maison alentours.
 

 
 
9. Alors que VivaLaVida franchit un mont entre deux fjords, l’horizon s’approfondit.
 

 
 
10. …
 

 
 
11. Pour rallier une grande plage tout à l’ouest des fjords, la route est interminable : alors qu’en ligne droite, le GPS indique 83 km, il faudra 187 km de route pour y arriver, tant la côte est découpée !
 

 
 
12. La lumière de fin de journée est spectaculaire.
 

 
 
13. La plage de Rauðarsandur est derrière cette pointe…
 

 
 
14. VivaLaVida y parviendra finalement au couchant, profitant des derniers rayons sur sa jolie église noire.
 

 
 
15. Le matin est calme sur l’inlet.
 

 
 
16. La plage de Rauðarsandur est la plus grande d’Islande et sa couleur dénote avec le noir omniprésent ailleurs. C’est à se demander d’où provient ce sable coloré.
 

 
 
17. Reflets dans l’inlet, derrière la plage.
 

 
 
18. Patchwork à marée montante.
 

 
 
19. Ambiance marine…
 

 
 
20. Dans une baie voisine, arrêt près d’une épave.
 

 
 
21. Ces fjords sont magnifiques et constituent la partie la moins visitée d’Islande, de quoi jouir de plus de solitude…
 

 
 
22. Nous y camperons au bord d’un fjord abritant des centaines de cygnes chanteurs.
 

 
 
Découverte de la péninsule de Snæfellsness à venir bientôt. 😉
 
 

Côte Nord et habitat traditionnel

 
1. Le canyon Ásbyrgi est étonnant avec ses hautes falaises de basalte.
 

 
 
2. Jolie baie sur l’océan glacial arctique un peu au nord d’Húsavik.
 

 
 
3. Nous nous y arrêtons pour le goûter…
 

 
 
4. … l’occasion pour Emile de jouer sur la plage.
 

 
 
5. La petite ville portuaire d’Húsavik a encore quelques maisons anciennes.
 

 
 
6. Son petit port est réputé pour l’observation des baleines.
 

 
 
7. Anciennes maisons sur le port.
 

 
 
8. Nous retournons à la baie du goûter pour y passer la nuit.
 

 
 
9. Le couchant est magnifique !
 

 
 
10. Soleil déformé sur l’horizon. Nous aurons même eu droit à deux couchers de soleil, le premier sur la falaise puis, la course du soleil étant presque tangente à l’horizon, le second sur l’océan.
 

 
 
11. L’Islande n’est pas réputée pour proposer des couchants colorés mais celui-ci dérogera…
 

 
 
12. Sur la route d’Akureyi, la grande ville du Nord.
 

 
 
13. Particularité amusante : à Akureyri, pour soutenir le moral de la population durant le dernier crash financier, les feux rouges arborent des coeurs… 😉
 

 
 
14. En fin de journée, nous allons visiter la ferme historique de Glaumbær, l’une des rares préservées et qui constitue aujourd’hui un musée.
 

 
 
15. Maison du début du siècle dernier.
 

 
 
16. Les fenêtres présentait souvent des bougies, supposer limiter la déperdition de chaleur des carreaux peu isolés…
 

 
 
17. La ferme, plus ancienne, est partiellement enterrée pour une meilleure isolation. Les bâtiments sont accolés pour limiter les zones exposées au froid.
 

 
 
18. Bâtie en tourbe et recouverte de tourbe et mousse, c’était le meilleur moyen de se protéger du froid pour les paysans peu fortunés.
 

 
 
19. Pas très loin, la très jolie église ancienne de Vidimyrarkirkia.
 

 
 
20. En continuant notre route sur la côte nord, nous tombons sur cette curieuse route allant directement dans l’océan !
 

 
 
21. Arrivée en fin de journée sur le site de Hvítserkur Rock.
 

 
 
22. Un bloc de lave spectaculaire qui s’élève sur l’océan et évoque un troll ou quelque dinosaure disparu en train de brouter des algues…
 

 
 
23. Baie de Húnafjordur.
 

 
 
24. Nous campons près de cette petite maison…
 

 
 
25. … et découvrons de grands icebergs loin sur l’horizon.
 

 
 
Suite à venir bientôt dans les fjords du Nord-Ouest.
 
 

Lave et chutes d’eau du Nord-Est

 
1. Dans la région de Mývatn, petit lac sur la piste menant à un tunnel de lave.
 

 
 
2. Isabelle dépasse sa crainte et descend dans l’entrée du tunnel.
 

 
 
3. Ici, les textures de la lave sont assez incroyables.
 

 
 
4. Flancs du cratère Hverfjall.
 

 
 
5. Le lac Mývatn et ses concrétions de lave sous la pluie.
 

 
 
6. …
 

 
 
7. Tenue de pluie, avec le sourire. 😉
 

 
 
8. Tenues de pluie bis.
 

 
 
9. Campement sauvage dans une prairie au sud du lac.
 

 
 
10. Rai de lumière…
 

 
 
11. Ciel de couchant.
 

 
 
12. …
 

 
 
13. Nous cherchons à rejoindre la chute d’eau Aldeyjarfoss par une piste peu utilisée et, après une 50aine de km et la traversée de quelques marécages, VivaLaVida arrive devant cette puissante rivière. Le gué abandonné ne m’inspire pas et je renonce à tenter son franchissement, d’autant que même avec les jumelles, je ne distingue pas la piste de l’autre côté…
 

 
 
14. Pause de midi.
 

 
 
15. Landes à l’infini…
 

 
 
16. Et voici la spectaculaire Aldeyjarfoss !
 

 
 
17. La rivière plonge dans un profond canyon aux parois de basalte.
 

 
 
18. Je descends dans le canyon pour une compo moins classique.
 

 
 
19. Pas très loin en amont, nous découvrons une autre chute : Hrafnabjargafoss. Bonjour la prononciation ! 😉
 

 
 
20. Chutes secondaires au couchant…
 

 
 
21. La rivière Skjálfandafljót en aval de Aldeyjarfoss.
 

 
 
22. Plus bas encore les célèbres Godafoss, les Chutes de Dieu, archi-touristiques car situées en bordure de la route n°1, la route goudronnée qui fait le tour de l’île.
 

 
 
23. Quelques dizaines de km à l’Est, nous visitons une autre chute d’eau : Detifoss. C’est paraît-il la plus puissante chute d’eau d’Europe.
 

 
 
24. Selfoss, quelques centaines de mètres en amont.
 

 
 
Nous finirons la journée au très soigné camping de Ásbyrgi où la douche sera bienvenue! Suite au prochain article dans une ambiance plus maritime… 🙂